Il était déjà tard dans la nuit. La lumière de la lune passait à travers l'ouverture de ma fenêtre laissant alors un rayon lumineux traverser ma chambre. Cette dernière était encore ouverte, laissant alors passer un doux son de vent. Les rideaux bougeaient telle des danseuses a un bal. Cette ambiance était agréable.
Je venais de me réveiller en sursaut comme j'en avais l'habitude. Toujours et à cause de ce rêve. Un rêve que je faisais sans cesse comme s'il me maudissait...
C'est pour me rassurer et essayer d'enlever ces affreuses images de ma tête que je levai et commença à me diriger en direction de ma fenêtre. J'ouvris les rideaux doucement pour éviter de faire de bruit. Suite à ça, je pus voir un spectacle magnifique, le ciel était dégagé laissant la lune briller de mille feux. Les étoiles étaient autour de lui comme pour le protéger. Je voyais ce spectacle souvent et pourtant je le trouvais toujours aussi paradisiaque. Rare était les nuages qui passaient pour cacher cette reposante lumière.
Je mis mes deux mains sur le rebord de ma fenêtre et fit un petit sauf pour m'assoir dessus. Le vent balayait mes cheveux comme il le faisait plutôt avec mes rideaux. Je lançai un dernier regard en direction de ce ciel étoiler avant de fermer les yeux. Le bruit de la brise ainsi que la sensation de mes cheveux soulevés par le vent me donner l'impression de voler, comme un rêve dans le qu'elle nous ne voulons pas nous réveiller. Mais même avec cette ambiance paradisiaque, je ne pouvais pas oublier ce rêve. Pourquoi toujours le même ? Un hasard ? Ou un sortilège ? Cela faisait des mois que je faisais ce rêve chaque nuit. Je n'en avais encore jamais parlé a personne me disant que ça allait passer, mais pour l'instant j'avais tort. Peut-être fallait-il que j'aille voir un magicien et lui en parler ? Mais le prix serait si élever que ça n'en valait pas la peine pour un problème si mineur. Mais je ne pouvais pas m'empêcher de me poser des tonnes de question. A force de me tracasser la tête, mes pensées sortaient à vive voix :
-Une malédiction ne me suffisait pas j'imagine qu'il m'en fallait une deuxième ?
Cette question me fit réouvrit les yeux. Un nuage avait caché la lune, le monde était maintenant plongé dans le noir. C'est comme si tout venait de disparaitre en un battement de cil, me rappelant alors ce rêve.
J'étais encore une fois au milieu de cette terre désolée ravager par de gigantesques flammes. Des cris de détresse résonant de toutes les directions mais sans aucun humain à porter de vue, j'étais seul. Des pleurs, des appels à l'aide, des cris venaient des flammes devant moi. Mais même si je savais que ce n'était qu'un rêve, impossible de m'approcher comme si la douleur elle, était bien réel. Criait à travers ce mur de feu ne changeait rien, personne ne m'entendait. Je devais écouter cet enfer sans rien pouvoir faire. Même avec les mains sur mes oreilles, ces sons venant tout droit des abysses perçaient mes tympans. Impuissant je ne pouvais que crié d'arrêter mais en vains. Et c'est toujours à ce moment-là que je sens une main se posait sur mon épaule suivie d'une voix féminine :
-Tout peut encore changer Emyl
C'est après ça que je me réveillais tout le temps en sursaut.
Mes yeux se réouvrit à nouveau, la lune était de nouveau visible dans le ciel noir, comme une lumière qui chasse l'ombre. Mes mains c'était refermer comme par énervement, qui est cette personne ? Et pourquoi se rêve si triste se refaisait sans cesse ? Un message peut être, qui sait...
Chassant toutes ces questions de me tête, je me remis debout. Mes pieds touchèrent alors mon plancher lisse, je pris ensuite la direction de mon lit pour finir ma nuit.
Je marchais lentement pour éviter les grincements, je ne voulais pas réveiller les gens qui dorment.
Une foi dans mon lit je m'allongea sous ma couette et essaya de m'endormir, je devais être en pleine forme pour demain.
DU LIEST GERADE
Xellaz créature de pierre
SonstigesNous finirons tous par mourir.... Mais j'aimerais choisir le jour de ma mort, c'est pour ça que je me bats ! Les Xellaz sont en train de disparaître et le monde avec eux. La fin est proche... Mais il reste encore un lueur d'espoir ! Pour tenir ma p...