「 ʟᴇ ꜱᴇᴄᴏɴᴅ ᴇᴛ ʟᴇ ᴅᴇʀɴɪᴇʀ 」

#16.3 After - Résolutions

Bonsoir bonsoir !

J'espère que vous allez bien !

Personnellement je suis exténuée à cause du boulot et de base je comptais me coucher à 22h. Seulement voilà, ce chapitre a été un véritable cauchemar à corriger. J'ai fait énormément de changements (qui étaient prévus mais bon, l'hésitation et mon amour pour ma première version ne m'ont pas aidée) et avec la fatigue, le manque de concentration s'est rapidement fait sentir.

J'espère vraiment que je n'ai pas laissé de grosses conneries dans le chap (genre un morceau de paragraphe qui devait être supprimé hahaha...), j'ai tout simplement pas le courage de me relire une nouvelle fois.

Désolée si y a des trucs qui vont pas, désolée si c'est nul, désolée pour le contenu (même si vous comprendrez que c'était nécessaire héhé #nospoil)

Sur ce je vous laisse, mon lit, mes maris, mes femmes et mes enfants m'attendent.

J'espère que ce chapitre vous plaira tout de même, et j'espère être en état de respecter mon planning de publication ToT

Bonne Léocture ! ♥

~~+~~

J'étais en train de me faire draguer depuis une bonne demi-heure par un mec qui ne se gênait pas pour caresser ma cuisse droite sans pression quand je sentis une main se poser sur mon épaule gauche, puis quelqu'un se pencher vers moi.

« Mec, tu bosses pas demain ?

– Quoi ? »

Je tournai la tête et mes yeux tombèrent alors sur Alexis.

« Tu bosses pas demain ?

– Non, c'est mon jour de congé. Pourquoi ?

– Parce qu'il est presque minuit. Moi je m'en vais. Tu rentres comment ?

– En métro ? haussai-je les épaules. Ou en Noctilien suivant l'heure.

– C'est quoi ton code pin ?

– Pour quoi faire ?

– Réponds-moi.

– 2011. »

Il saisit alors mon téléphone et je le regardai déverrouiller mon écran.

« C'est une année significative pour toi ?

– Pas vraiment, j'avais quatorze ans.

– C'est vrai qu'on a presque le même âge, sourit-il. C'est quoi alors ? Du pif ?

– 20 novembre.

– C'est quoi ?

– J'ai pas envie d'en parler. »

Je pris mon verre et le vidai d'une traite. J'étais mort. Je regardai alors Alexis pianoter sur mon téléphone sans vraiment savoir ce qu'il faisait, tandis que le mec à côté de moi essayait de faire en sorte que je m'intéresse de nouveau à lui. Je chassai alors sa main sous une insulte qui ne me fit ni chaud ni froid, quand Alexis reposa mon téléphone devant moi.