cinq

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j'ai arrêté de compter
les jours précédents
ton départ.

tu ne vas pas revenir pas vrai ? ça fait deux mois papa. si tu voulais rentrer à la maison, tu l'aurais fais.
je n'arrive pas à croire que tu nous laisses tomber. tu disais que tu serais toujours là, mais t'es parti.
au fond, je pense qu'il faut arrêter de s'attacher. tout le monde finit par partir. que ce soit aujourd'hui ou demain, ça ne change rien.
j'essaie comme je peux d'être heureuse mais mon sourire ne remonte pas jusqu'à mes yeux.

« - oh maman, si tu savais à quel point papa me manque. »

sourire forcé Où les histoires vivent. Découvrez maintenant