Étrange nuit..

Un cauchemar ?

Je me réveilla en panique! À droite,  une armoire et mon téléphone donnant l'heure "2:31". Et à gauche ma fenêtre était fermé,  le vent ne faisait que claquer mes volets de temps en temps. Je soupira un bon coup et pris la bouteille posé à côté de mon téléphone sur la table de nuit, je pris doucement a boire.
J'eus l'impression que aucune goute d'eau n'était passé par ma bouche. J'étais encore desséché. Mon lit était tremper!  Toute l'eau de ma bouteile était passé a côter je fondais dans mon matelas casiment. Je me munis de mon téléphone et ne pu deverouillé par mon empreinte digitale a cause de la sueur. J'utilisa donc mon mot de passe.
Je tomba directement sur une conversation se finissant par  des merveilleux coeur, je repris alors un grand sourire qui me fit lâcher une larme.

Mais sans savoir pourquoi, mes doigts et tout mon corp ne m'obeissait plus. Mes doigts écrivirent des insultes et gacherent toute la discussion!  Des insultes, révélation fausse. Les larmes de tout à l'heure furent vite remplacée par des torrents de larme de tristesse.
Sur ma gauche, d'un coup,  je ressentit un lourd souffle froid sur ma joue. Les larmes cessèrent j'eus un gros doute sur la personne que cela pourrait être. Un gros doute m'empara, je voyais que un morceau de visage extrêmement pâle dans mon champ de vision,  la peur et la sueur me repris. Je pouvais évité ce regard, mais j'etait tourné vers elle. Ses yeux noirs sans vie se plongeaient dans les miens. Son souffle me gelais le nez, les larmes revinrent et une grande envie de hurler. J'etait faible fasse à elle.

Le sang de ses tripes deguoulinait sur ma couette. D'un coup elle s'approcha de mon visage,  sa joue frola la mienne puis je sentis sa mâchoire s'ouvrir près de mon oreille pour me chuchoter "c'est loin d'être la fin". Suite à ces paroles mon coeur ne fit qu'un tour et je me mis à hurler de peur. Malheureusement le cris fut court que j'avais déjà reçu un violent coup dans la nuque,  ce qui m'endormi aussi vite,  mon être s'écroula au sol et mes yeux se fermèrent. "Était ce la fin de cette atrocité? " Me repetai je sans arêt jusqu'à ce que j'ouvris les yeux. Je retomba dans ma chambre,  à ma droite mon téléphone affichait "2:31" Ça n'avait pas bouger. Mais pas d'un poil. Je me posais des tas de questions encore et encore "c'est encore un cauchemar?  C'est fini? "