Insomniac because of This.

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Moi c'est Louise Hellins, j'ai 19 ans et cette année j'entre en fac de médecine.Je veux devenir un grand chirurgien et sauver des vies.J'ai eu mon bac avec mention "très bien" alors j'ai eu le droit à entrer dans une fac très renommée, je sais qu'il va falloir que je bosse dur et que je sacrifie ma vie d'ado pour réussir, mais je suis prête à tout pour réaliser mon rêve.
Je suis entrain de m'installer dans mon appartement, où je vais vivre avec un colocataire.Je ne le/la connais pas et il/elle ne devrait plus tarder alors j'appréhende un peu.En fait c'est le proprio qui nous à mis ensemble sans m'en dire plus et j'ai pas refuser pour ne pas perdre l'appart.
Bref, j'étais dans mes pensées en déballant un énième carton lorsque la porte s'ouvri.Je me tournais rapidement pour faire face àun type plutôt canon : yeux bleu, cheveux blonds relevés vers l'arrière et un corps parfait. Pas mal le gars, me dis-je.
Je continuais de le matter avant de me rendre compte que je bavais presque et de reprendre mes esprits:
-Salut, fis-je, alors on va être collocataire ?
Il me regarda de haut en bas avec ses grands yeux océans. J'étais vêtu, il faut dire, d'un short en jean m'arriavnt au début des fesses et d'un débardeur m'arrivant au nombril, ce qui peut être considéré comme "très court".Son regard passa au ralenti sur mon décolleté, alors je me raclai la gorge, déposai mon carton et me dirigeai vers lui la main tendue:
-Moi c'est Louise, lui dis-je, Louise Hellins.
Il secoua la tête pour reprendre ses esprits aussi me sembla-t-il puis me tendis sa main et serra la mienne et se présenta:
-Enchanté Louise, je suis Niall Horan, ton colloc' apparment, dit-il en souriant de toutes ses dents.
-Eh bien Niall, j'ai déjà choisi ma chambre, mais si tu ne veux pas prendre celle qui reste, on peut changer,répondis-je en lui retournant son sourire.
Il se retourne, ferme la porte d'entrée qui était restée ouverte durant cet échange et dépose des clés de voiture sur une commode avant de se diriger vers le couloir des chambres et de la salle de bain. Je suis ses mouvements jusqu'à ne plus le voir et reprend mon déballage en attendant.
L'appartement n'est pas luxueux, il se compose d'un salon et d'une cuisine et de deux chambres et d'une salles de bain desservis par un petit couloir sombre.Les chambres sont assez spatieuses et meublées d'un lit double et d'une armoire toutes les deux.L'une étant située vers la rue laissais apercevoir le quartier à travers la fenêtre tandis que dans l'autre, elle donnait sur un parc situé en face de l'immeuble et c'est pourquoi j'avais choisis la seconde; le parc étant assez fréquenté et plutôt joli.J'adore regarder les gens agir, alors de cette fenêtre j'aurais un magnifique observatoir où je pourrais laisser mes yeux et mon esprit vagabonder à leurs gise, comme j'aime le faire souvent.
Losque Niall revint de sa visite, j'avais fini de déballer mon carton qui se trouvait être le dernier de mes affaires. Je m'était assise dans le canapé pour me reposer après toutes ces heures de rangement, et il vint s'assoir près de moi.
-La chambre coté rue me va très bien, me dit-il.
-Merci, lui répondis-je, dis moi, ça te dérange les chats ?
-Non pas du tout, pourquoi ? Tu en as un ?
-Oui, mais je voulais d'abord voir avec toi si je pouvais le ramener alors il est encore chez mon père.
-Eh ben ça me dérange pas le moins du monde !J'adore les chats même. Tu le ramène quand ducoup ?
-Je le ramene la semaine prochaine, j'irai ce weekend voir mon père.
-Ok de toute façon je serais ici ce weekend moi.
Cela m'étonna:
-Tu ne rentre pas voir tes parents de temps en temps ? lui demandais-je .
Il me regarda dans les yeux et je pus voir dans ses beaux yeux océans un mélange de tristesse et de nostalgie.
-Non, je suis orphelin,me dit-il.
Merde t'es trop conne toi ! Ta gueule sale conscience de merde !!
Là j'avais fait fort c'est sur. J'étais un peu choquée et totalement désolée pour lui.
-Mince je suis désolée, m'excusais-je avec un sourire timide.
-Y'a pas de soucis, j'avais 4 ans alors je suis habitué. Il me rendit mon sourire.
Putain il est magnifique !! Bon t'as fini de baver là ?
-Ducoup t'as quelque chose de prévu ou ça te dirai de venir avec moi ?proposais-je.
Il sembla réfléchir avant de dire:
-Non j'ai rien de prévu, mais je voudrais pas te déranger avec ta famille hein.
-Pas du tout, ma famille aime beaucoup accueillir des nouvelles personnes et comme on va être colloc' tu risque de voir débarquer mon père à l'improviste de temps en temps...Donc autant que je t'habitue à lui le plus vite possible.
C'est vrai que mon père est très collant et qu'il a eu du mal à me laisser partir, mais il avait pas le choix vu que j'ai choisis une fac à une heure de chez nous. En fait je tenais à partir de chez moi assez vite parce que j'aime pas trop qu'il soit toujours sur mon dos.
-Bon ben ok alors, me dit-il.
-Super, dis-je avec enthousiasme.Aller viens, on va faire la bouffe parce que j'ai sérieusement la dalle !!
Je me levais et allais vers la cuisine, il me suivit et je l'entendis rire derrière moi.Je me tournais vers lui, les sourcils froncés et le regardais.Il s'en rendit compte et arrêta:
-Désolé, mais on a un point en commun mainteant .La bouffe c'est toute ma vie, mais je te signale qu'il est seulement 4 heures.
Je souris et dis:
-Je sais qu'il est 4 heure hein, mais le gouter c'est sacré chez moi !! Alors tu me suis et tu bouffe ou tu évite de venir dans la cuisine dans cet horaire parce que quand je mange c'est Bagdad .
Il se remit à rire et cette fois je le rejoignis.
-C'est bon, t'es ma reine !! Dit-il peu après.Chez moi le gouter c'est tout un art alors je te suis volontier.
-Tant mieux parce que je t'aurais pas laisser un seul oréos après ça, dis-je en souriant.
J'entrais dans la cuisine et sortis oréos, nutella, pain de mie, jus d'orange et une poele pour faire des pancakes. Je commençais à faire ma pâte pour les faire pendant qu'on continuait de parler.
-Dis moi, commença-t-il en s'asseyant sur le comptoir près de moi, ça va te paraître indiscret, mais j'ai remarqué que tu dis "mon père" et pas "mes parents"... t'as perdu ta mère ?
Il me regradait dans les yeux et je pouvais voir une grande compassion naître de ses yeux océan.
-Ouai...Elle morte quand j'avais 8ans, sous mes yeux,lui dis-je avec un soupçon de tristesse dans la voix.
Je fixais ma préparation, tandis que j'essayais de refouler mes larmes. Cela me faisais toujours aussi mal d'y penser, même après toutes ces années.
Du coin de l'oeil je le vis descendre du comptoir. Il me saisit l'épaule avec douceur, pour me tourner vers lui alors que je gardais la tête baissée. Je ne voulais pas paraître faible devant lui alors qu'il n'avait plus de parents du tout.
Il saisit mon menton et releva ma tête pour me regarder dans les yeux et me dit:
-Je suis sincèrement désolée Louise, je te comprend tu sais.
Et là, il me prit dans ses bras. Wait, WHAT ?!! oh mon dieu, il te fait un calin sale morue !!!!! tale gueule la conscience !!!
Je lui rendis son étreinte et pus sentir les muscles sous son t-shirt, GOSH !!
Soudain, je me souvins d'une question que je devais lui poser. Je sortis de son torse et retournais a ma préparation alors qu'il retournais a sa place.
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Insomniac.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant