Chapitre 8

3 0 0
                                    

Point de vue d'Andy :

Je me préparais pour une journée de cours des plus ordinaires. Je m'habilla et sortit de chez moi. Mes écouteurs aux oreilles, je me motivais par mes chansons préférées du matin. Je marche entre les ruelles et avenues regardant les maisons qui se tenaient face à face, identiques et avec 2 étages une petite avant-court, les buissons bien coupés. Le style occidentale américanisé mais toujours cette touche de retard français des quartiers pavillonnaires. Chaque famille bercée par cette illusion de sécurité et de confort lorsque ils verrouillaient la porte d'entrée et fermaient les volets des fenêtres, ou lorsque le moment arrivait de se blottir sous une couette devant la télévision. Ces moments chaleureux et simples étant le symbole même du bonheur que chaque être humain avait besoin; un foyer chaux, un toit et des proches aimants. Mais cela appuyait encore plus le contraste de l'injustice, que nous étions privilégiées et de moins en moins conscients. Nous se voulions pas reconnaître la valeur de ce que nous possédons et désirons les biens de nos voisins. Nous pleuions quand ces choses partent et les négligeons qu'elles sont présentes pour nous. 

Mon esprit continue à lister les absurdités de l'Humanité quand mon attention dériva vers elle. Que faisait-elle ici ? La fille qui dort dans la foret, elle était bien réelle. Marchant sac à l'épaule, un peu endormie, un peu distraite. Elle n'avait pas l'air du matin. Je me rendis compte de mes pieds s'entaient arrêtés. Je fis tellement surpris de l'apercevoir ici, comment ai-je pu ne l'avoir jamais aperçu  sur mon itinéraire habituel? Je repris mon chemin tout en gardant mon attention sur elle. Je ne pensais pas la revoir tellement elle fut semblable à un souvenir. Elle était sublime avec ces longs cheveux noirs qui virevoltaient derrière elle. Sa peau plus hâlée qu'autrefois se ressortait sur ces mots qui étaient la seul partie non couverte. Elle était vêtue entièrement en noir, çà lui allait plutôt bien. le soleil levant reflétait des reflets roux dans ses cheveux raides ce qui les rendaient plus atypique. 

Je souhaitais allé la voir, juste lui demander son nom, je ne savais rien d'elle. Ce qui rendait ma contemplation plus ridicule que perturbante. J'étais déboussolé quand elle était près de moi, mon esprit divaguait sans cesse a cause d'une simple inconnu. Mes barrières psychiques se disloquaient à cause d'elle. Je devais savoir comment pouvait-elle être capable de cela alors qu'elle n'était qu'une humaine. Je garda une certaine distance mais la suivait pour savoir ou elle voulait se rendre. Apres quelques 20 mêtres, je constatais avec étonnement qu'elle se dirigea vers mon lycée. Elle est dans mon lycée? Cela pourrait être avantageux pour me renseigner sur elle; Cette fille n'était pas une simple mortel, je le sentais, par sa prestance, sa relation étroite avec la nature comme cette dernière était sa mère, elle avait  cet air sauvageon semblable à une sylvestre ou une gilide. Je devais en savoir plus

2 humainsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant