Imaginer la vie de couple avec celui qu'on veut le plus.
Je tiens à dire que puisque il ne s'agit pas d'un personne précise, les descriptions seront minces mais il y en aura, même si des fois elles ne s'approprient pas à tout le monde.
J'écrirais (T/c) quand on parle de Ton crush (ou de ton copain), mais c'est à toi de décider si tu utilises vraiment le nom de ton crush ou pas.
(T/n)= Ton nom.
Il y aura moins de référence avec la France, je resterais dans aucun contexte de pays sauf s'il s'agit d'un voyage ou etc.
Donc voilà, bonne lecture.
*Je divague dans l'air frais du printemps, les yeux au ciel, la tête dans les nuages et le cœur heureux.
Mes pas m'amènent voir celui qui me manque le plus, ma musique dans mes oreilles m'aident à passer les longues minutes de balades qu'il me faut toujours entamer avant d'arriver devant sa demeure.
Mais comme il le faut, j'arrive chez lui, j'avance dans son entrée et cogne à la porte, faisant par de ma présence.
Le stress me ronge comme une vilaine vermine détruirait une plante malade, c'est la première fois que je rencontre son père et j'angoisse, même si (t/c) m'a dit de ne pas m'en soucier, que je lui plairais.
Mais bon, je n'y peux rien.
J'attends quelques secondes, puis la porte s'ouvre grand sur son père...
Il aurait pas pu venir m'ouvrir lui-même la porte, était-ce trop demandé de rencontrer son père avec lui à mes côtés?Père: Ah! La voilà! Viens rentre, me dit-il en m'attirant à l'intérieur.
(T/n): Bonjour monsieur, dis-je en souriant puis en lui faisant la bise.
Père: Ça va bien? (T/n), c'est ça, dit-il plus en affirmation que question. (T/c) me parle de toi régulièrement.
(T/n): Oui, c'est bien ça ahaha. Et vous comment allez-vous?
Père: Pas de vouvoiement ici (T/n), me taquine-t-il.
(T/n): Comme vous— comme tu veux, dis-je en riant.
Il me laisse retirer mes chaussures, puis ma veste mais ne quitte pas le lobby.
En parlant de lui, il est où.Père: (T/c)! Elle est là.
Dieu merci.
Je l'entends arriver en trombe dans l'entrée, et sa vue me coupe le souffle.
Il s'est forcé, même si nous sommes en couple depuis près de un mois, et qu'il n'a plus a me charmer avec son physique.
Son chandail Kappa lui colle au corps just parfaitement, pas trop serré, pas trop grand non plus.
Me donnant un avant goût de ce quoi son torse pourrait avoir l'air sous ses beaux vêtements qui me coupent trop souvent la vue.
Je ne l'ai jamais vu sans t-shirt, mais j'ai bien l'intention à partir de maintenant.(T/c): Hey toi! Ça va?
Il vient me donner un bec sur la joue, plus qu'une simple bise, mais pas assez pour mettre mal à l'aise son père.
(T/n): Ça va, ça va. Et toi, demandais-je avec mon plus beau sourire.
Mon dieu qu'il est beau, qu'est-ce que jai fais pour le mériter.
Il me fait signe que oui, puis il empoigne ma main de la sienne.
Sa peau est chaude et réconfortante contre la mienne, mon insécurité s'envole et je prends le temps d'observer sa maison pour la première fois.(T/c): On va dans ma chambre Papa, tu nous appelleras pour le souper.
Il nous sourit, avec complicité.
Puis mon copain m'amène dans sa chambre, et je suis surprise par la bonne odeur qui y est emprisonnée.
C'est son odeur à lui, simple et douce d'habitude, mais amplifier à la parfaite dose pour que ça ne soit pas agressant pour l'odorat, mais délicieux à sentir.
La pièce est rangée mais je m'y attendais, tu n'invites pas ta copine la première dans une chambre salle.
Il laisse ma main et s'assoit sur le lit.
Je m'étais toujours demandé à quoi sa chambre ressemblait en vrai, et je ne suis pas déçue ni étonné, c'est ce à quoi je m'attendais.
C'est cozy et sa lui ressemble.(T/c): Désolé de t'avoir fait attendre, dit-il en rigolant.
Je le rejoins sur le lit, épaule à épaule, peau à peau.
Son t-shirt me fait l'effet d'une bombe.
Je ne sais plus comment parler.(T/n): T'inquiètes, c'est pas comme si c'était la première fois que je le rencontrais, dis-je en riant.
Il roule des yeux en riant.
Je l'admire rire, puis mes yeux devient sur ses lèvres que j'ai déjà embrassé, mais jamais comme je m'apprête à faire.
Peut-être est-ce l'effet d'être dans sa chambre, dans son intimité, ou peut-être la proximité de son corps inflammable aussi proche de moi, je ne saurais jamais.
Je l'embrasse doucement, puis passionnément, mes mais sur ses joues.
Je me retrouve rapidement en califourchon par-dessus lui, ses mains sur mes cuisses dénudées caressent ma peau comme jamais il ne l'avait jamais fait auparavant.
Et pour la première fois de ma vie, ce feu prend en moi, j'ai envie de retirer mes vêtements et les siens, je ne veux plus que ses lèvres quittent les miennes, je veux que ses mains parcours ma peau sans arrêt comme si sa peau contre la mienne étaient des aimants.
Des frissons me parcours le corps, et une passion me prend, une boule dans mon bas ventre.
Mes mains s'aventurent sous le tissu de son kappa et je sens la peau brûlante de son corps contre mes paumes, c'est à me rendre folle.
Sa respiration est saccadée comme la mienne, je donnerais tout pour qu'on puisse finir ce moment mais je sais qu'il est trop tôt dans notre relation pour ça.
Mais oh putain de ce que son corps m'attire.(T/n): Ton t-shirt, il est une vrai torture, dis-je plus essoufflé que je ne pensais l'être.
Il rigole dans le baiser, ça me donne la chair de poule sur le corps.
Ce sourire, ce si beau sourire contre mes lèvres.(T/c): Tu ne l'aimes pas, me nargue-t-il.
Ses lèvres découvrent les horizons de mon cou, mordillant ma peau et un gémissement traverse mes lèvres.
Je deviens rouge.(T/n): Si, au contraire.
Il rigole.
(T/c): Tu peux me le retirer puis le garder si tu veux.
Mon souffle se coupe, je ne peux pas, mais je le veux.
Je souris et fonce sur ses lèvres à nouveau.
Nos langues s'entremêlent, et lorsque son père cogne à la porte je sursaute comme jamais.Père: On mange, dit-il.
Mon coeur bat à la chamade, et je rigole de soulagement dans les bras de (t/c).
(T/n): Oh mon dieu, dis-je en riant.
Il me sourit, puis s'approche de mon oreille.
(T/c): On reprend ça après.
*gulp*
*
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