Une simple fille

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Episode 1 :

Moi, Sarah Lewis une simple fille de 25 ans. Je me retrouve seul à devoir travailler pour payer un loyer et à mangé à ma petite sur encore scolarisé et à mon père qui souffre d'une maladie respiratoire qui l'empêche de travailler.

Tout commence un mardi après-midi au alentours de 18h, je sort de l'institut de beauté où je travaille depuis maintenant 6 mois en tant que esthéticienne. Je marche vite car il fait très froid dehors. Lorsque une voiture roule lentement à côté de moi. Je me dit que c'est encore un de c'est gros lourd qui me suis juste pour me faire flipper, je suis habitué dans ce type de quartier. La voiture ne s'en va pas et continue de me suivre. Au bout de quelques minutes j'ose regarder le conducteur de la voiture.
C'est un homme à la trentaine avec une paire de lunette et des cheveux mi-long qui me regarde et me souris.

Homme: Heu excuse moi, tu ne sais pas où je pourrai trouvé Sarah Lewis par hasard ?

Moi: Pas du tout elle à déménagé la semaine dernière vous arrivez trop tard.

Je continue ma marche mais l'homme continue de me suivre et d'insister.

Homme: Tu est sure, car d'après mes récentes recherches elle habiterait dans ce quartier avec son père et sa sur, elle travaillerait dans un institut en ville et...

Je ne lui laisse pas le temps de finir et me précipite dans sa voiture pour m'asseoir sur le siège passager et le menacé avec un spray au poivre.

Moi: Alors toi tu vas bien m'écouté parce que je compte pas me répété, je ne sais pas qui tu est ni ce que tu me veut mais tu vas me lâcher espèce de psychopathe sinon dans à peine 10 secondes tu n'a plus d'il, est-ce que je me suis bien faite comprendre ?

Homme: Je ne suis pas un psychopathe, comme tu me décris. Je suis juste un homme qui vient te proposer un plan qui pourrais te permettre de sauver ton père et d'élever ta sur dans d'excellentes conditions. Sa t'intéresse ?

Moi: Dit toujours.

Homme: Si je te dit 1 milliard d'euros, sa te parle ?

Moi: Ouais c'est des chiffres quoi ?

Homme: Mais pas que, c'est une somme d'argent incroyable ! Mais diviser en 10 ce qui te ferait des centaines de millions d'euros pour toi seul. Assez pour soigner ton père et partir sur une île paradisiaque rien que vous trois ?

Moi: Et comment je me le procure cette argent ?

Homme: Excellente question, déjà peut tu ranger ce spray au poivre ?

Je regarde ma main et me rend compte que j'ai toujours le spray au poivre dans ma main. Je le range dans mon sac à main et regarde mon interlocuteur.

Homme: Ce serai mieux si l'on en parle dans un endroit plus approprié.

Moi: T'es quoi un tueur, un violeur, un psychopathe ?

Homme: Rien de tout ça, est ce que j'ai une tête de violeur ou quelques choses d'autre ?

Moi: C'est bien une phrase de violeur ça.

Homme: Bon ferme la portière et maintenant appelle moi Professeur. Je vais t'emmener dans un bar du centre ville pour être plus au calme.

Je suivie l'homme ou plutôt « El Professor »  il m'emmena dans un bar de Madrid. Il n'y a presque personne. Nous nous installons à une table proche de l'entrée. Un silence pesant s'installe, je décide de prendre la parole.

Moi: Bon tu compte parler de la pluie et du beau temps où tu me dit comment obtenir ces putain de millions ?

Professeur: Hé bien, j'aimerais t'engager pour faire un braquage.

Moi: C'est une blague ?

Professeur: Pas du tout, et on y gagnera tous les deux.

Moi: Et qu'est que l'on va gagné ?

Professeur: Toi plusieurs millions d'euros et moi avoir une personne compétente pour réalisé cette tâche.

Moi: Et pourquoi moi ?

Professeur: De quoi ?

Moi: Pourquoi m'avoir choisi parce que je me doute que vous ne m'avez pas choisi pour ma manière d'épiler les jambes ou faire des massages !

Professeur: Si je t'ai choisi c'est pour ton intelligence.

Moi: Arrêtez de parler de ce que je n'ai pas.

Professeur: Ne te sous estime pas, chaque humain à une grande capacité intellectuel, après chacun est libre de l'utiliser.

Moi: Et il ce passe où ce braquage ?

Professeur: A la fabrique national de la monnaie et du timbre.

Moi: QUOI ? Mais ça va pas bien dans ta tête ?

Professeur: Pas si fort ! Et ne t'en fait pas, j'ai tout préparé et tout pensé dans les moindres détails. Ce que je voudrais savoir c'est est-ce que tu acceptes ce braquage ?

Moi: Non.

Professeur: Tu en est sure, imagine tout ce que tu pourrais faire de cette argent.

Moi: Mais je ne peut pas faire sa, et si le plan échoue ? J'ai pas envie de finir en tôle !

Professeur: Mais il n'échouera pas, avec tout cette argent tu pourrais guérir ton père. Lui acheter des médicaments de meilleure qualité, lui payer une opération hors de prix pour qu'il continue à vivre librement ! Mettre ta sur dans une école privée, lui acheter ses fournitures scolaires sans avoir peur d'être à découvert à la fin du mois. Réfléchis bien car cette occasion ne ce représentera jamais dans ta vie.

Moi: Je ne sais pas...

Professeur: Et qu'est-ce que tu as à perdre ?

Cette phrase fit comme un électrochoc dans ma tête. C'est vrai sa qu'est que j'ai à perdre ? Ma tête me dit de me barré en courant mais mon cur me dit d'accepter pour ma famille. C'est vrai que si je refusai je me sentirai égoïste et peut-être que je m'en voudrai toutes ma vie. Alors sans réfléchir je dit:

Moi: C'est d'accord.

Professeur: Pardon ?

Moi: C'est ok je participe à ce braquage.

Professeur: D'accord mais avant il faut que je te prévienne, il faudra mettre un peu plus de 5 mois de ta vie entre parenthèses. C'est-à-dire que je vais t'apprendre tous ce qu'il y a à savoir sur un braquage réussi. Il faudra que tu démissionne et que tu parte vivre dans une maison à Tolède.

Moi: Mais comment est-ce que je fais faire pour nourrir ma famille ?

Professeur: J'y est déjà réfléchi. Ce que je te propose est de t'avancer 5000 pour que ton père et ta sur puisse subvenir à leurs besoins, je t'enverrai l'argent par la poste d'ici un à deux jours. Bien sûr tu devra mentir à ta famille et ne jamais révéler notre plan à quiconque. C'est d'accord ?

Moi: Ok, quand est-ce qu'on commence ?

Professeur: Samedi. Je passerai te chercher devant ce café à midi. Et pour l'argent pas besoins de me rembourser. Alors à samedi.

Le professeur s'en va me laissant là seul à me poser milles questions et à me dire une chose: Sarah, tu à sûrement fait la plus grosse connerie de ta toute ta vie.

C'est à ce moment précis que j'ai su que je ne serais jamais plus une fille simple...

Une simple fille dans un braquage Où les histoires vivent. Découvrez maintenant