Bien plus qu'une nounou...

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Ils se posèrent sur le canapé, Addison ouvrit l'enveloppe Derek la laissa lire les résultats, car c'est elle l'experte en gynéco. Mais il y avait écrit noir sur blanc en conclusion du rapport des prélèvements les verdicts. Addison s'effondra en larme, Derek lui prit la feuille pour vérifier ce qu'il avait bien lu, il ne s'était pas trompé leur enfant avait une mal formation plus précisément il était atteint de la trisomie 21. Il la prit dans ses bras, pour la consoler, car il savait très bien qu'elle tenait à cœur cette grossesse.

Derek: je suis désolé.

Addison: tu es bien content finalement tu vois au moins cet enfant ne te poseras aucun souci, déclara-t-elle en se défaisant de ses bras puis monta dans sa chambre.

Quelques minutes plus tard, il la rejoignit dans la chambre, elle était allongée sur le dos avec sa main sur son ventre. Au fond de lui bien sûr qu'il était content, mais ça ne lui plaisait quand même guère, car Addison allait certainement en pâtir. 

Derek: Addison, comment peux tu dire de telles choses, même si je ne voulais pas de cet enfant jamais je n'ai souhaité qu'il ait la moindre anomalie.

Addison: Derek, je ne sais pas si j'arriverai à avorter...

Derek: tu n'es pas sérieuse là quand même, comment veux tu que l'on gère avec un enfant atteint de cette maladie, déjà que tu as un enfant que tu as du mal à être présente avec ton boulot, cette maladie faudra que tu sois ou je sois présente 24h/24h avec, tu sais très bien aussi bien que moi cela est impossible. Réfléchis avant quand même, mais là moi je ne serai pas de ton avis de le garder, je te le dis clairement il en est hors de question. Je comprends que cela puisse être dure pour toi, mais je t'aiderai je serai présent avec toi, je ne t'abandonnerai pas dans ces moments-là... 

Addison: laisse-moi seule tu veux bien, merci.

Derek: je vais aller faire des courses et en sortant j'irai chercher Matthew.

Après les courses, il avait énormément de temps libre devant lui avant l'heure de l'école, il alla se poser sur le banc dans le parc où il y allait avec elle et le petit. Certes, ça lui faisait à la fois du bien, mais aussi du mal de repenser à ses souvenirs auxquels il ne vivra plus jamais. Il versa des larmes tellement ça le faisait souffrir.