Donc comme je vous le disais un peu plus tôt je retrouve ma bande de pote (pourris) devant mon lycée (pourris) avec des cours (pourris).
" Alors Kaïla toujours vierge ? Sa c'est la voix, insupportable, de Marine qui résonne dans mes oreilles, à mais je suis con vous ne pouvez pas l'entendre. En même temps avec ton corps on ce demande même pas pourquoi !
- Laisse la tranquille Marine ! Au moins elle, elle est encore désiré par beaucoup de mecs dans ce lycée, pour toi c'est déjà trop tard ils y sont tous déjà passés. Sa c'est Bastien, ce qu'on aurait pu encore, il y a encore quelque mois, appelé mon petit ami, bien avant que j'apprenne qu'il couchait avec tous ce qui bouge. Mais revenons à nos moutons. Alors bébé, ce soir chez moi, j'en peut plus d'attendre, je me veut en toi ! Vous savez le cliché comme quoi celui qui vous attendra sera le bon et bien prenez le au pied de la lettre. Déjà à l'autre bout de la cour Bastien est impulsif, et il s'en fout de faire du mal au gens. Mais pendant ce temps mon cerveau surchauffe, j'attends depuis pas mal de temps et je me dis que si il m'a attendu c'est peu être que je réfléchis trop. je vais donc en cour avec un problème en plus sur mes épaules. Les heures de la matinée passe et moi ma réflexion est à bout alors je me dis que je dois foncer . Je ne vous ai toujours pas dis comment j'ai fait pour m'attaché à de pareils monstres, et bien c'est aussi simple que l'esprit d'un nourrisson, je n'ai pas su voire plus loin que le bout de mon nez, ils m'ont aidé à mon arrivé et je n'ai pas cherché plus loin et oui moi aussi je peut être une vrai conne .
Durant cette matinée qui m'a paru si longue j'ai pris la décision de le tenter avec Bastien et puis avec un peu de chance je vais aimer. Il ne m'attends pas à la pause repas, je lui ai dit que je rentrer, que je n'étais pas bien, je veut lui faire la surprise. Je me dirige donc à la sonnerie à la cafétéria je m'assois a une table en attendant son arrivée. Et la vous vous dites cliché, il va arrivé au bras d'une pouffe et l'embrasser à pleine bouche et bien erreur c'est une bagarre qui éclat entre deux garçons d'a peu prés le même âge, je dirais, mais l'un semble plus en colère, il y a un blond et un brun, les personnes autour commence à s'attrouper, je prends mon plateau pour sortir de cette cafétéria maudite et retrouver Bastien, mais je me fais pousser de tout les cotés et renverse mon plateau. Je râle, mais ma tentative de pousser un coup de gueule est vite ralenti par l'arrivée brutal du blond sur moi, il est de dos, mais je n'ai le temps de rien faire que ma tête cogne violemment sur une table, je me retrouve à terre à demi-consciente.
"Putain, elle saigne ! "
" Appeler les pompiers ! "
"Elle respire !" Des bouts de phrases, des sanglots, c'est tout ce que j'entends avant de partir dans les bras de Morphée un monde qui semble si parfait, mais sa bien sur ce n'est qu'en apparence
Eclipse de 8 heures
Je clignent des yeux un nombre incalculable de fois avant de percevoir une lumière m'aveugler. Vous devez bien vous doutez de l'endroit d'où je suis après la chute que j'ai faite, évidement la chambre est immaculée d'un blanc qui me donne la nausée, et des bipes assourdissants résonne dans cette pièce qui donne le cafard. Je tente de me levé avec douceur, mais vous me connaissait avec douceur signifie tout le contraire. Je me lève donc rapidement quitte à me battre avec quelques vertiges par si, par là. Un bandage couvre mes cheveux bruns et une perfusion me coupe certainement la circulation de mon bras gauche, je déteste les hôpitaux, ces bâtiment tous sauf accueillant me donne qu'une seule envie, me barrer aussi vite que possible. J'arrache ma perfusion, retire le bandage et me met à la recherche de mes vêtements, mais malheureusement pour moi ma mère n'a pas du ce déplacer, comme à son habitude, je n'ai donc aucune affaire appart celle couvertes de sang, j'ai du énormément saigner. Bon mes vêtements sont bon à jeter je pense, mais à la maison, la je n'ai pas le choix je doit bien me changer, cette blouse affreuse n'est pas du tout pratique, pour draguer les beaux infirmiers, si ils y en as.
Les vertiges ne cessent pas, j'espère que l'air frais leurs feras cesser leurs caprices et disparaître. J'ôte le bandage et sort de la chambre, je regarde à droite, puis à gauche, vous voyez les films d'espions et bien là c'était plus une comédie, heureusement il n'y avait personne pour en rire. Je traverse les couloirs uns par uns en me faisant le plus discrète possible. J'arrive enfin à ma porte de sortit quand je remarque l'idiot qui m'a poussé, qui m'a valu mon putain de séjour dans cette hôpital, c'est un blond plutôt mignon, un visage assez fin, mais je peut aussi remarquer qu'il à la lèvre fendu ainsi que son arcade. Il à l'air dans ces pensées lorsque je me approche de lui .
" Eh monsieur le gaffeur ! Je m'assois à coté de lui tandis qu'il me regarde avec incompréhension. Et oui t'a pas encore réussi à me tuer! Je rigole en voyant sa qu'il ne paye pas de mine. Et c'est bon je suis pas morte regarde je vais bien .
- Mais j'ai failli te tuer, tu dois m'en vouloir, à mort . Il me regarde désespéré de me voire sourire de plus belle.
- T'en vouloir, mais je me suis taper des barres toutes seules dans ces couloirs à me croire dans un film d'espionnage, la seule chose pour laquelle je pourrait'en vouloir c'est que tu n'ai pas pu en profiter avec moi . Mon rire redouble d'intensité et il ce joint à moi. Il me sourit tendrement, que je lui rend bien. Avant de me rappeler que je suis légèrement en fuite.
- Bon ce n'est pas que a compagnie me déplaît mais je suis légèrement partit incognito pour quitté cette endroit qui me fil le cafard. Sur ce je me lève et repart dans mon sentier initiale.
- Attend ! Il me rejoint en courant, je ne doutait pas une seul seconde qu'il ferait . Tu veut pas que je te ramène je te le doit bien ...
- Avec plaisir ! Je lui fais un sourire sincère et on avance ensemble vers la sortit mais mes vertiges ne lâche pas l'affaire, la pièce commence à tourner trop violemment, je me raccroche au bras du beau blond donc je ne connait toujours pas le nom. Il m'attrape de façon à ce que mon regard croise le sien, je le vois bouger ses lèvres mais aucun sons ne parvient à mes oreilles. Je le sens me soutenir puis finir par me porter vous savez comme dans les clichés, en princesse. Moi je suis dans le monde des bisounours, j'ai envie de rire toute seule, de sauter partout, jusqu'à sombrer une nouvelle fois. Je déteste les mecs, je déteste les hôpitaux, je déteste ma vie ....
Je m'appelle Kaïla Park, et je déteste ma vie .....
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Je m'appelle Kaïla Park
Novela JuvenilBonjour à tous, je suis Kaïla Park, une fille ordinaire avec on doit ce l'avouer très mauvais gout en terme de mecs . J'ai des amis ordinaire et une vie, faut ce le dire, tous ce qu'il y a de plus ordinaire. Alors à ce moment là vous vous demandez...