CHAPITRE 4

6 0 0
                                    

 LE BIENFAITEUR 

AUTEUR : BANKOLE BORIS 

CHAPITRE 4

AYO OWOLABI
Le soir venir, une fois que j'ai mis pieds dans la parcelle de notre maison, j'ai eu à mettre mes deux jeunes sœurs au courant de tout et je les ai à interdire de ne plus jamais aller chez ABIOLA derrière moi, car j'ai eu peur de ce mec et je me disais qu'il est capable de beaucoup de choses alors que les sœurs sont encore jeunes avec des avenirs radieux.

Un mois plus tard, ne pouvant plus supporter ma condition de vie qui était très pénible et défavorable alors je m'étais décidé d'aller revoir mon ami ABIOLA, juste que cette fois si j'ai décidé lui parler autrement, c'est-à-dire d'une autre manière.
C'était le début d'une semaine, un lundi matin très tôt, je m'étais réveillé tôt.
Après mon bain matinal et la prière matinale, j'ai mis un jean et une chemise manche courte avec ma paire chaussure SEBAGO puis j'avais pris la direction de l'office d'ABIOLA.

Il sonnait exactement 8H à ma montre à main quand j'ai quitté la maison à bord d'un taxi moto. 
Au bout d'une trentaine de minutes de circulation, je suis arrivé à destination et j'ai remis 200Naira à ce taxi man et il s'était en aller et j'étais rentré dans l'enceinte du service d'ABIOLA.

- Coucou mon frère ! , me disait ABIOLA.

- Salut frère, et la famille ? 

- Je rends grâce mon cher et de ton côté ? 

- Pas mal asso ! 

- ABIOLA,tu sais quoi, si je suis ici ce matin, c'est  pour te parler d'une chose qui me rogne la pensée depuis un bon moment juste que je ne sais pas comment te le demander, voir te le dire. 
Mais comme un adage yorouba dit
'' Peux importe la grandeur de la parole, on ne saura la découper avec l'épée. C'est la bouche même qui la dira et ce sont les oreilles qui la dégustera. 

- C'est la bouche même qui la dira et ce sont les oreilles qui la dégusteront. 

- Là ça devient sérieux, je suis à ton écoute ! 

- Tu sais quoi frangin, j'aimerais dès aujourd'hui savoir pêcher le poisson aussi et non que tu me donnes le poisson à manger. 
C'est-à-dire, je veux voir clair dans comment tu as fait pour rassembler toute ta richesse et aussi le nombre élever de clients qui viennent payer chez toi ! 

- Je ne crois pas et je n'arrive pas à croire, est-ce vraiment AYO qui me parle ou bien son duplicata ! Ça me paraît étrange que tu me parleras ainsi un jour .
Attends un instant, tu viens d'où d'abord ? Qui t'a conseillé ? Parce que je n'arrive toujours pas à te croire, c'est comme un rêve devant moi. 

- Mon cher ,je viens de le maison qui conque m'a pas parler ni conseillé juste que j'ai eu à faire une analyse complète des choses car chaque fois je viens te voir mais tu n'as jamais décidé m'aider malgré qu'on ai ami d'enfance et aussi ton niveau de richesse ! 

- AYO, dit merci à l'esprit qui t'a aider à fait cette analyse ce matin et je te dire bravo, c'est ce que tu allais déjà fait depuis lors. Mais de grâce, ce n'est pas encore trop tard. 
Je t'avoue que c'est dès maintenant que tu es devenu homme. 
J'ai même aimé ta bravoure. 
Je viens un instant, hé vais te surprendre. 
Sur ces mots, mon cher ABIOLA est rentré dans sa chambre et à sa sortie, il m'a remis une grosse enveloppe contenant une somme d'un million. 
- Tiens cette enveloppe, elle contient une somme d'un million de Naira. Je te le donne ce te mettre à l'aise avec et sans deux semaines nous allons effectuer un petit voyage.

- Merci beaucoup et infiniment mon cher que Dieu et le ciel te le rend au centuple. Je suis vraiment heureux et content.
Dieu veille sur toi et tes biens matériels. 

- Amen mon Cher cesse de me remercier nous sommes amis et avions l'obligation de nous entraider juste que tu n'as pas opté pour une bonne stratégie pour m'aborder auparavant, mais dès aujourd'hui, je suis prêt à t'aider.

- C'est très gentil de ta part mon cher. Je vais demander à partir. On se reverra bientôt pour le voyage. Je vais espérer ton appel téléphonique dès que possible.

Sur ces mots, j'ai quitté chez ABIOLA pour me rendre à la maison.
Une fois au domicile, j'ai fait part de ce que ce dernier m'a fait à mes deux jeunes sœurs qui étaient très étonnées aussi.
J'ai profité pour leur remettre le reste de leur contribution et un peu d'argent de porche et puis l'argent restant, j'avais pris cela pour rembourser le reste de mes échéances bancaires à Diamond Banque.

ABIOLA BABATOUNDE
Une fois qu'AYO est parti, j'ai saisi mon téléphone pour joindre le féticheur qui m'a fait mon rituel d'argent. D'autant plus que les trois ans se sont déjà écoulés et il faut reconstruire le rituel en lui sacrifiant une personne la plus proche à moi. J'ai alors décidé de donner AYO.
   Conversation téléphonique
- Allô Papa FALETI FAYEMI

- Coucou mon garçon comment tu vas, j'espère qu'il n'y a rien de grave !

- Oui papa, il n'y a rien. C'était juste vous avertir que je vais amener un ami plus proche à moi vers vous. Il désire aussi fait rituel d'argent, mais vous aller lui fait des sacrifices pour qui soit utiliser pour moi mon rituel qui va finir dans deux semaines.

- Pas de soucis mon cher. Rendez-vous d'ici semaine prochaine pour qu'on puisse commencer les initiatives.

- Je vous ai bien reçu. À bientôt père !

À suivre dans chapitre 5.......
Les chroniques de Boris : Page Facebook de Pause et Détente

LE BIENFAITEUR Où les histoires vivent. Découvrez maintenant