Chapitre 6

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Maxime ne savait pas vraiment pourquoi il avait eu ce besoin de lui dire le fond de sa pensée, et quand les mots étaient sortis de sa bouche, il pensait réellement recevoir un coup de genou bien placé, mais elle n'en fit rien. Au contraire, un feu avait animé son regard, ça l'avait rendu fou ! Elle le rendait fou, tout chez elle respiré la sensualité, la féminité, le sexe pure et dure ! Il avait dû faire un effort surhumain pour s'éloigner d'elle, de ce besoin presque bestial de la faire sienne, sinon il aurait fini par la prendre ici même, et ce n'était certainement pas l'endroit idéal. En rentrant chez lui, il avait dû prendre une douche froide pour faire disparaître toute trace de désir. Quand elle posée les yeux sur lui, l'impression qu'elle pouvait voir au-delà des apparences lui faisait peur, c'est pour cela qu'il lui avait dit qu'il ne la toucherait pas, qu'il ne voulait pas la salir.. Ohana avait dû le prendre pour un taré. C'est bien ce qu'il était, et il ne voulait pas pervertir son âme comme la sienne l'était, elle dégager tellement de force, de courage. Et quand elle souriait, son cœur battait plus vite, sans jamais comprendre ses réactions, il se promit de ne jamais la toucher.. Mais il voulait jouer, la pousser dans ses retranchements, voir toute cette colère qu'elle tenter de garder avec des exercices de méditations, exploser, se libérer. C'était un jeu dangereux, il pouvait perdre beaucoup, mais il pouvait aussi la libérer de toute cette culpabilité.

Le vrombissement d'une moto l'interrompu dans ses pensées. Il s'avait que c'était elle, son corps aussi le savait, un frisson le parcouru de tout son corps. Discrètement, derrière le rideau de sa chambre, le jeune homme avait une vue sur la dépendance, une vue sur ce qu'elle faisait, il savait que c'était mal, mais il ne pouvait pas s'en empêcher. Il entendait souvent crier la nuit, elle était sûrement emprunt à de sombres cauchemars. Il voudrait tellement la prendre dans ses bras, lui murmurer qu'il était là et que plus jamais personne ne lui ferait du mal ! Ça le tuer de l'intérieur de savoir qu'une femme et pu vivre ce qu'elle a vécu, des images de meurtre lui passer par l'esprit.. Seulement, il n'était personne pour faire ça, il ne se connaisses pas, et rien ne pouvait les rapprocher. Mais il savait que la belle femme était bien entourer, même si elle s'entêter à repousser ses proches, ils ne la lâcheraient pas.

Il aurait aimé avoir une famille comme la sienne, malheureusement il eu tout l'opposer, des parents froids et distant, les seuls contacts qu'il avait avec son père, était les coups que celui-ci lui infliger à chaque fois qu'il en ressenter le besoin. Le jeune homme se rappeler comme ci, c'était hier la première fois que son géniteur l'avait battue, il n'avait que neuf ans, rentrant de l'école son bulletin à la main, il s'avait que ses parents ne seraient pas contents, pourtant il n'y pouvait rien, les heures de révisions ne changer rien, les heures passer devant ses tables de multiplication n'avait pas porter leurs fruits, l'école n'étant simplement pas fait pour lui ! Le petit garçon s'attendait à une grosse punition, a de gros cris sûrement, mais les coups de ceintures que son père lui avait infliger le soir, ça, il ne s'y était pas attendu. Sept ans de maltraitance, c'était ce que Maxime avait subis, sa mère n'avait jamais rien dit, préférant couvrir son mari.

Quand son seizième anniversaire arriva et que son bourreau avait voulu une nouvelle fois le frapper, pour la première fois il avait riposter, son génétique l'y avait beaucoup aider, sa famille du coté de sa mére etait suédoise, son grand pére qu'il avait tant aimer lui raconté petit avant de le border, que leurs ancêtre était de valheureux guerriers, qu'on apeller viking, qu'ils était grand et fort et que un jour il deviendrais comme eux. Il avait passé des journées entière durant son adolescence à se muscler, à s'entraîner aux salles de boxe, poussant son corps au plus loin, pour leur ressembler. Tout cela avait payé, a quinze ans, il atteignait déjà le metre quatre vingt, son corps était tout en muscle. Alors quand son père avait essayer une fois encore de le frapper, il avait esquivé et lui avait redonner coup pour coup toutes ses années de souffrance, sa mère avait était sois disant effrayer par tant de violence, elle avait alors appelé les flics, qui n'avait pas mis longtemps à débarquer. Les jours qui avaient suivi furent un vrai calvaire, ses parents n'avait pas porter plainte, en clamant que j'avais toujours était un enfant violent et qu'ils ne savaient plus comment faire pour m'aider, mais qu'ils m'aimaient... Qu'elle PUTAIN de blague !
D'un comme un accord il partit vivre deux ans chez son grand-père, et entreprit des études dans l'art. Pour réaliser son rêve de devenir tatoueur.

Ohana posa un pied dans la maison récemment acheté de son amie, tout était décoré avec goût, elle reconnue facilement le travail d'Eden, celle-ci avait toujours eu un goût prononcer pour la décoration d'intérieur. Elle entendit du bruit dans le salon et se douter bien que tout le monde fût déjà arrivé, elle avait déjà quarante minutes de retard ! Ce n'était pas ça faut ! Enfin, presque, elle aurait dû programmer son réveil quand elle s'était dite qu'elle pouvait bien s'accorder une petite sieste, à dix-sept heures. Malheureusement, quand elle avait ouvert les yeux, il était déjà dix-neuf heures, et Eden avait donné rendez vous à tout le monde à dix-neuf trente précise, forcément le temps de prendre une douche, d'enfiler sa jolie robe noire à bustier qui mouler ses formes à la perfection, de se passer un coup de brosse dans les cheveux, de mettre un peu de mascara, en se dépéchant d'enfiler ses escarpins rouges sans se tordre une cheville, elle savait qu'elle serait forcément en retard.

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