Chapitre 6 Yeux verts

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Enfin les vacances! Plus que ce soir et j'ai 1 mois de vacance.

Pas que je n'aimes pas mon travail mais de temps en temps ça fait du bien de se reposer. Apres ça fait 20 ans que je suis revenu a New York, 20 ans que j'ai repris mon ancien travail avec Michael et Tyler, 20 ans que je n'ai pas eu de vacance. Pas que je n'avais pas le droit mais je n'en voyais pas l'utilité. Mais la j'ai besoin de souffler. 

Je suis tranquillement installé a la terrasse de ma maison a l'extérieur de la ville. Une charmante maison de 150 m2, suffisamment grande pour moi... même un peu trop grande, composé d'une cuisine américaine ouverte sur un salon salle a manger, 4 chambres, salle de bain, ect... j'ai eu beaucoup de chance de trouver cette maison grâce a l'aide de Michael. 

En 20 ans je n'ai toujours pas contacté Nicolae, n'y même Peter. Peut-être la peur de me faire rejeter après tout ce temps. Si ils m'avaient fait un coup comme ça je ne sais pas si je l'aurai accepté. Partir comme un voleur, comme un lâche. Pour l'instant je ne me sens toujours pas près mais je me demande ce qu'ils sont devenu. Mais je me demande tout de même comment se passe leurs petite vie. Ils ont peut être vendu le manoir... peut-être que Peter a un petit marmot maintenant. La fille de Nicolae a du bien grandir elle aussi, elle doit avoir 20 ans maintenant. Peut-être qu'Asha a un autre petit en route... Je devrais peut-être les appeler. J'ai toujours leurs téléphones sur mon papier que j'avais pris dans ma chambre. 

Je regarde le papier que je tiens en main, le faisant rouler au bout de mes doigts.

Je le repose finalement. Je les appellerai quand je serais près a le faire.


Je me prépare pour ma dernière soirée, jean, chemise noir manches relevé. Je vais en sorte de laisser les deux premiers boutons ouvert, puis je récupère mon chapeau. Ca fais combien de temps que je l'ai lui, au moins 50 ans... pourtant il est niquel comme au premier jour, et puis c'est comme si il était comme moi, éternellement jeune, en aucun cas il pareil démoder. 

Je me regarde dans le miroir. C'est bon je suis nikel!

Je sors finalement de chez moi, et part a pied en direction du bar, tout en passant par des chemins inconnu de tout public. Je préfère y aller a pied, si je prends la voiture je vais mettre au moins 1 heure avec tout les embouteillages, tandis qu'en courant je ne mets que 10 minutes. Décidément c'est pratique d'être un vampire.

J'arrive finalement, et entre dans le bar. 

- Salut Michael

- Salut Drogo

Je me rapproche, lui serrant la main tout en m'installant derrière le bar.

- Toujours impeccable a se que je vois mon cher Drogo

- Tu me connais

- Tu vas encore attirer de la jolie fille

- Soit content, le bar est de plus en plus rempli

- Oh mais je ne dis pas le contraire. Et parmi tout ce petit monde, tu n'as pas trouvé quelqu'un a ton gout?

- Elles sont toute mignonne, mais vraiment trop superficielle. Le Drogo d'avant se serait intéressé a ses filles mais plus maintenant. J'en ai marre d'être entouré de femme qui n'en n'ont que pour mon physique, j'ai besoin de quelqu'un qui compter, d'une épaule quand j'ai besoin de parler. 

- Oh le petit Drogo voudrait se ranger?

- On peut toujours rêver mais c'est pas avec mon comportement de rebelle que je vais trouver. Tant pis, je serais l'éternel Drogo coureur de jupon cherchant désespérément la fille de ses rêves. 

Rebelle... j'aime ça! Is it love DrogoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant