「 ʟᴇ ꜱᴇᴄᴏɴᴅ ᴇᴛ ʟᴇ ᴅᴇʀɴɪᴇʀ 」

#17.1 After - Prénoms

[08/01/2019]

Bonsoir bonsoir !

Bonne année 2019 ! :D

Et qui dit nouvelle année dit nouvelle PP. Je n'ai eu aucun mal à me faire à la nouvelle étant donné qu'elle a été ma photo de profil sur Kakao pendant près de six mois, mais ça ne sera peut-être pas le cas pour vous XD

Quoi de mieux pour débuter 2019 que la photo de faire-part de mariage de mon cher Hopemin, hein !? 😌

Bon, sinon, la photo en média... Le Namseok me rend faible en ce moment et quand le tweet du fansite est arrivé dans ma TL... Faudra pas vous étonner si vous voyez ces deux-là se balader main dans la main dans une de mes futures histoires... ;^;

Bref.

Je ne comptais pas commencer 2019 avec cette histoire, mais mon planning en a décidé autrement alors j'ai dû m'y résoudre. Tant pis, c'est pas grave xD

Re bref.

Je suis sûre que de base j'avais des tas de trucs à dire, mais j'ai oublié, en deux semaines d'absence en même temps... De base, le chapitre devait arriver hier, mais j'ai eu une flemme monumentale de me corriger, puis de l'inspi pour enfin relier le début et la fin de mon After 20, puis je me suis enjaillée sur Panic! at the Disco, bref. Comme d'hab quoi, vous avez l'habitude.

J'espère que ce chapitre vous plaira et sera de bon augure pour vous tous pour cette nouvelle année ^^/

Bonne Léocture ! ♥

~~+~~

Le téléphone sonna une fois de plus et je décrochai.

« L'accueil.

– C'est Catherine à la caisse 6, c'est pour une annulation.

– Je te fais ça. »

Je raccrochai en soupirant et me posai face à l'écran d'ordinateur. J'ouvris le logiciel, cherchai la sixième caisse dans le menu déroulant et tapai mon identifiant et mon code à quatre chiffre pour lui débloquer la manipulation. Puis, sentant quelqu'un en face de moi, je relevai le visage avec un grand sourire et saluai la femme aux coûteux bijoux qui se trouvait de l'autre côté de la banque.

« Bonjour, que puis-je faire pour vous ?

– Y a un prix qu'est pas bon, il était à 3 € 49 en rayon et il est passé à 3 € 55.

– Nous allons regarder ça », dis-je en prenant le ticket de caisse et la boîte de chocolat en poudre.

Putain mais quelle vieille conne. Ça t'arracherait la langue un « bonjour » ?

« Il est bien à 3 € 55 dans la base de données, je vais aller voir en rayon, je reviens tout de suite. »

Je fis un signe de tête à ma collègue et m'enfuis vers l'intérieur du magasin. Ça ne faisait que deux semaines que je travaillais ici, mais je n'en pouvais déjà plus. Mon travail à la librairie me manquait, mais je ne pouvais pas y retourner. Pas maintenant. Quelqu'un avait déjà dû récupérer mon poste de toute manière, et je n'avais pas envie de recommencer en bas de l'échelle, même pour quitter ce boulot pourri. Mon quartier était pourtant un quartier que j'appréciais, mais depuis que j'étais « au service » de sa population, j'en devenais dégoûté. Les gens étaient malpolis pour ne pas dire insultants la plupart du temps, ils n'étaient jamais contents et s'amusaient à passer leurs nerfs sur toi quand ils étaient de mauvaise humeur. J'étais en CDD pour un mois et je n'en étais donc qu'à la moitié, je devais prendre mon mal en patience et continuer de chercher autre chose le soir en rentrant chez moi. Une fois dans le rayon, je recherchai le prix en question, et vis qu'il était bon. C'était elle qui n'avait pas regardé au bon endroit. Mais à sa décharge, la mise en rayon avait été mal faite. J'allais prendre la faute sur nous, tant pis. Je retournai donc à l'accueil et revins faire face à la cliente.