PAIX À NOTRE MONDE

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"Les meilleures choses ont une fin"...
Natasha Romanoff avait vu juste.
On voit la vie sous des angles plus positif, on se dit qu'on va pouvoir accéder au bonheur quand la porte se referme devant nous. C'est ce que j'ai ressenti ce matin quand mon père m'a avouer que mon passage à la maison n'était que temporaires et que les entraînement d'Iron Wonder ne servais qu'à m'occuper. Faut croire que le bricolage c'était mon truc mais pas le reste. Les joues encore humide, le coeur sec, j'avais pris le bus. Non pas pour aller à un point précis mais juste pour me vider la tête. Cela faisait une bonne demi-heure que le bus annonça "Harlem", mon ancien quartier, j'y descendis. Je marcha le regard perdu jusqu'à mon immeuble moisie qui je crois... me manquer. Je m'arreta et le fixa comme si je m'en voulais d'être parti et de l'avoir laissé tel qu'il l'était. Une larme s'échappa de mon visage et vint s'écraser sur ma joue.

《On est aussi pourri l'un que l'autre》 me murmure-je

Je baissa mon regard et vit un homme chauve entierement habillé de noir me fixait. Un frisson me traversa mais j'avais l'habitude de voir de droguais dans le coin alors j'entra dans l'immeuble le laissant derrière moi. Rien avait changé enfin peut-être était-il plus dégradé qu'avant. Arriver devant l'assenceur je souris et je reprensa à une fameuse boîte de chocolat et à un fameux dépressif....
Je gardais toujours la clef de mon ancien appartement sur moi peut-être par nostalgie du passé mais il faut croit que j'avais bien fait. L'appartement était exactement comme je l'avais laissé avec une couche de poussière biensure. Malgré tout je me laissa tomber sur mon lit et fixa le plafond.
Le calme, c'était comme si cet endroit était une zone de paix et de sécurité. Mais comme d'habitude dans ce genre de situation il est toujours là. Mon téléphone ce mis à vibrer "appel de Papa entrant". Je me leva, pris le téléphone ouvris la fenêtre en grand, jetta le téléphone, ferma la fenêtre et réparti d'où j'etais venu. Je repris m'a petite meditation.
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J'étais clairement entrain de m'endormir quand ça toqua. Je souris me rappelant ce que je devais faire... ignorer. Je ferma mes yeux et continua ce que j'avais commencer. Quand soudain un grand bruit qui fit trembler les murs retenti avant que je puisse faire la moindre tentative de fuite ou de defense. Le chauve de devant l'immeuble entra dans la pièce braquant un flingue sur moi.

《Tu dois être Sorenza? Moi c'est Victor! Le patron va être ravi de te voir》

Je vous ressitu un peu le contexte. Seul avec aucun muscle présent, 1m57, a moitié endormie, dans un appart pourri, sans arme et sans moyen d'appeler de l'aide car je le rappelle mon téléphone avait fait le grand saut face à un assassin professionnel:

《Sorenza- C'est pas très équitable tout ça !
Victor- Je suis d'accord mais mon boss voulait vraiment que t'es aucune chance de t'en sortir vivante. Parce'que si ce n'était que moi je t'aurais laissé un couteau voir ce que tu aurais tenter
Sorenza- Bon et bien alors ! Vas y te gêne pas
Victor- Non non non ... C'est pas moi qui vais te tuer... C'est le boss
Sorenza- Et c'est qui ton boss
Dylan-... moi》

Dylan entra dans la pièce le visage pâle et cerné il me sourit à la manière du joker et ce tapa voyant ma tête. On aurait dit un cadavre. Mon corp entier était comme paralyser ne sanchat pas quoi faire, que dire, que pensé...

Pourquoi on m'oublie toujours? {fini}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant