kamasoutra

Chapitre 2

Après l'épisode du pyjama, et malgré des regards plus qu'insistants de la part de Sherlock, il n'y avait plus eu de problèmes du genre et ils avaient été affecter à une nouvelle enquête.

Mais voilà plusieurs jours qu'ils n'avançaient plus.

Ils enquêtaient sur le meurtre d'un vieux couple de retraiter tués dans une ruelle.

Ils ne s'avaient pas exactement pourquoi ce couple c'était trouver là. Les Fisher revenaient d'un théâtre où c'était joué une pièce de Shakespeare.

Mais pourquoi emprunter une ruelle qui, d'après Sherlock, ne faisais que rallonger leur chemin jusqu'à chez eux ? A moins bien sûr s'ils ne comptaient pas rentrer chez eux.

Mais que ferais deux personnes de plus de 75 ans en ville à minuit ?

Voulant savoir sur son coéquipier avançait, John alla dans le salon mais ne trouva personne.

Elle chercha dans la cuisine puis dans son bureau mais rien.

Alors elle alla dans la salle où se trouvait toutes les télévisions et le trouva face à une petite dizaine de visage peu commun les uns des autres. Certains avec des masques, d'autres avec du maquillage ou tout simplement dans le noir.

« Les membres d'Everyone je suppose » : dit John en s'appuyant sur l'angle de la porte.

Ils la regardèrent avec un regard étrangement suspect qui mis mal à l'aise John.

Sherlock se leva, fit quels pas vers elle, puis s'arrêta net.

« John ! Justement nous parlions de vous. : s'exclama-t-il.

- De moi ?

- Nous avions recherchés les possibles bars ou amis où auraient pu vouloir aller les Fisher, mais nous n'avion rien trouvés. Comme vous le savez, j'aime changer mon environnement pour avoir accès à une nouvelle vision des choses.

- Oui mais je ne vois pas le rapport avec moi...

- Patience ! J'ai donc fais connaissance avec un nouveau style de musique : le rap.

- Pas très nouveau le style de musique.

- Watson !

- Ok ! Je ne vous interromps plus.

- Bien. Donc c'est en écoutant toute la vanité de ces chanteurs, critiquant les femmes et étalant leur argent que j'ai pensé à une possibilité : que les Fisher ne soient pas aussi inoffensifs que l'on puisse imaginer. J'ai donc chercher les lieux d'activités illégales connus par les services de police et il se trouve qu'un « centre de jeux d'argent » se trouvait à deux rues de celle où l'on à retrouver les deux corps.

Sherlock se retourna vers les écrans :

- J'ai donc demander de l'aide à Everyone pour avoir accès à leurs caméras de surveillance.

- Et vous avez fait tout ça pendant mon absence, comme d'habitude : chuchota John, toujours impressionner par l'efficacité et la logique de son coéquipier.

Elle s'avança à son tour vers les écrans, regardant un à un tous les membres d'Everyone.

- Et donc pourquoi vous parliez de moi spécifiquement ? dit-t-elle.

Homes se retourna vers elle, la regarda dans les yeux, puis annonça : En échange, la punition qui d'habitude ne concerne que moi, vous concerne aussi à présent.

- Sherlock, je pensais que j'avais été clair là-dessus. Je ne participe pas aux punitions d'Everyone.

- C'est ce que je leur ai répondu bien sûr mais déjà la dernière fois que j'avais demandé leur aide, vous étiez dans la punition. J'avais réussi à les faire changer d'avis mais là, ils sont intraitables.

- Et qu'elle serait la punition ?

Il mit un temps avant de répondre froidement :

- Des photos de nous imageant l'acte sexuel par trois positions de kamasoutra.

----- Gros blanc dans la pièce -----

Elle avait bien entendu ? Kamaso... Non ! C'est pas possible !

- Il en ai hors de question ! Non mais vous avez quel âge ??!!! : cria-t-elle en se tournant vers Everyone.

- Du calme Watson.

- Qu...que je me calme ?! C'est une blague ?

John était rouge tomate. Elle était plus que gênée.

- Et vous vous dites ça sans gêne ? : dit-elle en foudroyant du regard l'homme en face d'elle.

- Vous savez comment je fonction Watson. La gêne n'est qu'un sentiment encombrant qui pollue l'esprit.

- Bon ça suffit ! Je vais dans le salon.

Elle tourna les talons et sortie.