Le pont

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Ce matin, on m'as réveillé, un appel. Le gouvernement a fait un appel des militaires environnants l'île de Kairn. Dans l'appel que je reçu, on m'informa que l'armée demandée ma présence. Je me prépara donc, pris mes affaires et alla vers Eastown bridge. Une fois arrivé, je me dirigeai vers un site militaire improvisé. Je garai ma voiture non loin du parc, descendis et me dirigeais vers le grand espace à la sortie du parc. On nous fis un bref briefing de ce qu'il y avait eu : une arme biologique c'est répendus et certaines personnes ont étaient contaminées. Cela faisait trois jours que l'infection . On nous expliqua que les habitants tenteraient de fuir,et que nous étions la pour empêcher la propagation du virus et limiter la casse. Pour cela, nous devions analysés les personnes passantes pour quelles ne soient pas contaminées. Et nous devions nous assurer que personne ne franchisse le périmètre. Je me rendis dans le parc, ce parc avait été transformé en base d'analyse. Il était juste à côté du pont, pile en face. Des chars avaient étés disposés à la sortie du pont pour bloquer l'accès, des grands grillages avec des gros parpaings qui les tenaient été positionnés sur tout le long du pont. Les personnes étaient parqués comme des bêtes est avancée dans une file un par un. Nous devions respectés plusieurs règles. Tout d'abord, nous avions l'obligation de porter des combinaisons Hazmat ou N.B.C ( Nucléaire Biologique Chimique)pour éviter toute contamination. On nous expliqua que nous devions passer dans un centre de décontamination avant de retirer la tenue.Nous ne devions pas avoir de contact physique avec les civils, et nous devions respecter les ordres. Le Premier jour j'eus un briefing l'a matinée, où on me demandais de tirer sur des civils, si ils s'enfuyaient sans autorisation et je fus posté à la sortie du barrage. Je ne vu que des gens qui étaient heureux de passer et des camions. La nuit des coups de feu retentirent, des gens qui tentaient de forcer le passage sûrement. Il y avait eu dix neuf millions de personnes le 1er jour qui traversèrent. Nous devions tenir le barrage. Le deuxième jour, je fus rapproché et servis de garde dans les premières pièces de décontamination, je devais juste servir de moyen de pression sur les civils pour éviter qu'ils deviennent violents, si ils étaient déterminés comme contaminés. Je dû tirer sur trois cent personnes dans la journée qui avaient peur d'être contaminées. Les personnes devaient passées un portique et au bout, ils rentraient dans une pièce de décontamination, la où j'étais en garde. Où un scientifique l'examinait en compagnie de deux gardes. Si il était contaminé, il montait dans un camion pour se faire soigner, sinon il pouvait accédé à une autre salle qui confirmait le diagnostic. Une fois les deux étapes passés, il était libre de circuler dans le reste de la ville. Le troisième jour je fus de nuit. Je me postais donc en début d'après midi au niveau des lignes de défense. Je vis des civils, certains étaient paniqués,certains ce faisaient piétinés, quand arriva la nuit et certains restèrent même jusqu'à ce qu'ils soit contraint de partir par nos forces et la dissuasion fut difficile nous eûmes l'obligation de tirer sur un des civils comme exemple, nous prîmes celui qui étaient le plus malade au cas ou. Durant à nuit je du tuer une bonne centaine de civil, ils tentaient de forcer le passage. Nous n'avionspas le choix, tirer sur des civils, ils étaient infectés, ilspourraient contaminés toute la population. Le quatrième jour je fusde fin d'après midi et de soirée. Quand les alarmes retentirent la fin de la journée, une phrase fut émise :

-En raison de l'heure tardive nous fermons le point, nous rouvrirons demain à neuf heures. Veuillez rentrer chez vous, toute personnes surpris proche du barrage sera abattu à vu.

Le message se répéta trois fois. Les gens commencèrent à protester, à râler,certains lancèrent des cailloux sur nous. On décida de les calmer en tirant des coups de feu en l'air, trois coup de sommation. Les gens s'enfuirent, en panique. J'avais eu le temps d'apercevoir, les personnes qui allaient passer pour ce faire examiner. C'était Harry, un vieil ami du lycée à qui je parlais encore de temps en temps, il avait l'air mort de panique et de stress. Il ressemblait à un cadavre avant l'heure....

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⏰ Dernière mise à jour : Mar 14, 2019 ⏰

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