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Meredith: Derek!!!! Que fais-tu ici ?

Il lui montra ses livres, avec ce sourire dont Meredith fondit en le voyant.

Meredith: merci, bonsoir Derek, dit-elle en refermant la porte.

Ce dernier a empêché avec son pied qu'elle ne la ferme complètement.

Derek: Meredith attend, il faut que l'on s'explique tout du moins je pense qu'il y a eu un malentendu.

Elle rouvrit la porte.

Meredith: non aucun malentendu, j'ai seulement été trop conne, stupide, naïve...

Derek: pourquoi dis tu ça? 

Elle laissa la porte ouverte comme pour inviter Derek à rentrer, elle est venue s'asseoir sur son divan qui lui sert aussi de lit. A son tour il entra et referma la porte derrière lui et s'avança vers elle.

Derek: Meredith, ton attitude de l'autre soir c'est en rapport avec le mot que j'ai laissé à ma femme? 

Sans le vouloir et pourtant elle s'est juré de ne pas craquer devant cet homme qui la fait souffrir. Certes elle sait très bien dans quoi elle s'embarque mais la dernière fois elle s'est sentit tellement mal qu'elle a prit presque cela pour un viol de sa part bien sur elle était consentante.

Derek a bien remarqué qu’elle versa des larmes, ne voulant pas envenimer les choses il se tenait à l'écart. Elle ne lui répondit pas, elle se retourna même. Il ne pût rester ainsi, il alla face à elle et se mît accroupit, lui relevant le menton.

Derek: Meredith, jamais je ne t'ai prit pour bouche trou, je vais être honnête tu m’attires physiquement et bien plus, si vraiment j'avais voulu un bouche trou j'aurai prit une infirmière à l'hôpital et ce n'est pas ce qui manque.

 Meredith: ce soir là dans l'allée, je me suis sentit juste un objet sexuel à tes yeux. Quand je suis rentrée je me suis trouvée sale tellement que j'ai du passé des longues minutes sous la douche à chercher des excuses à cet acte...

Derek. Excuse moi, jamais je ne t'ai prit pour un objet sexuel, comment je pourrais... Franchement, Meredith si je voulais une femme pour m'envoyer en l'air je ne t'aurai pas choisit, tu es la nounou du fils de ma femme, si j'avais voulu cela comme je te l'ai dit j'aurai céder aux avances des infirmières à l'hôpital...

Meredith: pourquoi moi? Si ta femme n'avait pas été aussi absente on n'en serait où? M'aurais tu seulement remarqué? Soit honnête.

Bien plus qu'une nounou...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant