Prologue

12 1 0
                                    

Demain dès l'aube 

Il est quatre heures trante six du matin , je me sens complètement épuisée , moralement et physiquement mais , animées par un enthousiasme inattendue je ne prête pas attention a mes états-d'âmes et reste concentrée sur ma tache . Je plie quelques vêtements rapidement et les range grossièrement dans ma valise  . J'essaie de me concentrer en faisant attention a ne rien oublier ; kit de survit , brosse a dent ,savon , une tenue de rechange, quelques economies , pièce d'identités , passeport et quelques paperasses . J'inspecte une dernières fois le contenus de ma petite valise , tout semble bon mais j'ai le sentiment d'avoir oublier quelques choses . Je tourne en rond dans cette petite pièce dans laquelle je me trouve .  Les mures peins d'un blanc autrefois impeccables sont abîmés , un pitoyable tableau y est accrocher , en observant cette photographie , je sens la colère m'envahir . Je monte alors sur ce vieux matelas délabré qui fait apparemment office de lit puis , arrache sauvagement le cadre que je jette de toute mon peu de force a terre , le bruit du verre éclaté me déchirent les tympans , des souvenirs resurgissent , 

                                                   des souvenirs douloureux  

Mon amertumes redoubles , alors je ramasse la photographie l'observe un instant de trop malgré moi , puis la déchires . Je m'empresse de fermer ma valise , puis j'avance lentement jusqua la porte de l'appartement , et lobserve longuement , peut etre serait ce la derniere fois que j'y metterais les pieds , peu importe . C'etait un hlm avc 2 pieces une petite chambre un petit salon un petite cuisine et une petite salle de bain , le coulois est tellement exigü quil en serais presque inexistant . L'appartement en general est fade , sans vie , il n'a rien de chaleureux ou de familial . Il ya seulement des meubles essentiel , simples , le juste minimum. Alors j'inspire , puis expire lentement en fermant les yeux , j'enfonce mes clées dans la serrures , j'ouvre et puis je franchis le seuil de la porte. Je m'empresse de la refermer derierre moi puis je decendit rapidement les escalier , je sentis une infame odeurs d'urines et de tabac , je me suis boucher le nez . Je descend les escaliers rapidement 2 par deux , presser de sortir de cet horrible bâtiment. Je ne veux croiser perssonne , meme a cette heure les gars du quartier pouvais etre dehors , assis en bande a fumer . Je regarde ma montre .
Quatre heures quarante deux .
Jaccelere le pas , je sors de l'immeuble , traverse le parking , je monte dans  ma voiture , met le contact puis demarre. Il faut absolument que je men aille au plus vite.

   ~~
Alors ça vous a plue ?
Donnez vos avis en commentaire ❤

Demain dès l'aubeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant