Je ne veux pas t'oublier. Je ne veux pas oublier tout ces moments passés prêt de toi. Pour rien au monde, je voudrais oublier tout ceux qui a fait de moi un être capable d'aimer à ce point. Pour rien au monde, je voudrais voir disparaître de mon esprit cet amour qu'on a pu partager. Et même si je le voulais, je ne le pourrais pas. Tu as marqué mon âme de ta sagesse, mon cœur de la profondeur de ton regard et mon corps de la douceur de tes doigts. S'il y a bien une chose que je peux te promettre, c'es que jamais personne ne prendra ta place. Je t'ai beaucoup trop aimée, je t'aime beaucoup trop et si je suis bien sûr d'une chose, c'est que je continuerais à t'aimais même après ma mort.
Je ne pense pas que tout cela vas t'intéresser, je ne pense même pas que tu vas lire ça un jour. Mais si un jour, tu tombes sûr mes écrits sache que je n'écris pas pour te blesser, pour te faire du mal ou pour te déstabiliser. J'écris pour que mes émotions prennent vie.
C'est vrai que je t'aime oui, je t'aime de toutes mes forces. Je t'aime comme personne n'a jamais aimé. Je t'aime, mais quelques fois, j'aimerais passer une journée sans avoir à penser à toi. Juste une journée où une rose ne sera qu'une rose, où une fossette ne sera rien d'autre qu'une fossette, où le monde ne sera rien de plus que le monde. Mais ses impossibles. Depuis que mon cœur t'appartient, une rose me rappelle notre première Saint-Valentin, une simple fossette me rappelle celle que tu as quand tu souris, sur la joue droite, elle te va tellement bien. Tes pommettes qui se dessine si bien quand tu te mets à rire.
Tu ne le sais sûrement pas comme pleins d'autre choses que tu ne connaissais pas chez toi jusqu'à ce que je te le dise, mais à chaque fois que tu me souriais, tu me fixais et puis tout d'un coup t'es pommettes s'affaisser sous la pression de l'intensité de ton regard. Ton sourire n'était plus réellement présent, mais celui qui faisaient surface quelques secondes au paravent était toujours imprégnait dans l'expression de ton visage. Ton regard était hypnotisant, tes yeux étaient si brillants, je me demandais si tu arrivais réellement à me voir à travers ce torrent d'étoiles.
Est-ce que tu le savais ?
Depuis que tu es là le monde n'est plus ce qu'il était.
Depuis que mon être t'appartient, mon monde n'est plus simplement mon monde.
-ME
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L'écriture ou les murs
No FicciónIl y avait quelque chose de spécial entre nous, un amour bestial entre loups.