Noces interdite.

Trois

Pendant un instant, le temps c'est arrêté. Cette seule phrase avait réussi à lui faire oublier ces années d'ennuis et de pensées aussi farfelues les une que les autres. La jeune femme ne savait plus trop où  se mettre; elle avait l'impression que son cœur allait prendre ses jambes à son cou. Ils étaient là, se regardant fixement, droit dans les yeux. Elle ne faisait que le regarder, stupéfaite par ce qui lui arrivait. Une chose de bien dans une vie dont la monotonie était si absorbante qu'on ne pouvait que s'y résoudre. Bientôt elle allait disparaître pour laisser naître quelque chose de beau, qui s'en aurait douter !? Personne.

Quelques secondes se sont juste écoulées mais on aurait cru que toute une vie venait de passer. Dyn fît volte-face et je préparais à  partir lorsqu'il tourna la tête et dit:
- Jeune et jolie fleur, je reviendrai pour connaître ton prénom, pour l'heure, le seul fait de t'avoir découverte suffit à mettre un parfum de bonheur dans ma journée.
Puis il s'en alla.

Elle l'observa jusqu'à ce qu'il ne soit plus dans son champs de vision.

- Que m'arrive-t-il ? Se demandait-ell. C'est la première fois que je me sens comme. Il s'agit peut-être d'une sorte de sortilège. Il mecmecserait pas possible de tomber amoureuse d'un tel personnage.
Elle se senti envahie par ses pensées, emportée par un tourbillon de sentiment qu'elle n'arrivait pas à s'expliquer. Elle décida de rejoindre sa chambre.

Après cette scène tout à fait fortuite, Dyn et sa délégation se dirigeaient vers la salle de réunion où, y attendait quelques dignitaires humains. Pendant le trajet, il n'était pas étonnant que certains vampires qui ont assisté à la scène s'interrogent..
- Arrêtez vos messes basses er posez moi donc directement la question. Dit- il d'un coup.
- Alors dîtes nous pourquoi vous vous êtes approchés de cette humaine. Demanda l'un.
- J'étais poussé par une forcément je ne saurais vous expliquer le fondement.  Mon corps a réagi seul. Il fallait que je m'approche d'elle.

À ces mots, ils furent tous étonnés. Ils ne comprenaient pas comment un être tel que lui, garant d'une supériorité raciale, attiré instinctivement par une "simple humaine" qui n'a pour particularité que sa noblesse. La naissance de cette histoire allait créer un cohut pas possible dont on ne saurait éviter les conséquences. Nul ne savait à  quoi s'attendre mais l'inquiétude pouvait se faire sentir chez les notables de cette délégation.

Quelques instants plutard,  les voilà devant les dirigeants humains dans une salle de réunion où se trouvait une longue table et ovale qui était munie deux grandes chaises à chaque extrémité, assez imposante, un peu comme des trônes mais sauf qu'elles n'en avaient pas la structure ou les ornements faisant pensée à un objet de royauté pour les chefs. Puis sur chaque côté se trouvais des chaises avec des envergures moins imposantes pour leurs bourgeoisie. La réunion allait pouvoir commencer. Tous les acteurs étaient en places.