Philosophie de minuit

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Je suis une hirondelle
J'allume les chandelles
Toi mon caméléon
Tu as l'air un peu con

Il est un lapin blanc
Qui s'assied sur son séant
Et ils sont des ampoules
Qui jouent au milieu des poules

Mais sais-tu seulement ?
Pourquoi je t'aime ?
Non, bien sûr
Entre nous il y a un mur

Mais je ne pense qu'à toi
Et à tes oeufs au plat
Je voudrais que tu cuisines pour moi
Ne serait-ce qu'une fois

J'erre dans les rues à minuit
Des biscuits comme seule compagnie
Envoie-moi un signe
Ou un cygne

Je meurs
Ça y est
J'ai peur
Car tu es laid

Beurk
Beurk
Dans les nuits de midi
Un sandwich pour seul ami

***

C'est un poème qui n'a absolument aucun sens !! Je suis complètement d'accord aha mais je l'ai écrit pour m'amuser, il devait être environ deux heures du matin, en faisant rimer les choses sans réel rapport. (Sans aucun rapport même).

C'est juste que parfois, j'aime bien être moins « philosophique », (enfin, si on peut caractériser mes poèmes de philosophiques) et je voulais simplement écrire du beau caca ! Et c'est chose faite ! (J'ai quand même fait rimer "beurk" et "beurk" ! ) Mais bon, comme mon dernier post remonte à octobre je voulais juste vous publier quelque chose, histoire de vous montrer que je suis en vie !

Et c'est sans parler de l'image qui n'a absolument aucun rapport avec ma « philosophie de minuit ». Il s'agit du personnage de Ruth Jamison dans « beignets de tomate vertes », c'est d'ailleurs un excellent film !

Mon excuse pour ce n'importe quoi :

- Je suis malade ?

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