Chapitre 7

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Dring dring dring.

J'étais en plein sommeil lorsque le bruit du téléphone vint déranger ma tranquillité. Je me retourna vers le côté d'où je supposait que la musique venait. Une douleur me traversa au moment où j'essayais d'étendre mon bras pour atteindre le portable.

-oui allô???
....
-wesh t'inquiète. Je vais rentrer d'ici midi au plus tard.

C'était Stella qui parlait au téléphone. Sa voix me rappela nos instants de folie avant de s'endormir. C'était tout simplement super. J'en avait presque le sommeil en souvenir. Je me suis mis à ouvrir petit à petit mes yeux.

-bonjour mon beau.

La superbe vue que j'avais d'elle ne me donnait pas le temps de lui répondre. Le drap recouvrait juste une partie de sa cuisse gauche. Elle était toute nue et très belle comme ça. Elle eu un petit sourire au coin des lèvres.

-qu'est-ce qui te fait sourire?
-toi.
-ah wesh?
-oui. Tu as un regard dévoreur.
-c'est normal, ça traduit mes pensées.
-oh, de si bonne heure?
-il est quel heure?
-9h30.
-et pour toi tu crois qu'il est trop tôt pour avoir des envies?
-haha, façon de parler. Et puis je suis étonné que tu sois toujours d'humeur sexuelle après tout ce que nous avons fait un peu plus tôt.
-c'est de ta faute.
-ah???
-oui.
-et je peux savoir ce que j'ai fait?
-fallait juste pas me donner autant envie.
-et je fais ça comment?
-ton corps parle tout seul.
-haha, mais là c'est de ta faute fallait juste fermer tes yeux.
-comme ci ça ne te fait pas plaisir...
-wesh j'avoue.
-approche.

Elle déposa son portable sur la table de chambre puis s'aventure vers moi tout lentement. Pendant ce temps, le drap avait quitter son corps et me laissait l'entrevoir dans toute sa beauté avec ses formes généreuses. Il y a une certaine complicité entre ses fesses et sa hanche putain, c'est un mélange alcoolisé. Elle s'arrêta tout brusquement et avant que je ne m'en rende compte, elle était positionner à la hauteur de mon entrejambe. Elle me fixa dans les yeux puis me fit un petit sourire. Elle astique mon gland délicatement avec sa main avant de l'attaquer à pleine gorgé.
Ce genre de moment où tu as juste envie que l'instant vécu soit éternel. Je sentais ma masculinité en vie. Ce n'était pas juste une question d'excitation, mais bien plus que ça. On aurait dit que sa bouche et sa manière de manier sa langue sur mon gland avaient le don de me revitaliser. Je ne ressentais plus de fatigue. C'est la deuxième fois que j'ai ce sentiment. Rares sont ces filles même qui se soucis de donner du plaisir en retour. C'est un carrefour du donnant donné. J'avais plus envie de me sentir en elle alors je l'ai interrompu avant de la retourner. J'ai soulevé ses deux jambes en maintenant mes bras en forme de levier de part et d'autre des jambes. Elle avait le bassin un peu soulever. Cela lui permettra de ressentir plus mon pénis et la pénétration est plus facile. Mon gland était si dur que je n'eus pas besoin de ma main pour pénétrer la chatte de Stella. C'était tout chaud et au fur et à mesure que je multipliait mes coups de reins, elle mouillait ce qui limitait l'effort ou plutôt me permettait d'augmenter ma vitesse. Elle criait, gémissait, me demandait de continuer tout en s'agrippant très fort au drap. J'en prenais du plaisir à la voir se débattre face au plaisir. Ça chatte avait l'air plus douce ce matin. Je menais un combat intérieur pour faire durer le plaisir plus longtemps et ne pas vite éjaculer. Au bout d'un moment, mon corps ne pouvait plus supporter mon refoulement. Une vague de plaisir me traversa avec une telle intensité que j'ai éjaculé en elle. Maintenant je comprends mieux ce que les gens ressentent lorsqu'ils ne portent pas la capote. Je devrais probablement penser aux risques qu'on en cours mais là le plaisir dépasse mon niveau de stress.

-oulala c'était vraiment chaud, entama Stella entre deux respirations.
-j'ai grave adoré.
-oui et tu as joui en moi. Je l'ai ressenti et ça m'a donné plus de plaisir.
-ah oui?
-bien-sûr. Ça fait plaisir de voir que c'est moi qui t'ai mis dans cet état.
-haha, une question de fierté féminine?
-on peut dire ça.
-une chose est sûr, c'était vraiment spécial.
-Oui vraiment spécial. Tu as un sacré talent.
-haha, c'est de sexe on est entrain de parler je te rappelle.
-haha je sais. C'est un compliment.
-merci.
-bon on se prépare à partir non?
-oui oui. Tu m'as assez épuisé.
-hihi. Moi tu m'as comblé de plaisir.
-ah ravi. C'est un honneur pour moi alors.
-wesh hihi.
-on se prend la douche ensemble?
-oui pourquoi pas.

On s'est levé pour se diriger vers la douche. On y est rentré et avons commencer à se passer le savon et à se frotter mutuellement le corps. On aurait dit un parfait couple. Une fois après avoir finit, on s'est rhabillé.

-on descend prendre un truc à manger en attendant les autres?
-il est quelle heure?
-11h30.
-ok. Mais moi vais pas manger, j'ai de la bouffe qui m'attends à la maison.
-ok. On y va, je prends un truc vite fait.
-d'accord.

Nous avons pris l'ascenseur pour descendre. Nous sommes passer à la pâtisserie.

-hé ho???

C'était Casimir, Malik et les filles. Je pense que nous avons tous eux la même idée.

-salut les bro. Comment vous allez?
-bien gar, toi pas besoin de te demander, reprit Casimir pendant que Malik me lançait un regard de suspicion.
-alors nous les filles on a pas droit aux salutations? Me demanda Gertrude.
-hihi désolé j'allais en venir à vous. Je vous trouve très rayonnantes.
-très flatteur de ta part haha. Mais ça fait plaisir. Répondit Aurore.
-bon vous êtes prêt?
-non le temps de prendre un truc vite fait et on peut partir, lui répondit Stella.
-d'accord.

Elle partit faire une commande de croissant napolitain qui était déjà disponible.

-c'est bon.
-ok en voiture.
-qui règle?
-j'ai tout gérer depuis hier soir t'inquiète.
-ohh c'est gentil Monsieur Malik.

On s'est mis à rigoler à cause de l'accent qu'avait utiliser Stella. Elle est vraiment comique cette meuf.
Nous avons déposer les filles chacune chez elles, ensuite se fût le cas de Malik puis de Casimir. Je suis rentrer tout exténué. Quand j'ai garé la voiture j'avais la flemme de retrouver mon lit. Il y avait du bruit dans la cuisine, moi je suis monter directe me coucher tellement j'étais fatigué.

Mon péché mignonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant