L'île

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Cela faisait maintenant une semaine que l'île était en train d'être évacuée, sur huit million, il ne restait plus que cinq cent mille habitants. Comment voulez vous, obligez des gens à partir de chez eux, où au contraire à les empêcher de passez sur les autres. J'étais partis avec ma mère, ma petite sœur et mon petit frère. Quand l'alarme c'était déclenchée, j'étais avec ma copine chez moi. Ma mère était dehors avec les petits. Cette alarme, c'était l'alarme pour prévenir une attaque biologique. Chaqu'un de notre coté on appela notre famille savoir si tout allé bien. Au bout de trente minute, le gouvernement a fermé tout les ponts, puis vingt deux heure trente plus tard, un seul à rouvert, et ils ont demandés,aux citoyens d'évacuée dans le calme vers ce pont. J'ai demandé à ma famille d'attendre un peu plus longtemps, je ne voulais pas évacué de suite, c'était trop dangereux, il y aurait des émeutes, des blessés, des morts. Le programme d'information m'avait rendu raison,il y eu environ un million de mort par les émeutes. Il y eu aussi cinquante mille décès qui furent causés par des personnes qui voulaient fuir par d'autre moyen et il y en eu environ cinq millions par raison inconnu. Maintenant que la population avait diminuer, que les émeutes s'étaient calmé, nous devions partir. Je savais que hors de l'île je retrouverais ma copine et sa famille. J'entrepris donc le départ. J'allai voir Jack, mon petit frère, il avait seize ans, un peu corpulent, il mesurait environ un mètre soixante quinze, cheveux blond, yeux marron. Il était accro au jeux vidéo, il n'arrêtait pas de crier au complot et que le gouvernement avait contaminé la population pour diminuer la population. Il aimé porter des t-shirts avec des référence geek. Je lui ordonna de faire sa valise et lui dit :

-Nous partons dès que possible. Ça c'est calmé dehors.

J'allai voir Alicia, ma petite sœur, elle avait dix-sept ans, brune et cheveux long. Environ un mètre soixante, les yeux verts, souvent habillé en noir, style gothique, accro à la musique. Je lui dit de se préparer elle acquiesça. Elle avait encore ses écouteurs. J'alla voir ma mère, Leticia, elle a 54 ans, les cheveux cours, bouclés et blanc. Comme mon frère elle était un peu corpulente. environ un mètre soixante dix. Je lui dit :

-J'ai prévenu les jeunes, tu es prête ?

-Oui, Et toi , tu es prêt ?

-Oui m'an.

Je travaillais en temps que policier, mais il y a un mois je me suis fait tiré dans le ventre. Lors d'une arrestation tout a fait banal,nous n'avions pas prévu avec mon coéquipier que le suspect pourrait être armé. J'étais donc en repos forcé. J'avais pris mon arme, ma plaque, des habits de rechanges, mes papiers. Je vérifiais que tout le monde été près et que personne n'avait rien oublié. Puis je ferma la porte à clé et me dirigea vers la voiture. On monta tous,je conduisis, ma sœur derrière moi, mon frère à sa droite et ma mère coté passager.

Je démarrais donc la voiture. Je roulais en direction de l'Est, vers le seul pont qui était ouvert : Eastown bridge. Les routes étaient désertes, il y avait parfois quelques cadavre sur le coté, des voitures et des magasins pillés ou en feu. On aurait dit l'une de ses villes fantômes dans les films, elle était déserte, les seuls bruits que nous entendions était le moteur de la voiture, l'alarme biologique et un bruit de foule de plus en plus fort. Je tourna donc à droite, pris la route principal, cela faisait quinze minutes que nous roulions, quand je freina d'urgence, un homme, enfin je crois, avait attéris juste devant la voiture. Je sortis, regarda la bouillie informe, et choqué je décida de repartir normalement, pour ne pas trop y pensé. C'était la première fois que je voyais ça. Ce virus provoqué donc une folie. Je dis à ma famille que tout allez bien et démarra, puis partis. Je tourna à gauche, il ne nous restez plus que quatre pâté de maison à parcourir avant d'arriver au pont.J'étais toujours troublé par ce qui venait de se passé, surtout que les corps commençais à devenir de plus en plus fréquent. Au fond je voyais le pont bloqué par des chars, une file d'attente avait était installés pour passer de l'autre coté. Des enceintes avaient été installés et criaient des ordres, des lumières oranges tournés et clignoté. Je roula donc jusqu'à ne plus pouvoir, il ne restait qu'un pâté de maison avant de pouvoir atteindre la file d'attente, je portais la valise de ma mère et de ma sœur. On arriva devant le barrage. Je remarquais que les personnes qui encadraient le barrage, portaient des tenues hazmat,anti-bactériologique, ou même avaient des masques à gaz. Nous entrâmes donc dans la queue, attendions notre tour, au bout de cinq heures, à marcher pas à pas ce rapprocher de la sortie, nous arrivions devant les portiques de sécurité quand les enceintes retentirent, un message se diffusa :

-En raison de l'heure tardive nous fermons le point, nous rouvrirons demain à neuf heures. Veuillez rentrer chez vous, toute personnes surpris proche du barrage serons abattu à vu.

Le message se répéta trois fois. Les gens commencèrent à protester,à râler, certains lancèrent des cailloux sur les militaires. La réponse ne se fit pas attendre plus longtemps, les militaires tirèrent trois coup de sommation. Les gens s'enfuirent, en panique. J'avais eu le temps d'apercevoir, Nicolas, un ami du lycée a qui je parlais encore souvent, il avait une combinaison anti bactériologique, il ressemblait à une papillote dans son costume en aluminium. Je vu qu'il me fis un signe de la main, avant demandé quelque chose à ce que je pense être son supérieur. Il fis un grand non de la tête, Nicolas me fis un signe de non de la tête ensuite puis un haussement d'épaule comme pour s'excuser. Je lui fis un signe de la main puis avec ma famille nous partions de nouveaux à la voiture. Nous devions trouvé un endroit où dormir ou forcé le passage, pour réfléchir je décida de retourner à la maison. Mais je ne pensais qu'à une chose, c'était inadmissible, je refusais ça, je refusais d'être bloqué, coincé, emprisonné ici emprisonné sur l'île. Je refusais d'être empêcher de partir,si j'étais seul, je tenterais ma chance...

L'épidémieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant