Chapitre 2

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Je me précipita à l'ouvrir et je commença à le lire.

« M.Provencher me demande de venir dans son bureau, il me demande de me dépêcher, car il dit que c'est urgent. »

J'analysa le message encore et encore, puis je remarque qu'il y avait une pièce jointe rattacher au message. Je décida de l'ouvrir et ce que je vis me glaça le sang. C'était des photos de ma maison. Paniquer, je ferma mon ordi, puis je me dirigea vers mon ancienne école. Lorsque j'arriva, je vis M.Provencher qui scrutais les environs et qui guettais mon arriver. J'entra dans son bureau, puis il me fit signe de m'asseoir. Après m'être assis, M.Provencher alla fermer la porte. Puis lorsqu'il revins s'asseoir, il se comporta de manière étrange. Ses yeux était devenu rouge comme le sang et il avait un regard vide. Il me regarda d'un air maléfique comme un psychopathe regardant sa victime. Puis il ouvra la bouche pour me dire ces quelques mots:

-Kévin fais attention, ne va pas à se rendez-vous avec l'inconnu mystère!
Il n'y avait pas que sont physique qui avait changer, sa voix aussi. Il avait dit ces quelques mots avec une voix grave ressemblent à celle d'un démon. Puis je pris la parole:

-Comment avez-vous su pour l'inconnu? Et de plus, pourquoi je ne dois pas le rencontrer?
Après ces paroles M.Provencher se leva puis marcha jusqu'à ma droite. M'ayant fais sursauter, je tomba à la renverse puis, il s'approcha de moi tout en essayant de m'attraper. Je recule toujours affaler sur le sol, puis j'essaya d'ouvrir la porte, mais elle était verrouiller à double tour. J'essaye encore et encore, puis je réussi finalement à l'ouvrir. Je me précipita vers la porte de l'école, puis je me mis à courir sans m'arrêter et je fini ma course devant un poste de police. Je décida de leur raconter ma mésaventure, mais j'arrêta mon action lorsque je suis arriver devant la porte. Je me dis qu'ils ne comprendraient pas et que c'est à moi de régler mon problème pas à eux. Je descendis les marches de bétons et je me rendis à mon point de rendez-vous. Il me reste environ une dizaine de minutes, puis je me rappela les paroles de mon ancien directeur. Peut être vaudrait-il mieux pour moi de l'écouter, mais comme toujours je ne fit qu'à ma tête et j'alla jusqu'à mon point de rendez-vous.
-Il est midi maintenant! Que fait-il?
Mon sauveur n'était toujours pas arriver. Puis dans un élan de stress je le vis arriver. Il était petit, il avait les cheveux brun et il portait des lunettes.
-Que dieu soit louer, j'avais peur que tu parte comme je n'étais pas arriver à midi tapant.
-Pourrait-tu m'expliquer la raison de ton retard? Tu me demande d'arriver à l'heure et tu n'es pas fichu d'arriver à l'heure!
-Je m'excuse, je n'avais pas vu l'heure défiler et je ne trouvais pas la formule. Justement en parlant de formule, la voici.
Il me donna un vieux bout de papier tout déchirer et avec quelque trace de moisissure. Je scruta la feuille et je vis au dos, des indications écrit à la main. Ça ne ressemblait pas à de l'écriture ancienne, c'était plutôt de l'écriture moderne. Comme s'il l'avait écrit avant de venir. C'est sûrement pour cela qu'il était en retard. Après m'avoir remis le parchemin, un écran de fumé apparue, puis lorsque je put enfin voir, il avait disparu. Je retourna chez moi pour préparer l'invocation. Je regarda les indications et quelque fois je me posais des questions.
-Les indications ne sont pas clair, je ne comprend ce que je dois faire et de plus, l'écriture est illisible! Dis-je d'un air frustré.
Bon..., je dois me ressaisir et trouver le matériel nécessaire. Aussitôt dit, aussitôt fait. Je parti à la chasse au trésor du matériel, exactement le même jeu que je jouais avec mes parents quand j'étais petit. Rien que le fait de penser à ses souvenirs, me rempli de nostalgie, mais je retient mes larmes et je commence à placer le matériel, comme sur le plan qui était très mal dessiner. Par contre, le plan était un peu plus compréhensible que les étapes. Soudain, j'entendit:
-Ça va fiston?
C'était ma mère. Elle ne doit pas savoir ce que je suis en train de faire. Je vais devoir lui mentir, car ma mère est très protectrice et elle m'empêcherais de le faire.
-Très bien et toi?
-Pas vraiment! Dit-elle.
Je pu percevoir dans sa voix la déception. Comme si elle était découragée d'espérer et qu'elle se dit qu'elle finirais sa vie dans une radio.
-Dit fiston, que fais-tu?
-Moi! Je... euh... je fais le ménage.
J'espère qu'elle m'a cru, car à sa place je ne m'aurais pas cru. Je bégayais, j'avais des sueurs froides et je parle avec très peu de conviction. Après avoir parlé, un long silence planais dans mon salon. Peut-être qu'elle sait que je mens, je panique, qu'est ce que je vais bien pouvoir dire si elle découvre que je mens? Puis, après 3 minutes de silence, elle se mit a parlé.
-Pourtant, je n'ai pas entendu la balayeuse.
-C'est que... euh... je passe le balais.
-D'accord, je ne te dérangerais pas plus, je vais te laisser terminer ton ménage.
Ouf, c'était moins une. Maintenant que ma mère va me laisser tranquille, je vais pouvoir terminer mon travail. Je fis tout ce qui était dit sur le parchemin. Je pris deux chandelles et au milieu, je mis un objet appartenant à ma mère. Puis je récita l'incantation trois fois.
«Azarate Métriome Domune »
«Azarate Métriome Domune »
«Azarate Métriome Domune »
Après avoir réciter ces paroles, le feu des bougie s'amplifia et je vis la tête de M.Provencher qui me regardait et qui avait encore l'expression d'un psychopathe. Soudain, sa tête se transforma. Des cornes apparue, son visage était devenu rouge comme une tomate. Ses oreilles s'agrandirent et il devinrent pointue. Ses dents étaient pointue et égiser, comme une lame de rasoirs. Il c'était transformé en démon...

Je suis seul... seul au monde [En Pause]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant