Chapitre 29

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Cc les chatons 🐈
vraiment désolée de pas avoir pu publier un Chat-pitre hier. J'ai eu un gros problème de réseau je suis vraiment désolée ! 🙀😿
Mais voilà je vous le poste avec un jour de retard 🐱

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Une fois sur le balcon, j'inspirais profondément pour essayer de remettre mon cœur dans un rythme de battement régulier. Il faisait assez froid dehors, pour cette raison, il n'y avait pas grand monde. Un vent frais soufflait, faisant volé mes cheveux et le bas de ma robe. 
Je fermais les yeux. Les odeurs de bois humide, de mousse, de feuilles. Le bruit du vent dans les feuilles sonnaient comme une mélodie. Je m'appuiais sur la rambarde.
Pourquoi mon cœur bat-il aussi fort quand je suis avec Albane, juste le fait de le voir me fait sentir toute chose. Quelle était se sentiments ? 
J'allais pousser un soupir quand deux mains se posèrent de chaque côté. J'inclinais la tête en arrière pour voir qui était-ce. Mais au vu de mon rythme cardiaque je savais déjà qui c'était. 
- C'est pas très gentil de laisser son partenaire tout seul. Me reprocha-t-il.
- Si le partenaire en question n'était pas un idiot sa serait pas arriver. Répliquais-je
- Tu n'es vraiment pas gentil. Déclara-t-il.
Il glissa ses mains de la rambarde à ma taille, j'essayais de me dégager, mais il me coupait toute retraite. Il enfouie sont nez dans mon cou. Je me raidis, son souffle chaud me chatouillait et me faisais frissonner. Il lécha mon cou. Je me retournais vivement en face de lui.
- Ah, non ! Pas question. Pas ici surtout ! M'exclamais-je. Si tu as faim, va prendre un verre ! 
- J'allais pas te mordre. Répondit-il avec un sourire carnassier. 
Je froncais les sourcils, j'essayais de me décaler mais ses mains me bloquaient le passage. 
- Je t'ai laissé partir une fois, mais pas deux.
Il se mit a joué avec mes cheveux, enroulant quelqu'une de mes mèches autour de ses doigts. Puis il se pencha et se mis à jouer avec mon oreille. 
- Albane...tu joues avec moi...
- Pas du tout. 
Mon cœur battait tellement fort dans ma poitrine que j'avais l'impression qu'il allait me lâcher. Soudain, il arrêta tout mouvement. Sans que je ne puisse réagir, il souleva mon menton et déposa un baiser sur mes lèvres. Mon cœur, qui auparavant battait comme un tambour, s'arrêta. 
Je le fixais surprise, je ne comprenais rien à se qui venait de se passer. 
- On ne dit plus rien, miss tomate ? Me taquina-t-il. 
- Je...tu...mais... Balbutais-je. 
Il me tira contre lui, je sentais sa chaleur corporelle contre mon visage. Je me sentais étrangement bien contre lui. Je...
Une conversation attira mon attention, non loin de nous, entre deux hommes. Albane avait également tourné la tête légèrement vers eux. 
- La vente se passe au sous-sol. Tu passes par la dernière porte du couloir, elle est gardé par des hommes de main. Pour entrer, il faut que tu montres le symbole. 
- Chute ! Ne parle pas aussi fort voyons ! Certains personnes ne sont pas au courant, et n'on pas besoin de l'être ! 
Le symbole, les ailes noires, je suppose. On devait prévenir Nara et Brown. Je me décalais et je commençais à partir quand une main me saisit le poignet.
- Tu occupe de Nara et moi de Brown. Déclara Albane. 
Il commença à s'avançait vers l'intérieur, mais il s'arrêta pour rajouter : 
- Notre petite conversation de tout à l'heure n'est pas terminé, donc on la remets à plus tard. Dit-il avec un sourire narquois avant de partir.
Je restais planté là, sans savoir quoi penser. Mon cœur battait à tous rompre. Puis reprenant conscience, je partis chercher Nara.
Je me glissais entre les personnes présentes, zigzagant entre les danseurs tout en cherchant du regard Naratha. 
Après quelques recherches dans tout le rez-de-chaussée. Je finis par trouver Nara près de trois autres femmes. Je me reprochais d'elle. 
- Mère, puis-je vous parler quelques instants ? 
- Excusé moi mes dames, ma fille me demande ! 
Déclara-t-elle avant de venir vers moi.
- Qui a t-il ? Demanda-t-elle une fois un peu à l'écart ? 
Je lui racontais alors ce que nous avions entendu Albane et moi. 
- D'accord ! C'est très bien tout ça ! Mais une question me turlupine, pourquoi Albane et toi étiez ensemble ? 
- Pour rien. Répondis-je précipitamment.
Elle me regarda fixement, puis petit à petit un sourire se dessina sur son visage. Ses yeux brillaient.
- Vous avez fait quelques choses ! Non, attend, IL t'as fait quelques choses ! S'exclama-t-elle.
Je ne repondis rien, j'avais juste tourné la tête. 
- Ta manière de te défilé veux tout dire ! 
- On doit pas aller quelques part nous ? Répliquais-je pour changer de sujet. 
- Humm, bien, bien. Mais, on en reparlera ! Je contacte Brown part sorcellerie pour lui dire de nous retrouver près de l'entrée du sous-sol.
Elle resta quelques secondes sans bouger, je restais tranquillement à côté d'elle. Après celà on se dirigea vers le dit couloir. Brown et Albane était déjà là. 
- Alors on fait quoi ? Demandais-je.
- On va essayer de rentrer dans cette pièce. Répondit Brown. 
- Pour ça, il faut le symbole. Intervient Albane, je pense que ça doit être les ailes. 
- Oui, mais sûr quoi est se symbole ? Demanda Nara. 
- Il doit être sûr quelque chose de facile à cacher. Dis-je. Par exemple une montre à gousset où bien un bracelet. 
- On pourra jamais entré. Annonça Albane.
- J'en ai bien peur. Renchérit Brown.
Soudain, les cours de sort de grand-mère me revinrent en mémoire. 
- Nara. Tu te souviens du sortilège de paralysies, on pourrait le faire. Juste sur les deux gardes.
- C'est risqué ! Si on rate...
- Tu propose quoi sinon ! L'interrompis-je. 
Elle paru réfléchir puis me fit un signe de tête en direction des deux gardes. Je me dirigeais vers eux, j'activais ma magie. Nara fit de même. Les deux gardes nous regardait, d'un même mouvement, Nara et moi tendîmes notre main dans leur direction, nous étant assuré avant qu'il n'y avait personne d'autre au alentour, un fin trait de magie jaillit vers les deux hommes. Ils ne bougeaient plus.
- Dépêchez-vous de passer le sort ne dure pas longtemps ! Précisa Nara. 
Nous nous engoufrâmes tout les quatre part la petite porte.
- Hey, les deux devant la porte risque pas de se souvenir de votre exploit ? Demanda Albane.
- L'avantage du sort de paralysies, c'est qu'il efface les dernières secondes de ce qui c'est déroulé. Répondis-je. Donc pas de soucis.
Nous nous trouvions donc maintenant dans l'antre de la bête.

The Magic of WitchesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant