HEAVEAN'S SONG.

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Aux sonorités musicales,
Aux sons soporifiques,
Paumé dans le cosmos musical,
A la quête de l’accalmie,
Puisque houilleux dans les nuages de point,
Les nuages orageux de mes sourcils surplombaient le lac vert de mes mirettes de faucons.

Sur un vent eurythmique,
Sur la planète de la musique d’une philarmonique,
Remplir d’une alacrité,
Oindre d’un calme pompeux,
Olympien, ma famille vient de gambader la liesse, diadème de mes joyaux.

A brule pourpoint, mon cœur,
La magnanimité des décibels de mon moi scande les mélodies idylliques à une beauté angélique.

A l’aurore de la séance tenante, il psalmodie les geysers de la panoplie majestueuse,
De sa témérité,
D’embrasser le cœur d’une aurore,
La lumière qui resplendit à l’horizon ombreux de ses pensées.

Ivrogne amoureux enflammé par l’or des fous,
Il fait diligence dans la vélocité tout en roucoulant à cœur joyau la vestale.

Coruscante émeraude, tu as irradié de mon cœur, les flammes de l’amour.

Conscient, je veux t’offrir tout ce qui est impossible et inimaginable.
J’ai laissé mon cœur m’indiquer le chemin,
Pour arriver jusqu’à toi, et me voilà aujourd’hui,
Je démarre tout en bringuebalant un nouveau commencement,
Grâce à toi, et pour toi !

Bonne journée à vous tous.

FLORILÈGE POÉTIQUE.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant