TERMINATOR & DEPRESSIF

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Bref il était 5heure45 du matin quand l'alarme qui signalent une évasion sonna. Une bande d'abruti armées de la tête au pieds se précipitèrent vers les cellules sécurisées je fus envoyé avec cette bande d'abrutis. La source de cette alarme était la cellule 37, on en défonça la porte, au milieu d'elle, Dylan assis il releva la tête et dit:
« Ça gaz les poulains »
La plus part était dans la cellule ce qui me facilita clairement la tâche. Je sorti mon flingue de mon jean et je vida mon chargeur sur toute la bande d'abrutis. JE SUIS MEGA BADASS.
« Bon boulot Terminator » dit l'autre en se relevant
« Toi aussi le dépressif ! Maintenant si tu veux bien je veux pas mourir alors on se casse !! »
Il sorti et on commença a courir
« Dylan- Je pense qu'on devrait formé un couple !
Sorenza- Pardon!??
Dylan- Genre un duo de criminel je sais pas comment dire
Sorenza- Des partenaire du crime ?
Dylan- OUAIS !
Sorenza- Le joker et la Harley Quinn
Dylan- Grave ! T'es chaud!?
Sorenza- Certainement pas ! »
On s'arrêta net de parler quand on vit se qui arrivait vers nous. Apparemment l'alerte avait été lancer, j'étais pourtant sur d'avoir tout déconnecté.
« Ton job c'était pas de déconnecté cette foutu alarme » commença l'autre visiblement assez énervé de la surprise.
J'étais entrain de chercher une solution d'urgence à toute vitesse mais c'était comme si j'étais en surchauffe. Peut-être que le coter machine prenait le dessus sur moi. Je sentis que Dylan me prenait par la main et qu'il me tirais je le suivis jusque dans des labos.
« Dylan- Baisse toi ! Merde il t'arrive quoi la ? Pourquoi je me retrouve avec l'armure d'Iron Man vide.
Sorenza- Je crois que... je... j'ai peur!
Dylan- Tu te fou de ma gueule?
Sorenza- Non...
Dylan- Waah ... sérieusement ?
Sorenza- Pars ! Je te rejoint
Dylan- Si tu espères que je reste avec toi comme dans les films tu te trompe ... pas ! Tu peux marcher ?
Sorenza- *ne réponds pas*
Dylan- Sorenza ...?!
Sorenza- *se lève se déplace vers la porte en tremblant sort son flingue*
Dylan-Ok donc tu peux te lever
Sorenza- On y va!!! »
On avancé j'avais une grosse boule au ventre je me posais plein de question. J'avais créé un robot et je m'en était servi comme un esclave et là c'était moi ce robot esclave. Et j'essayais de me libéré d'une prison virtuelle. À tout moment Fury pourrait m'enlever le contrôle de mon propre corps. Quand soudain je vis la porte qui menait au hangars des avions. Notre sortie ! C'était bizarre pourquoi tout était aussi facile ... alors que l'alarme avait sonné »
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Bientôt la fin définitive de « pourquoi on m'oublie toujours ? » dans la prochaine partie.
Hâte de vous partager la fin des aventures de Sorenza je pense que vous allez être surprise ! A bientôt ...

Pourquoi on m'oublie toujours? {fini}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant