Chapitre Un

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"Nos ancêtres on décidé de construire une Terre artificielle suite à d'important dégâts causés en grande partie par les hommes. Cela a accéléré la dégradation planétaires. Plus de 6 milliards de personnes furent tuées dans la construction de cette utopie volante. Plus de 2 milliards restèrent de sur la planète et décédèrent suite au mauvais état de celle-ci. Nous sommes aujourd'hui seulement 1 milliard, suite a une décision de faire une restriction des naissances. Seule les familles dirigeantes sont autorisée a voir plus de 3 enfants. Certains ne survivent pas longtemps, a cause des molécules toxiques et cancérigènes des précédant Hommes.

Les familles dirigeantes sont au nombre de 5: Ball, Lennert, Keneseter, Clausen, Kriver. Les Ball s'occupent de l'économie du pays, les Lennert des productions, les Kenester des services publiques, les Clausen de la justice et du bien être et les Kriver de la branche militaire."

A ce dernier nom, plusieurs personnes se retourne vers moi, chuchotant des choses sans réelle importance. Cela fait bien 3 ans que je suis dans ce lycée, il y aura toujours des murmures. C'est la rançon de la gloire d'après mes parents. Je m'en serai bien passé. Assise au fond de la classe, j'écoute d'une oreille les dire de mon professeur. Je ne sais pas vraiment ce qu'il raconte comme idiotie mais je reste silencieuse pendant les cinq dernières minutes de ce cour qui me parurent 5 heures de plus.

Finalement la sonnerie retentit dans tout le bâtiment. Je partis rapidement et me dirigea vers le toit du lycée. C'est une des bâtisse les plus grandes de Sinao, le quartier Sud de Novus. Je m'installa près d'un conduit inutilisé depuis longtemps et contemple la vue. Les immeubles sortent de terre partout où l'on pose le regard. Impossible de voir une quelconque fin. La lumière artificielle rythmant nos vies passe a travers les fenêtres et propose un spectacle magnifique à qui lèverai les yeux. Malheureusement, toute les personnes visibles du toit marches vite, sont pressé ou au téléphone. Je sortis le mien en mettant des écouteurs et lançant une musique du Vieux Monde. Voilà comment était qualifié ce monde où la lumière était naturelle, l'eau puisé dans la mer, les rivières... Je soupira. Voilà trente minutes que je suis ici. Mieux vaut rentré avant que l'on remarque mon absence. Je descendis les escalier deux par deux et partis en direction de ma maison.

Les gens me regardent bizarrement. Pourtant ils devraient avoir l'habitude de me voir. Cela me rends irritable et je range ma veste portant l'insigne de ma famille dans mon sac presque vide. Je passa devant un lycée. Un autre. Celui-ci était différent du mien. Il n'y a que les meilleurs dans le mien. Il n'y a jamais de rire, de bagarre, d'amusement. Tout est rythmé par les études.

Soudain, un cri brisa ma contemplation. Une jeune fille de mon âge se faisait agressé. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé ensuite. Je ne sais pas pourquoi j'ai fais ça. Je n'ai aucune idée de qui est cette fille. Et surtout, je ne savais pas que ça allait changé ma vie à jamais.

Mon corps se déplaça tout seul. Il s'interposa entre les deux caïds et la fille à terre. Un mouvement de bras contra son poing et je le mis à terre. Son ami le regardait, le souleva et partit en courant. Mes pieds se retourne sur le sol et mes bras soulèvent cette inconnue. Mes jambes me ramène jusqu'à chez moi et la porta sur mon lit où son poids s'y laisse tombé. Je la regarde. Ses yeux marrons sont perçant malgré les rougissement dût a des larmes refoulées. Ses cheveux bruns, en batailles à cause de l'affrontement, rendent hommage à la formes de son visage, ses trait fin, ses lèvres fines.

Un reniflement me ramène à la réalité et je partis prendre une trousse de soin, aussi complète que petite. Je posa un genou par terre et passa ma main sur sa joue, pour avoir un meilleur angle pour désinfecter la plaie au niveau de son arcade sourcilière. Elle sursauta un peu mais se laissa faire. Doucement, j'humidifie le coton et le passe sur la petite blessure. Un grognement me répondit rapidement.

"Après t'être faites tabasser par deux brutes, tu devrais pouvoir supporter un peu d'alcool à 60%.

-Pourquoi tu m'a aidée ? demanda-t-elle en ignorant mon commentaire.

-Pourquoi pas ? dis-je, je ne pouvais pas vraiment répondre à ça, je ne connaissais pas la réponse.

-Une membre de la famille dirigeante ne se salit pas les mains pour rien. Tu veux quoi ? Que je sois à ton service ? Ne compte pas là-dessus.

-Je ne compte pas avoir de serviteur, ou d'autres trucs du genre. Tu pourra partir et faire comme si rien ne s'était passé si tu veux.

-Je ne te crois pas..., dit-elle en me regardant bizarrement.

-Très bien. Vus que j'ai finis de te soigner, je vais ranger tout ça là où je l'ai trouvé et tu aura largement le temps de t'enfuir, dis-je en partant de ma chambre."

J'allai en direction de la salle de bain. Elle n'était pas très loin. J'entra et rangea un peu la trousse avant de croiser mon propre regard dans le miroir. Mes yeux étaient plutôt bleus aujourd'hui. Mes cheveux châtains étaient ébouriffées et négligées. Il était court et je passa ma main pour remettre en état même si c'était vain. Mes lunettes rondes reposaient sur mon nez et étaient assez ronde. La monture en métal assez fine était simple. Mon nez avait une petite bosse sur le dessus et mes lèvres étaient assez fines. Mais ce qui me choquait le plus était le petit relèvement sur le coin de celles-ci. Un sourire comme on dit souvent. Il s'estompa au moment où je le remarqua.

Un peu perturbée, je repartis vers ma chambre, pensant ne pas revoir cette inconnue qui me fait des choses très bizarre. J'entrouvris la porte mais à mon grand étonnement, je la vis toujours à la place ou je l'avais laissée. Elle était pourtant sur le dos, regardant mon plafond. On pourrai dire que les étoiles sur celui-ci se reflétaient dans ses yeux. Comme elle ne me vit pas, j'activa un bouton puis éteignis la lumière. Au lieu du noir, les étoiles se mirent à scintiller. Elle s'assit et m'invita a m'asseoir, ce que je fis.

"Au fait... Moi c'est Isis. Isis Fernandez, dit-elle en se recouchant

-Noa. Noa Kriver.

-Noah ? C'est un prénom de garçon ça non ?Elle me regarda fixement

-Avec un H. Moi, c'est juste N-O-A, épelais-je.

-Je vois..."

La conversation s'arrêta là. Je ne pensais pas être avec quelqu'un d'autre que Morphée dans mon lit. On observait la réplique du ciel du Vieux Monde. Sans un bruit. Seulement le silence. Seulement nos yeux, s'aventurant entre une constellation, passent d'une ligne à une autre.

Cette rêverie dura un temps a la fois éternelle et inexistant. On frappa a ma porte et quelqu'un entra. Ce fut mon majordome Alphonse. Il nous salua et sans un mot, Isis se leva, prit son sac et se dirigea vers la porte. Elle s'arrêta devant et me regarda. Elle sourit l'espace d'un instant et repartit chez elle. Je suppose en tout cas. Son sourire resta gravé dans ma tête. Son visage, son corps, sa voix. Chaque élément d'elle était encré en moi. C'est lorsque Alphonse se racla la gorge que je me leva et partis a sa suite, intriguée par un nom.

Isis

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Voilà un premier chapitre ! Je ne sais pas si il y a des fautes, mais je voulais vraiment commencé a écrire :) Merci de commenté si vous avez des avis ou autres !

Bye !!

Toi, Moi, et les autresWhere stories live. Discover now