|| Ray || Chapitre 2 :

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Ma famille m'a laissé en plan pour aller je ne sais où en prétextant qu'il venait juste en coup de vent me féliciter et me voir avant la tournée. La véritable raison est qu'il voulait me faire culpabiliser de laisser le gosse et donc ils sont tous barrer en me prévenant que si je ne revenais pas la chose aller mourrir.

Mon père m'a clairement dit que il en était de ma responsabilité de le garder. En d'autres mot '' tu te démerdes mais tu le gardes '' !!

Je suis resté sans rien faire, debout à fixer ce putain de bébé devant moi.
Mon père croit que garder un bébé c'est facile ? Il a peut-être eu 5 enfants mais il avait ma mère, ils étaient deux. Il n'était pas seul avec un métier d'avenir compromis par cette emmerdeuse de pisseuse !

Je souhaite juste une vie heureuse sans problème (comme tout le monde d'ailleurs). Et voilà que quand mon rêve aller ce réaliser il y a cette fichu CHOSE qui gâche tout. Je m'en contre fou de leurs avis mais j'ai décidé que je partirais en tournée quand même bébé ou non. Et si il veut tant que je le garde je le prendrai avec moi. Je laisserais le staff s'en occuper ou Redji. Histoire d'éveiller son instinct maternelle. Oui je suis un génie.

Je fixe la chose dans le landeau en train de dormir pour venir à la conclusion que comme le bébé dort je peux sortir sans risque, on est d'accord ? Autant profiter, j'ai toujours cru comprendre que les bébés faisait que de dormir. Je peux bien aller boire un verre et puis c'est sa faute aussi. Pourquoi la mère n'a pas pu le garder, je sais même pas qui sait cette meuf, je couche avec tellement de personne. Merde ! J'ai une vie aussi.

Ça me gonfle de rester là à tourner en rond. Cigarette en bouche, je sors finalement de la maison laissant le bébé ce démerder, je prend ma Lamborghini est pars me défouler à un bar, j'espère ne pas croisé de pute ou de fans, c'est vraiment pas le moment. Ma cigarette de terminer, je la jete par la fenêtre et accélére

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Cette soirée ne m'a servit strictement à rien, l'alcool était à tombait mais quand quelques filles se sont approchés, j'ai eu un haut le cœur en pensant à la petite dans mon salon, heureusement personne ne m'a posé de questions ce qui était pratique.

Résultat je suis dans mon parking en train de fumer ma dernière cigarette avant de rentrer. On pars demain matin.

Attendez deux secondes.

Il est où le landau ?
Il était sur la table quand j'ai quitté la maison, IL EST OÙ il a pas pu marché. C'est trop petit pour marcher. Si je perd ce bébé la veille en plus !! Mon père me démolit et je dis adieu à ma carrière.

PUTAIN DE BORDEL DE MERDE !!!

Je monte en courant presque jusqu'aux chambres. Je ne peux le dire à personne car le personnel sont tous des taupes à mon père, littéralement je suis dans la merde.

J'ouvre toutes les chambres que je vois mais rien. CE BÉBÉ N'A PAS PU DISPARAÎTRE COMME ÇA !!!

Je rentre dans la dernière pièce qui est la salle de bain mais toujours rien, j'au fouillé la maison entière.

Mais dans quelle merde hé me suis encore mis ! Quelqu'un essaye de me faire rater mon départ c'est pas possible autrement. Mais est assez con pour kigdnappez un bébé dans une villa ? Dit comme ça c'est vrai que c'est tentant.

Bordel si ça se trouve on va me demandais une rançon. Pire on va afficher ce gosse sur les réseaux et adieux ma carrière.

Bordel de merde.

Je passe la main dans les cheveux et me brûle le doigt avec ma cigarette dans la main.

Je jette la cigarette et l'écrase avec force.

Je vais péter un plond ! Je donne un coup de pieds dedans et celle-ci se balance sur ma porte.

Ma porte.

Ma chambre.

Oh bordel de merde.

Je me precipite comme un dingue en manquant de tomber et j'en profitais pour ramasser ma cigarette ecrabouiller, histoire de pas foutre le feu j'ai déjà gagner ma journée. Je fracasse presque la porte quand ma vu s'arrête sur un petit lit.

Je glisse sur la porte maintenabt fermée et souffle de soulagement.

- Putain ne me fait plus jamais ça !! Dis-je dans un souffle.

Après plusieurs minutes de repos bien mérité, je m'avance vers le lit du bébé qui squatte ma chambre.

À l'instant où je m'approche du lit, le bébé cris et pleurs. J'ai le karma à mes trousses il n'y a pas d'autres explications potables.
Je recule la tête en me bouchant les oreilles : Vous n'avez plus besoin de cd d'opéra, appelez-moi je vous le fait écoutez gratuitement !!

Le bébé hurle de plus en plus, je le laisse en plan pour aller boire une bierre et dormir sur le canapé en bas.
Il se calmera bien un jour ou l'autre.

Il faut que je le nourisse aussi.

Je sens que ma nuit va être longue.

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ButterflyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant