Chapitre II

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Etant en pleine ville, les braquages sont monnaie courante ici à Los Angeles. Chaque habitant dès la naissance est programmé pour résister à ces formes d'agression, crier, frapper et courir. S'il est armé, lui donner ce qu'il demande et enregistrer par la même occasion tout ce qu'on pourrait utiliser pour le retrouver, yeux, bouche, voix, odeur, plaque d'immatriculation s'il s'enfui avec une voiture. Il fallait faire attention au moindre petit détail, car celui-ci même pourrait soi vous sauver la vie, soit vous permettre de récupérer tous ces objets auquel vous tenez et que le voleur aurait pu vous prendre de force.

Et si par un heureux hasard un habitant voyait quelqu'un ce faire braquer il lui devait secours et aide. Voilà comment nous fonctionnions, même si bon nombre d'américain n'appliquait guère toute ces préconisations.
Ce qui expliquait donc la hausse des braquages en pleine rue. Les personnes se disent que s'ils ne sont pas visés par cela, « ce n'est pas mon problème », ou « je n'ai jamais subi cela et ce n'est pas aujourd'hui que cela arrivera ». Et lorsque cela nous arrive, car oui cela peut arriver à n'importe lequel d'entre nous, on regrette de ne pas avoir aider ces autres personnes qui subissaient comme nous en ce moment ce terrible traumatisme.

Pourtant malgré la dangerosité que représentait la situation qui aurait pu m'arriver une fois que j'ai senti ces bras autour de mon cou, je ne me débattis pas. Le simple fait de sentir son odeur m'extasia et me calma à la fois.

« Alors... je n'ai pas entendu mon nom lors de tes remerciements. Pourtant je suis un acteur très précieux de cette entreprise, murmura-t-il dans mon oreille.

- Mais pourquoi le ferait-je vu que ne te voyant pas à ce meeting, je ne pensais pas cela important de préciser ton importance dans ce projet Aaron »

Je me détachai de sa prise, et me retourna pour le regarder droit dans les yeux.
Il était toujours, comme à son accoutumé, sexy et parfais. Ces trait latino, son sourire charmeur et ces yeux marron claire luisait dans la nuit. Ses cheveux couleur ébène habituellement lâcher était plaquer avec du gel, qui les rendait encore plus brillant. Son costume lui donnait une allure assurée et confiant. Il n'était ni trop musclé, ni pas assez. Juste ce qu'il fallait pour te sentir protéger et en sécurité a ses côtés. Il était tout bonnement rayonnant.

« Et pourtant j'étais là. J'étais en appel vidéo avec Marie, sa ma permit de suivre tous le discours même si je n'ai pas pu être présent physiquement, je m'en excuse d'ailleurs

- Excuse accepter, mais comme tu le vois ton absence n'a en rien gêner l'accomplissement de cette journée

- Cesse de parler avec ton grand français pour éviter d'avouer que je t'ai manqué, d'dit-il en se rapprochant de moi

- Tu ne m'a point manquer après ces deux longue semaine d'absence, lui rétorquait-je avec un air hautain

- Oh toi qu'est-ce que tu peux être bornée parfois, une vraie tête de mule, mais ce n'est pas grave je sais que je t'ai manqué. C'est Marie qui m'a dit que tu ne cessais pas de lui demander des nouvelle de moi -hin mon p'tit coquin »

Nota bene : Après avoir assassiner cet idiot pour m'avoir appelé coquin en me tapotant le torse, je dois pendre Marie et la torturer à blanc jusqu'à ce quelle promette de ne plus jamais divulguer des information secrète. Et sa ce dit meilleure amie après.

« Ne m'appelle pas comme cela, je te rappelle que je hais se surnom et que l'on n'ait pas en couple A'

- Malheureusement chaque jour qui passe me le rappelle mon ange. Et dire que nous aurions été le plus beau couple que l'univers n'est jamais connu

- Toi petit coureur de jupon que tu es, cela n'arrivera jamais, et je te rappelle que je ne t'aime pas. Je m'inquiète pour toi mais je ne t'aime pas.

- C'est tout aussi bien pour moi. L'inquiétude n'est-elle pas la base d'un amour caché

- Et la stupidité, celle de l'inconscience

- Et les amoureux, venez la fête va bientôt se terminer il faut dire au revoir aux invités et venir m'aider à ranger la salle, s'exclama soudain Marie derrière nous

- On arrive, répondit Aaron avant moi, aller tu viens mon p'tit coquin »

Je refusai lassé, la main qu'il me tendait, le précédant tout en entendant ces rires dans mon dos.

La fin de la soirée se passa sans nouvelle surprise. On salua et remercia les créateurs pour leurs présences et on s'accapara par la suite à ranger toute la salle pour que le salon puisse ouvrir dès demain au grand public.

Pendant tout le rangement je m'accaparai sérieusement à ne pas me retrouver trop proche de Aaron, de peur qu'il ne m'énerve encore avec ces allusions à deux balles ou avec son besoin inestimable de m'appeler coquin. Je haïssais se mot depuis que mon ex petit copain m'avait trompé. C'est lui qui avait l'habitude de m'appeler ainsi. A' le savait parfaitement et avait pour espoir que ces lui qui aurait le privilège de pouvoir m'appeler ainsi lorsque j'aurai enfin décider de sortir avec lui. Sauf que ce qu'il ne savait pas, c'est que je détestais tant ce mot que je refusais et refuserai à jamais que quelqu'un ose prononcer ce nom à mon égard.

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⏰ Dernière mise à jour : Jan 17, 2019 ⏰

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