Un brin de rêve

8.

PDV karim

Ça fait une semaine qu'Alice est parti, elle me manque. Hier soir quand  elle m'a appelé j'ai entendu dans sa voix qu'elle était fatigué mais elle n'avait pas l'air triste. Depuis qu'elle est là bas j'ai peur, peur qu'il lui arrive un accident, quelle soit triste, quelle ai peur et que je ne puisse pas être là pour la soutenir. Tout en elle me manque sa voix elle qui parlait sans cesse, son parfum, sa peau, ses yeux, là boîte chaque matin, chaque soir, pouvoir la prendre dans mes bras...
Depuis qu'elle est partie je me rend compte à quel point je l'aime, jamais je n'avais ressenti autant d'amour pour une fille.

Quand je l'ai connut on était encore au lycée. Elle était différente mais je ne saurai dire si je préférais son insouciance ou sa joie de vivre continuelle. Même lorsqu'elle était triste elle gardais le sourire et il me semble que c'est ce qui m'a le plus attiré à elle. Pourtant dieu sais ce qu'elle a enduré, mis malgré tout elle s'est battue et je suis heureux quelle réalisé son rêve pour lequel elle s'est tant démené.

Ce matin j'ai eût une idée en me levant. Je vais demander à faire transférer mon dossier à la fac de Lyon pour être plus près d'elle et la voire plus souvent. Je l'appellerai ce soir pour lui dire. J'ai hâte de lui annoncer j'espère que ça lui fera plaisir même si elle ne pourra pas vivre avec moi dans l'appartement que j'ai trouvé mais elle pourra y venir quand elle pourra sortir, quand elle n'aura pas cour, etc...
Je serai loing de ma famille et de mes amis mais je peut revenir les voire des que je le veut et je peut le supporter plus facilement que d'être loing d'elle.

Je regarde l'heure, il est 11h. Je dois prendre mon train dans une heure , pour aller visiter des appartements à Lyon justement.