Toujours les mêmes rêves, toujours les mêmes cauchemars. Ils me font peur, ils me rendent folle. Chaque soir, je me couche en espérant que cette nuit sois la bonne et que mes démons ont enfin décidé de disparaître. Je prie pour que le sommeil ne vienne pas toquer à ma porte. Quand je sens que mes yeux se ferment, je perds tout mes moyens et je panique.
Non pas encore, s'il te plaît, je ferai tout ce que tu voudras, mais si je ferme les yeux, je t'en supplie, laisse moi dormir...
Je n'ai peut-être pas supplié assez fort...
Chaque soir, je vois ton visage. Ton magnifique visage, je le vois et même si je sais que tu vas pour la je ne sais combientième fois de la semaine me planter tes couteaux dans le dos ou me noyer ou faire ce qui te plaît de moi, je ne peux m'empêcher de te sourire.
Chaque nuit tu t'approches et tu m'embrasses tendrement. J'aime la chaleur que tes mains dépose sur tout mon corps. J'aime t'entendre chuchoter mon prénom suivie de l'ordre de te déshabiller entièrement. Oui, j'adore ça et tu le sais. Tu sais que chacun de t'es geste me rendent de plus en plus vulnérable. Je suis faible. Faible quand je vois ton corps tout entier qui n'est plus protéger par une tonne de tissus inutiles. Oui, je suis faible.
Je te laisse t'approcher de moi. Je te laisse poser ton corps sur le miens. Je perds tous mes moyens quand la chaleur de tes mains et celle de ta poitrine fusionne avec la fraicheur de ta langue que tu laisses apparaître entre chaque baiser que tu déposes, qui parcourt mon corps tout entier.
Non ne t'assoie pas de cette manière sur moi, n'écarte pas t'es cuisses. Surtout ne fait pas bouger ton bassin.
Tu as fait tout le contraire et ça ne me dérange pas. Puisque qu'à aucun moment je ne t'ai fait part du fait que tu ne devais pas te mettre dans cette position sur moi, parce que je voulais que tu le fasses. Je voulais sentir t'es hanches bouger sous mes mains et écouter ta respiration augmenter à chaque fois que mes mains agrippe tes fesses d'une douceur comparable à une peau de bébé. Je sais que t'aime ça, je le vois, je l'entends. Mais ça ne te suffit pas, je le sens bien. T'es mouvements sont de plus en plus prononcés. Oui, je sais ce que tu désires princesse, mais je vais te faire patienter, mais ne t'inquiète pas tu vas aimer ce qui va suivre.
Je pose ma main droite sur ta joue gauche, rapproche légèrement ma tête et pose mes lèvres délicatement sur les tiennes, je t'embrasse et en suivant les mouvements de ma bouche je sens que la tienne dessine un petit sourire. Est ce que ça signifie qu'après tout ce temps tu apprécies toujours autant ma façon de t'embrasser ? Mais pas sûre que se sois le moment de poser ce genre de question. Je préfère te mordre la lèvre. Je t'entends faire une réflexion. Mais autant que je te pose la question tout en embrassant ton cou non ?
J'embrasse deux ou trois fois le haut de ton torse et relève doucement la tête jusqu'à ce que nos visages sois à la même hauteur et chuchote à ton oreille tout en posant ma main gauche sur ton sein droit et le palper doucement " ça ne t'a pas plu ?" je ne vais pas te laisser le temps de répondre parce que je préfère que ta réponse se fasse dans un souffle de surprise et d'envie. Alors, je pose ma bouche sur ton sein et embrasse ton téton. Et aussitôt tu agrippes mon dos, ça fait mal mais j'aime cette douleur. Je me stops et te repose la question, et j'obtiens ce que je voulais. Ta réponse, "j'ai adoré" est sorti de ta bouche comme si tu venais de finir première d'un marathon. Ce n'est que le début mon cœur est-ce que tu vas vraiment pouvoir affronter ce qui t'attend ?
Pourquoi tu t'approches de moi avec se regard là ? Tu veux me dire quelque chose ? Ne respire pas comme ça aussi près de mon oreille si tu veux pouvoir marcher demain matin.
Tu chuchotes encore ? Dit-moi tout, demande moi tout ce que tu veux.
"Fait moi l'amour. Maintenant". C'est ce que tu veux-tu est sûre ? tu est déjà allongé, ce qui répond donc à ma question.
J'allais t'embrasser, mais tu ma surprise en me disant que tu m'aime. Et je t'aime aussi.
Ton regard est tellement intense, je suis sûre que si tu le voulais vraiment tu pourrais lire mes penser sans problème. Est-ce que tu te rends compte à qu'elle point ton regard me rend folle ? A Quel point je suis soumise aux marrons de t'es yeux ? Sors moi de cet hypnose.
je sens que tu en as vraiment envie. J'arrive doucement, mais surement. Laisse moi commencer par le commencement. Sens mon envie d'être en toi à travers les baisers que je dépose délicatement sur chaque parti de ton corps en commençant par le cou puis le torse, bien sûr je fais une petite pose sur chacun de tes seins en laissant ma langue glacé jouer avec la pointe de tes seins durci par les frissons qui traverse ton corps .
"Oh... mon amour... continue" tu veux que je continue d'embrasser ta poitrine ou tu veux que j'aille plus loin ou plutôt plus bas ?
Je vais te donner ce que tu veux mon amour oui mais d'abord je veux sentir tes hanches bougées sous la fraîcheur de mes baisers. Je sais que cette combinaison te rend folle. Moi c'est t'es doigts plantés dans mon bras qui me rendent complètement folle, ça me montre que ça te plaît et que tu as envie que ça dure jusqu'au aurores. Et ça va durer aussi longtemps que tu le désirs c'est promis.
C'est bon j'y suis. Et je veux que tu me supplies d'arrêter, je veux que tu attrapes ma touffe énorme de cheveux bouclés et que tu cris mon prénom.
Mais tout cela doit rester entre nous.
Cette nuit comme toutes les autres a été un magnifique cauchemar.
-ME
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L'écriture ou les murs
NonfiksiIl y avait quelque chose de spécial entre nous, un amour bestial entre loups.