~ Épilogue ~

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PDV Luna:

Accroupi au le fond de ma garde-robe de ma chambre, je rassemble met dernier souvenir pour les ranger dans une boîte. J'empile mes albums remplis de photo, plus importante les unes que les autres. Je souffle et soulève la tour que je venais de faire. Je me relève tout doucement et fait attention pour ne pas trébucher, maladroite comme je suis, tout en gardant la pile la plus droite possible. Je dépose le tout dans une des boîtes en carton. Une photo virevolte dans les aires avant de tomber face cachée sur le sol. Elle a sûrement dû s'échapper d'un des albums. Je m'accroupis à nouveau en replaçant une mèche rebelle derrière mon oreille. Je la prends tout doucement avant de la retourner. Je me relève et la fixe longuement. C'est une magnifique photo prise à l'hôpital lors de ma naissance. Il y a ma mère qui allonger dans un lit de la maternité, me tenant dans ses bras , un regard soulagé sur le visage et un petit sourire au coin des lèvres. Je dors paisiblement, profitant de la chaleur corporelle de ma maman. Juste à côté il y a mon papa qui m'embrasse tendrement sur la tête. Quelle magnifique photo. Ils me manquent terriblement, c'est fou. Je remets la photo dans son album avant de commencer de pleurer comme une madeleine. J'essuie les quelques larmes qui ont réussi on s'échapper et continue mon rangement.

Je dois préparer et ranger la maison, car elle est en mise en vente. Mon oncle et ma tante risquent de ne pas revenir de si tôt, donc j'ai décidé de vendre la maison. En plus, je me prépare pour l'université, je risque moi non plus de ne pas m'en occuper et je n'ai pas les moyens de la garder. Je vais vivre dans un appartement non loin de l'université avec Matteo. Ça fait beaucoup de choses à organiser, mais pour l'instant j'y arrive. D'ailleurs il faudrait peut-être que je vérifie que la chambre des maîtres soit rangée. Je sors donc de ma chambre et parcours le corridor jusqu'à la plus grande pièce de cet étage. Je tourne doucement la poigner et ouvre enfin la porte. Je reste un moment à fixer les alentours. Elle est presque vide. Il reste seulement le grand lit et quelque bricole. Je rentre et m'assure que tout est en ordre. Je regarde sous le lit, rien. Je regarde dans un peu partout, rien. Il me reste plus que le dressing. J'ouvre alors la seule porte de la pièce et actionne les lumières. Il reste quelques cintres et vêtements, je sors le tout et le pose sur le lit. Je vais peut-être les donner à la charité. Je ramasse les quelques objets restants et alors que je ferme définitivement la porte, j'aperçois une petite boîte noire sur l'étagère la plus haute. Hors d'atteinte. Je dépose ce que j'avais dans mes mains et pars chercher une chaise. Vu ma petite taille j'en ai grand besoin. Je trouve enfin une chaise dans la pièce d'à côté et grippe dessus pour atteindre la petite boîte. Je me mets sur la pointe des pieds et réussi enfin à la prendre. Je m'assis sur la fameuse chaise et ouvre la boîte. Des papiers s'y trouvent. Je déplie la première. Je lis rapidement, rien d'intéressant, je prends la seconde, toujours rien. Je prends le dernier papier et l'ouvre. C'était un document important.

" Sharon Valente Benson, plus connu sous le nom de Lili Valente Benson, est la femme la plus riche l'Argentine. Avec des milliers de dollars en poche, elle mène une double vie. Elle est la propriétaire de la villa "Benson" situé dans la ville de Buenos Aires. La villa, transmise de génération après génération, sa fortune est destiné à sa nièce Luna Valente Benson.

Ce document est à faire signer par "LUNA VALENTE BENSON"

Signature:____________________

Date:______________

À partir de son 18ème anniversaire, Luna Valente Benson, est apte à être la propriétaire de la villa Benson.

Est-ce encore possible? (Terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant