Pdv de Aliyah
Le lendemain après midi on était on route pour l'Angleterre . On est arrivé le soir . C'est la soeur de ma mère qui nous héberge . Je n'ai pas pu joindre Paul j'ai pas de wifi et ma puce ne fonctionne que sur le territoire français .
Maman: Aliyah , on se dirige directement au commissarriat jai prévenu ta tante .
Moi: ok , mais d'abord je dois voir Paul .
Maman : non , on a pas le temps .
Moi: mais ...
Maman: jai dit non Alya .
Moi: pfff
Maman: pardon?
Moi: rien c'est bon
Maman: c'est mieux .
On est à peine arrivées que l'on se dirige vers le commissariat avec ma mère et ma tante .
Le policier (traduit de l'anglais): que puis-je faire pour vous?
Moi: je vais faire un aveu . C'est moi qui ait cambriolé le casino la dernière fois .
Le policier: oui je savais il y a votre photo dans tous les journaux , je voulais juste que vous le dites de votre propre bouche .
Je suis horifiée en voyant ma tête sur un journal . Ni une , ni deux on me menotte et me met au cachot . Je n'ai même pas le temps de parler à ma mère . Être entre ces 4 murs , derrière les barreaux , j'arrive pas à supporter . Je veux voir Paul . Je veux voir ma soeur . Je veux voir ma mère . Je veux voir mon frère .
Le policier: vous êtes libre .
Moi: Quoi? Pardon?
Le policier : quelqu'un a payé votre caution .
C'est comme la dernière fois . Qui paie à chaque fois ? Et pourquoi? Mais c'est bizar qu'il ne demande pas qui sont mes complices . Je cours vers ma mère qui est dehors .
Moi: mais qui a payé ma caution ?
Maman: je sais pas mais tout ce qui compte c'est que tu sois dehors .
Moi: ouais . Tantie arrivée à la maison tu pourrais me passer la wifi .
Ma tante: bien sur .
Maman: on est même pas encore arrivées que tu penses à ça .
30 min plus tard on est arrivé à la maison . Ma tante m'a donné le code wifi . J'appelle Paul sur WhatsApp .
Paul: allô ?
Moi: Paul, c'est Aliyah . Ça va ?
Paul: oui ça va et toi ?
Moi: ça va . Tu sais je suis à Manchester ?
Paul: arrête de croire que je suis uncon .
Moi: non , serieusement je suis vraiment à Manchester . Je suis allée au comi ... enfin c'est une longue histoire .
Paul: bah on peux se voir alors . Tu me raconteras ton histoire la.
Moi: oui viens me chercher .
Paul: ok c'est quoi l'adresse .
Moi: attends je demande à ma tante .
Je lui donne ladresse , 1h plus tard il est devant chez ma tante .
Moi en sautant: Pauuuuulll !!
Paul: pff t'es toujours exitée toi .
Moi: oh ta gueule . Je suis trop contente de te voir .
Paul: oui moi aussi . Calin ?
Moi: tshipp
Paul: ohh tu te plains trop .
Il me prend dans ces bras . Je le voulais mais j'ose pas le dire . J'suis pas une meuf à calin .
Paul: tu veux aller où ?
Moi: euh... je sais pas .
Paul : tu veux aller chez moi ?
Moi: ouais .
Paul: ok , allons y .
On se dirige chez lui . Son portail est IMMENSE !!! Et j'ai rien vu encore . Je me sens mal ici . Je me sens .... très pauvre ... très ... petite .
Paul: voilà c'est chez moi .
Moi: waouh .. c'est ... beau. Tu vis tout seul ?
Paul: ouais .
Moi: Dans cette grande maison ?
Paul: ouais .
Moi: waouh . C'est pas trop grand .
Paul: non . Ça me va .
Moi: ok
Il me fait asseoir dans le salon , elle fait la taille de toute ma maison ! Tu peux fuguer sans quitter la maison tellement c'est grand .
Paul: tiens de la limonade .
Moi: merci .
Paul: sinon , c'était quoi l'histoire qui était trop longue au téléphone .
Moi:laisse tomber .
Paul: non
Moi: si , je veux pas en parler .
Paul: hum , ok . T'es venue faire quoi à Manchester ?
Moi: je suis venue voir ma tante .
Paul: t'es pas venue pour moi ?
Moi: euh ... non !
Paul: pff je sais que si mais tu veux pas l'assumer . Tu repars quand ?
Moi: Demain ou après demain ou cette semaine .
Paul: non pars pas !
Moi: bah si , je vais pas envahir la petite maison de ma tante.
Paul: bah viens chez moi !
Moi: mdrrrr , très marrant .
Paul: non sérieux .
Moi: ...
Paul: ...
Moi: tu veux juste avoir une bonne c'est ça ?
Paul: non . Je veux être avec toi .
Moi: non , j'suis pas ta femme , je reste avec ma mère .
Paul: Aliyah wesh!!!
Moi: jai dit non . Arrête .
Paul: ok .
Moi: ok .
Pendant 5 minutes on se parle plus . Et là il lâche :
