Recueil d'OS

L'accolade

Petit résumé : " on ne se donnera pas l'accolade aujourd'hui alors ? "
Nous avons tous entendus Merlin gémir un " Aïe " c'est donc forcément qu'Arthur lui est rentrée dedans.
Mais que ce passe-t'il une fois les deux, ensemble .. étaler sur le sol
Pensez vous qu'ils ce sont simplement relever pour continuer leurs journées ?
Et si nous découvrions ensemble ce qu'il c'est vraiment passer ... 😉

" On ne se donnera pas l'accolade aujourd'hui alors ? "
Arthur partait en direction du champ d'entraînement, il était à quelque pas de la porte quand il entendit Merlin lui dire ces quelques mots.
Franchement irrité et pas d'humeur, il se dit à l'instant même où les mots franchirent les lèvres de son valet, qu'il allait le tuer !
Il pivota vivement sur lui même, et en se retournant découvrit un Merlin tout sourire aux yeux moqueurs, pour sa personne.
De moins bonne humeur encore qu'il y a quelques secondes à peine, lui le grand Roi Arthur ne pouvait supporter qu'on se moque de lui ainsi, même si au fond, cela l'amusait, mais il ne l'avouerait jamais.
Il marcha en direction de Merlin qui se retourna vivement pour lui échapper, mais Arthur étant plus rapide que lui, le rattrapa à temps, et lui sauta dessus pour le clouer au sol.
Une fois les deux par terre, Merlin ne pu empêcher un " AÏEEEE " de sortir de sa bouche.
Arthur au dessus de lui, jubila d'avoir pu clouer son valet, dans les deux sens du termes, d'une part au sol, et d'une seconde part son clapet.
Il était ravi de lui avoir donner cette leçon, lui qui ne lui obéissait jamais, et ne savait se taire au bon moment. Mais, voyant que Merlin ne faisait aucun mouvement pour ce défendre, il s'inquiéta. Lui avait il fait mal ? Lui avait il casser quelque chose ?
Il est vrai qu'il y était aller un peu fort, mais ce matin la blague de Merlin n'était pas passer, il avait donc voulu montrer sa supériorité, mais peut être y était il aller trop brusquement.
S'inquiétant du silence de Merlin qui avait les bras croiser sur son visage, il se rassit sur ses genoux, toujours au dessus de Merlin, il empoigna ses poignets, et les leva de son visage aussi délicatement qu'il le pouvait au vus de sa rudesse légendaire.
Et quel ne fut pas sa surprise quand il se retrouva assis sur les fesses, avec un Merlin debout hilare au dessus de lui.
Ce retournant vivement, Merlin partit à toute vitesse en direction des couloirs du château, on pouvait encore entendre son rire faire résonner les murs, quand il était déjà bien loin.
Arthur, les yeux écarquiller, n'en revenait pas. Merlin venait de se jouer de lui, il lui avait fait croire qu'il c'était fait mal, NON que lui lui avais fait mal, tout ça pour au final se payer sa tête.
Devenant de plus en plus rouge de rage, il se mît sur ses pied, et parti en direction du couloir pour le rattraper. Très énerver, c'était décidé, il allait lui faire payer.

Cela fessait bien une demi heure que Merlin était caché dans une des alcôves du château, il avait couru pour échapper à Arthur, et avait finalement décidé de ce cacher dans un endroit que lui seul connaissait, non loin de l'ancienne caverne où se trouvait Kilgarah.
Il riait encore de se qu'il venait de ce passer, Merlin avait bien vu qu'Arthur n'était pas d'humeur, mais l'était il seulement de temps en temps ?
Il avait donc décidé de l'embêter un peu.
Mais maintenant qu'il était cacher dans son coin, il se demandait si cela avait été une bonne idée. Certes ce fut marrant, mais il ne voulait pas finir au pilori où a récurer chaque recoin de la chambre d'Arthur et de celles des chevaliers. Il n'avait pas pensé a cela.
Ni au fait qu'Arthur avait pu être blesser et énerver.
Se disant qu'il devrait peut être aller s'excuser au près de son souverain, il se leva et s'apprêta a quitter sa cachette quand il entendit un bruit. Il passa craintivement sa tête en dehors, pour voir si quelqu'un arrivait.
Mais étant le seul à connaître cette cachette, cela devait être un animal qui passa par la.
Il épousseta ses vêtements, et s'apprêta a sortir, quand il fut tirer par le bras et plaquer au sol.
Surpris par ce qui venait de se passer, il eu du mal à reprendre sa respiration, et n'osa pas ouvrir les yeux. Il sentit des mains autour de son cou le serrer doucement, prit de panique il n'osa plus bouger.
Des larmes commencèrent doucement à pointer au coins de ses yeux, et dévaler sur ses joues immaculé.
Pensant que son heure était venu, il fut surpris quand il senti ces mêmes mains remonter le long de son cou, pour aller sur ses joues, et essuyer ses larmes.
Il ne comprenait absolument rien à se qu'il se passa, il n'osait toujours pas bouger pétrifié par la peur. Il attendait, il ne savait pas quoi mais il attendait.
Sentant les mains toujours poser sur ses joues, il sursauta quand il entendit à son oreille une voix lui murmurer : " N'ai pas peur, je ne te ferai jamais de mal mon amour. "
Ne reconnaissant que trop bien cette voix, il ouvrit rapidement les yeux pour trouver Arthur au dessus de lui.