「 ʟᴇ ꜱᴇᴄᴏɴᴅ ᴇᴛ ʟᴇ ᴅᴇʀɴɪᴇʀ 」

#16.5 After - Résolutions

[27/12/2018]

Bonsoir bonsoir !

Je me fais chier comme un rat mort au boulot tellement il n'y a personne, c'est abominable... Hier après-midi j'ai passé 2h à me balader dans le magasin et à discuter avec mes collègues tellement il n'y avait que peu de clients... L'horreur totale, priez avec moi pour qu'il y ait du monde demain et après-demain sinon je vais pleurer ToT

Bon, dernière partie de l'After 16. Je conçois que-attendez, une personne qui n'a rien à faire là parce qu'elle est en retard est en train de lire cette intro. Du coup je dois parler en messages codés (dégage sale vieille). Je conçois que la fin de la partie 4 ait été un peu... disons radicale. Mais c'est le mieux à faire pour Jean-Jacques et Michel, surtout vu la passe que traverse JJ en ce moment. Argh mais c'est trop compliqué de parler avec messages codés pour espérer ne rien spoiler, DÉGAGE BORDEL JE VAIS TE TAPER !

Bref. Donc voilà voilà. Je ne sais pas quand arrivera la première partie de l'After 17 étant donné que mon planning des deux prochaines est... littéralement à chier. Mais j'essaierai de faire au mieux. Passez une bonne fin de mois de décembre ! J'espère que ce chapitre vous plaira. On se retrouve bientôt !

Bonne Léocture ! ♥

~~+~~

Il releva ses yeux sur moi après quelques secondes de silence et m'observa en espérant remarquer un signe montrant que c'était une blague. Malheureusement, ce n'était pas le cas.

« Je te demande pardon ? »

Je pinçai mes lèvres pour les empêcher de trembler, puis pris une grande inspiration.

« Je démissionne. »

Il me regarda longuement dans les yeux à nouveau, puis se leva d'un coup et contourna rapidement son bureau.

« Si c'est à cause de jeudi je peux-

– C'est en partie à cause de ça, le coupai-je, je ne vais pas te mentir. Mais pas seulement.

– Léo...

– C'est un ensemble de choses. Mais il est certain que la plus grosse raison à ça, c'est toi. Je ne peux pas rester ici. Plus maintenant.

– Je peux tout t'expliquer...

– Ça ne changera rien, tu sais, lui dis-je avec un sourire triste.

– Pourquoi ? »

Il posa ses mains sur mes bras et continua de me fixer. Mon cœur se brisa. Il avait l'air tellement désemparé que j'avais presque envie de retirer ce que je venais d'annoncer. Mais je ne pouvais pas. Il fallait que je sois égoïste et que je pense à moi. Uniquement à moi, cette fois.

« On n'est pas normaux, Taetae, murmurai-je. On n'est pas des amis normaux, notre amitié est toxique. Est-ce que c'est même de l'amitié, encore ? Ce qu'il s'est passé jeudi... »

J'avalai ma salive difficilement et repris en essayant d'empêcher ma voix de trembler.

« Ça n'aurait jamais dû arriver. Jamais. Vraiment, vraiment jamais. Tu te rends compte qu'on aurait pu tout foutre en l'air ?