Arthemis et les Mondes Fraternels

Chapitre 11

-Arthemis ?

Rien.

-Arthemis ?!

Toujoursrien.

-ARTHEMIS ?!

Cette fois, la jeune fille ouvrit un œil fatigué. Elle le referma aussitôt éblouis par les rayons de soleil matinal dont étaitplongée la pièce.

-Grmmmrmmm...gromellat-elle.

Azilys éclata de rire.

-Allez !Il faut se laiver la grosse dormeuse ! Aujourd'hui tu découvre Brainup ! J'ai ressue la réponse se matin, tu es prise.

Elle courue vers la cloche en vers et tapa deux fois dessus. Le visage d'une vieille dame aux cheveux tiré en un chignon et avec de petite lunette apparue à l'intérieur. Mais elle se matérialisa sous forme d'un feu bleu.

-ArthemisAMATRACIA est accepté à Brainup. Bienvenue !

Le feu disparue.

Azilys se retourna vers Arthemis, et la secoua.

Encore un grognement.

Azilys tenta une dernière fois :

-Unbon petit déjeuner t'attend en bas. Tu sais, il y a du nectar de Glousse...

-C'estbon j'arrive ...

Arthemis se mis en position assise avec difficulté. Elle s'étira un bon coup et se leva.

-Habilletoi et rejoint moi en bas, dit Azilys avec un clin d'oeuil.

Arthemis s'exécuta. Arrivée en bas, elle ne crut pas ses yeux. La table était autant remplit qu'hier, mais avec d'autre plat encore plus à léchant.

**

-Hé !Fait attention Arthemis !

Elle avait faillis tomber à l'eau. Mais les grands poissons qui nageait sous leur barque l'hypnotisant.

-Cesont des Dophins d'eau douce. Leur teinte turquoise. leur vient directement de la couleur de l'eau du lac, lui expliqua Azilys.

Après le petit déjeuner (délicieux) elles étaient toute les deux partie vers le lac et avaient pris une barque avec des rames pour arrivé à Brainup. Le squelette était une île, et les barques étaient le seul moyen d'y parvenir.

Arthemis effleura la surface du lac. Elle retira le doigt aussitôt.

-C'estglacé ! S'exclama-t-elle.

-Oui,et c'est pour ça qu'il ne vaut mieux pas tomber dedans.

Arthemis recula. Non, non. Elle ne voulait pas arrivé dans son nouveau collège mouillée et glacé jusqu'au os.

Enfin,au bout de quelques instants, la barque s'amarra a un pontont enbois, à fleur d'eau.

Azilys guida ensuite Arthemis a travers des tunnels dans le squelette. Chaque galerie était éclairé par de petite feunêtre. La lumière était reflétée par le blanc du squelette, ce qui illuminait tous les tutelz.

Arthemis fut encore plus émerveillé de voire la grande cours.

Au milieux du squelette, ils avaient creuser un grande place où était à présent de nombreux élèves de Brainup. Les murs était couverts de balcon avec de grande fenêtre, et le sol était carlagé élégants carreaux ocres. Quand Arthemis leva la tête, elle pue voir les oiseaux et le ciels, car la cours n'avait pas de toit,laissant passer aisément la lumière du soleil matinal.

-C'est ... magnifique, souffla Arthemis.

-Etoui ! Ici nous sommes très fière de notre école. C'est l'une des plus réputé des Mondes Fraternels !

Azilys laissa encore quelques seconde pour admirer l'endroit, pour ensuite la guidé vers le fond de la cours.

Arthemis reconnue en premier Mishiko, coiffé de son bonnets violets, ses cheveux blancs aux pointes multicolores volants dans les léger courants d'air.

Elle reconnue aussi les yeux vert de Loïs.

Et de dos, elle identifia Hiro, avec ses cheveux noirs ébouriffé.

Ilse retourna et lui fit un signe de la main, la bouche tiré en un sourire exagéré.

-Salutla cousine Azilys, bonjour Arthemis ! Dit il en faisait une révérence pas très gracieuse. Je te présente Loïs et Mishiko...

-Ellenous connait déjà, l'interrompit Mishiko. On s'est vue hier.

Hiro haussa les sourcils :

-Ahoui ? Vous avez fait une réunion SANS moi ?

-C'estlong a expliquer, ne t'inquiète pas, il ne s'est rien passer d'important, lui expliqua Azilys.

Soudain,un bruit grave résonna dans les oreilles de tous les élèves.Arthemis leva la tête. En haut d'une petite tourelle, se tenait ungros monsieur avec une grosse barbe qui soufflait dans une trompe. Ce n'était pas vraiment une trompe... plus une énorme corne de brume accroché directement sur la bâtiment.

-C'est la sonnerie, lui souffla Arthemis à l'oreille. Il faut y aller.