Laisse moi seul | Billdip

Chapitre X

Le lendemain, voir Will se précipiter dans les bras de Mason n'a rien fait d'autre que de me faire sourire.

Je sursautai quand une main atterrit sur mes fesses.

— Pine tree !

— Ohayo !

— Tu parles japonais toi  ?

— Bah ouais tu crois quoi ? Enfin... tu as fais la paix avec Will ?

— Oui, merci, Pine tree !

Je déposai simplement mes lèvres sur le siennes. Il m'interrogea du regard. Je lui dis que si il n'avait rien dit à Mason, je pense qu'il aurait fermer sa gueule.

— Bill ! Il veut te dire quelque chose, sourit Willy.

Mason me fixa avec les sourcils froncés. Qu'il est moche.

— Je... je suis désolé, argh... de t'avoir tendu un piège.

...

J'aurai dû filmer.

— Quoi ? J'ai pas entendu.

— Ferme-là Barbie pute !

Je souris. Il continua de me fixer silencieusement. Will l'interrogea du regard pendant que Dipper... je crois qu'il mate mon cul. Je lui donnai un coup de coude et il gémit de douleur.

— Aïeuh !

— Arrête de mater !

— Je mate si je veux d'abord. Ton cul est à moi !

— OK, on est ravis de l'apprendre... Bill j'attends.

Tous le dévisagent.

— Attends quoi ?

— Tes excuses.

— Euh ? D'où ?

— Tu m'as tabassé la gueule.

...

...

...

— Tu le méritais morceau de merde.

— Bill, gronda Dipper.

Je soupirai.

— Très bien ! Je suis désolé de t'avoir frappé, c'était idiot de ma part d'avoir eu recoure à la violence. Mais tu m'as fais chier mais à un de ses point que j'ai perdu le contrôle.

— J'accepte.

— Maintenant un câlin !

— Jamais de la vie Dipper ! Criâmes en cœur.

— T'façon, je vous aurai pas laissé faire, bouda-t-il.

Au dîner, nous fîmes une battle de regard avec la chose. Dipper mangeait comme si de rien était en touchant ma cuisse de temps en temps et Will fronça les sourcils.

— Arrêtez et faîtes la paix, soyez amis, soupira le bleuté.

— Désolé chat, mais être ami avec ton frère m'est impossible.

— Pareil pour ici, mais on peut essayer de se supporter mais si je dois une fois appeler quelqu'un pour cacher le corps de Mason Pines, je ne l'appellerai pas.

— Bien-sur que non, vu que c'est moi.

— Justement.

     Je reçus un coup de pied dans la jambe, ce qui fit sauter la main de Dipper. Je me crispai.