Elle ne respire plus. Elle fixe un point. Ses yeux ne bougent plus. Ces cheveux portés par le vent restent figés. D'ailleurs il n'y avait plus aucun bruit dans le bâtiment. Natsu eut peur. Même très peur. Il ne savait pas ce qu'il se passait. Et pourquoi lui seul pouvait encore bouger !? Le rose décida de descendre voir ce qu'il se passait. Un sort qui avait mal tourné ? Sans doute, mais dans ce cas, pourquoi être le seul qui pouvait encore bouger ? Trop de questions tournèrent en même temps dans la tête du dragon slayer.
- J'ai le cerveau qui surchauffe !!!!! dit Natsu tout rouge à force de trop réfléchir.
Soudain, il sentit l'odeur qu'il détestait le plus. L'odeur des larmes. Elles lui laissaient toujours un goût amer au fond de la gorge. Il suivit l'odeur de larmes. Les longs couloirs de l'école ne facilitaient pas son parcours vers la source de malheurs. Il courait en priant pour que quelque ne soit pas figé comme Lucy. Sa Lucy... sa blonde qu'il aimait tant. Il ne la connaissait pas depuis longtemps mais la nuit qu'il avait passer avec elle... il voulait en passer plusieurs avec Lucy contre lui dans ses bras. il était toujours dans ses pensées quand il arriva devant la source des pleurs. Une petite fille aux cheveux bleu nuit tenait entre ses mains une petite chatte blanche elle aussi figée.
- Wendy... il prit la petite dans les bras et commença à la bercer tendrement comme un père. Il la comprenait, lui aussi voulait pleurer toutes les larmes de son corps.
- Je... Je ... il ... se passe ... qu...quoi... Natsu réussi à dire Wendy.
- Je ne sais pas choup'... je ne sais pas... admit le rose.
Il continua à rassurer la petite fille. La fille de Grandinet ne cesser de pleurer. Elle venait souvent chez lui quand elle était petite. Sa mère et son père était amie d'enfance alors il voyait Wendy toutes les semaines au moins. Les deux enfants se considérer comme frère et sœur. Il se souvenait des deux chats qu'ils avaient, Happy et Charuru. Les deux petits chats jouaient ensemble jusqu'à ce que Happy commence à draguer la blanche. Celle-ci le fuyait alors comme la peste ce qui faisait rire les deux jeunes. Puis Wendy avait grandit, elle lui avait parlé de Roméo, un garçon sympa qu'elle aimait.
Il se souvenait de beaucoup de chose et cela le fit pleurer. Il versa une larme puis une deuxième et finit par faire comme la petite bleu. Des doutes venait se glisser des son esprit. Et si personne ne redevenait comme avant. Si Lucy rester comme ça... sans son sourire... un sourire figé à jamais. Non terminé. Si Charuru ne bouger. Ne faisait plus de câlin à Wendy.
Soudain, il entendit un bruit. Un bruit de vaisselle qui tombe. Il releva la tête et dit à Wendy de venir avec lui, elle se leva et prit la main du garçon qui la sera dans la sienne. Natsu se dirigea vers la cuisine du lycée. Ils ouvrirent la porte à double battant et rentrèrent dans la salle. Personne ne se trouver dans le réfectoire, le garçon entendit cependant un bruit venant des cuisines. Il ouvrit une autre porte et ... eut un sursaut de terreur. Wendy explosa de rire en reconnaissant la silhouette familière, qui était mort de rire lui aussi. Une moue boudeuse se dessina sur le visage de Natsu.
- Vous allez arrêter de vous foutre de moi !
- Nan c'est trop drôle, réussi à dire le garçon.
- Gajil !!! hurla la petite fille.
- Oui me ptite !?
- Pourquoi toi non plus ne bouge pas !? demanda la bleue.
- Ben comment veux-tu que je le sache ? demanda lui aussi le dragon slayer d'acier.
Leur conversation dura encore longtemps entre le rose qui insulter le noir. Wendy qui essayer de les calmer pour que ça ne finisse pas en bagarre... ce qu'elle rata évidemment. Pendant ce temps dans la cour, une jeune fille commença à bouger. Elle ouvrit les yeux qu'elle avait fermés lors du sort. Ses bras légèrement engourdis reprenaient vie. Elle entendit le bouquant pas possible de la cantine et se dirigea vers la source des cris. Une aura menaçante autour d'elle.
A suivre...

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Un sourire figé qu'il faut sauvé
FanfictionUne jeune fille se transforme en statut et la seule personne capable de l'aider est celui qu'elle détestait le premier jour.