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Je continue de regarder le plafond.

Il est trop haut pour que je l'atteins et il n'y a rien pour que je puisse y accéder.

Je m'assois sur le sol, essayent de trouver une nouvelle solution.

Quand je vois que la trappe s'ouvre, je saute sur mes pieds. Regardent toujours le haut, ne le quittent pas des yeux par peur que se ne sois qu'une illusion qui disparaitra si je la quitte du regard.

Je vois l'homme au masque blanc au trait ,féminin, noir. Je sens son regard sur moi.

Il part, laissent la trappe ouverte.

Il reviens a la trappe avec une échelle. Il pose l'échelle et me fait signe de monter.

Je monte, enfin je peu sortir !

Je me met devant l'homme.

Il me fait un signe de la tête pour me dire 'bonjour '.

" Bonjour. Comment allez vous ? " Dit-je contente de parler a quelqu'un qui n'essaye pas de me tuer.

Enfin, oui mais non parce que la dernière fois il a essaye mais dans cette endroit, y'avais même pas de bonjour, merci ou au revoir.

La dernière fois aussi y'avais pas de bonjour, merci ou au revoir...  

Il se tourne vers moi et me fait un signe de la main qui veux dire 'Bof'. Il parle pas beaucoup.

" Moi, franchement, je dirai pas non a une douche et me faire soigner..." Dit-je doucement.

L'homme laisse un soupir s'échapper de sa bouche " Ne t'inquiète pas, tu aura tout se qu'il faut..." Dit une voix faible mais rauque provenant de l'homme qui m'accompagne.  

J'ai un peu sursauter. Ne m'attendent pas a entendre sa voix. 

" Tu a toujours le livre...?" Dit-il avec une petite voix.

" Euh...Ouais...Pourquoi ?" Dit-je. Savent -ils quelque chose sur se livre que je ne sais pas ? Je suis intrigué.

L'homme ne me répond pas. Il continue de marcher.

Après quelques minutes de marcher dans un calme étouffant, nous arrivons devant une porte.

La porte est une porte de fer qui a l'aire assez abimé et rouillé.

L'homme l'ouvre et me fait, encore une fois, un signe de la main pour le suivre.

Nous sommes dans un escalier qui a l'aire vieux et qui a dû être beaucoup plus utiliser.

L'escalier n'est pas beaucoup illuminer.

Si je n'avais pas le choix, je ne serai jamais passer par ces escalier.

ιn тнe ғoreѕтOù les histoires vivent. Découvrez maintenant