Arthemis et les Mondes Fraternels

Chapitre 7

Je suis désolez, ce chapitre doit être truffé de fautes d'orthographes ! 

Et il est très long, mais j'espère qu'il vous plaira ! :)

A l'intérieur du portail, tous était sombre au départ. Et plus le rien qui les entouraient s'éclaircissant plus Arthemis avait l'impression d'être dans une boite que l'ont secouait. Elle jeta un coup d'œil vers Azilys Loïs et Mishiko. Ils n'avaient pas l'air d'être embêté par les mouvement que le vide les faisait faire.Cela dura environ 10 secondes, mais cela parue plus que des heures pour Arthemis.

Et enfin tous s'arrêta, sèchement. Arthemis fut projeté a terre violemment, lui coupant le souffle. Elle avait le souffle court, et et un mal de tête infernal. Elle était allongé face contre terre, allongé a plat ventre, le nez dans ce qui devait être de la bout .Elle se retourna avec mal sur le dos. Elle ouvrit les yeux avec difficulté. La lumière était très vive, comme le soleil du midi.

Elle releva le dos, et s'assit. Elle regarda alors le paysage qui l'entourait.

Merveilleux.

Un lac brillant sous la lumière du soleil au centre d'une chaîne de montagne verdoyante. Des forêts de pin vert le surplombait, grimpant sur les hautes montagnes . Au milieu de lac, se trouvait un imposant squelette blanc comme la neige. Il ne restait que les os de l'animal qui avait jadis due être géant, mais il était impossible a Arthemis d'identifier la créature. En l'examinant avec béatitude,elle se rendit compte que le squelettes était constellé de troue et de ligne. Et en réfléchissant, elle comprit que c'était des fenêtre et des ponts, reliant des ouverture entre elle.

En baissant la tête, elle vit des villages au toit roussie. Les maison était presque toute collé et les rues devait être sinueuses et étroites. Il y avait en son centre une tour qui surplomber les autre demeure. Mais le haut de la tour était décroché du reste et volait au dessus, ballotté légèrement par le vent tel un ballon a hélium .Le village était relier avec de petit chemin de terres, allant toute les directions, tel un soleil et ses rayon.

Elle était d'ailleurs elle même sur un de ses chemins bordé d'herbe et de fleurs multicolore. Un vent rafraîchissant passait a travers ses long cheveux roux. Elle respira un grand coup. L'air avait une odeur de campagne, de ferme, de nature, de pin.

Elle se releva et vit avec peine que ses vêtement était taché de bout.

-Net'inquiète pas, je t'en prêterait ! Dit une voix douce en posant une main sur son épaule.

Arthemis retourna. C'était Azilys, lui souriant, ses tresses voletant dans le vent, formant de gracieuse ondulation.

-Oùsommes nous ?

Azilys s'exclama :

-AGreengras !

Arthemis n'en revenait pas :

-Vous m'avez fait sortir de ce troue a rat, pour m'emmener ici ? Mais c'est interdit ... je ...

Elle secoua la tête :

-Merci... mais pourquoi ? Vous risquez la prison !

-Je l'ai déjà expliqué : si nous ne t'emmenions pas ici, TU serais aller en prison. Je te rappelle que las bas, ils pensent que tu as voulue traversé le portail ! Mais nous te gardons ici à condition que tu ne disent a personne d'où tu viens. Sinon nous irons tous les quatre en prison. Compris.

Elle l'a regardait avec un air grave.

-Jevous le promet.

Elle souris.