CHAPITRE II : La lettre

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HAMILCAR BARCA et AUGUSTUS SALONE SERTOR non plus que deux pleines lunes pour comprendre pourquoi le caporale romain JULIUS JUNOS CAESAR est réapparue mort dans les bras d'un barbare qui répéter sans cesse « Pardonne moi Odin ». Ou est-ce l'inverse ? HAMILCAR BARCA décida de commencer son enquête par la lettre au vin, plus précisément un rouleau expliquant certainement pourquoi est-il mort. Il prit le rouleau et lit à voix haute...
« Je vous écris cette lettre par laquelle vous saurez comment j'ai trouvé au Cireo une zone de bout de terre et de mer isolé, infertile par une montagne crachant de la cendre en continue, tous les milles pieds on peut apercevoir un campement si on à de la chance. J'en est donc conclue que j'étais au Cartère, personne étant en vie, du moins à ma connaissance, n'était aller dans cet endroit lugubre ressemblant à l'enfer, même Hadès ne pourrait supporter cet endroit par l'oppression et l'obnubilation qu'elle apporte. J'ai aperçu tout au loin une pyramide à degré comme on peut en voir plus généralement au Passabare et il y avait un grand écriteau en marbre délabré qui penchait sur le côté envahie par un mélange d'ossement et de cendre et dessus il y avait de marquer                    « GRIVUG ». Je suis entrée dans ce temple traversant de longs couloir qui allait de gauche à droite, montant et  descendant les escaliers jusqu'à me trouver devant une grande porte mesurant 6 mètres de hauteur et 4 mètres  de largeur étant fait d'obsidienne une roche nouvel que l'on peut trouver sur certaine montagnes qui résiste à tout type de force mais pour la modeler aussi soigneusement et précisément sa relève de l'impossible rien que pour la sortir des montagnes celas prend  des siècles d'extractions de roches. Sûr la porte il y avait Cinq têtes d'animaux que je ne pourrai identifier, avec la gueule ouverte comme si elle attendait que l'on lui mais une énergie très puissante dedans pour ouvrir les portes du tartare du moins il me semble sinon qu'est-ce que cela pourrait bien être un champ d'herbe prêt à accueillir le bétail Non je ni crois pas sachant que l'endroit est perturbant soucoucher d'un bruit assourdissant faisant « click clock, click clock, click clock... » . On dirait que quelqu'un ou quelque chose serait en train de fracasser deux planche de bois entre elles mais avec une sonorité beaucoup plus poussé qui sortait un écho dans la pièce. Se bruit était tellement assourdissant que j'en perdit presque mais tempes, alors j'ai fais le chemin inverse j'ai couru de toute mais force jusqu'à ce que je comprenne que les mûres, les escaliers, le sol n'était pas les mêmes, ils changeais de place à chaque fois que je reviens en arrière. Et à ce moment là j'ai cru que c'était la fin de mon temps, la fin d'un générale qui à conçu énormément de territoires, qui a massacré des armé entière à moi tout seul mais même pas foutu de sortir de cet endroit du diable et bien si c'est ça le paradi pour les gens bien comme moi et bien je pisse à la gueule de tous les dieux du N... YAAH !! De l'Olympe mais couilles oui. Bon après avoir longuement réfléchi je décida de continuer à trouver une foutu d'issu et la c'est pas le ciel qui me tombe sur la tête mais le sol qui s'est effondré sur lui-même alors je suis tomber dans une fosse sur des centaines de millier de cadavre dont l'un qui était encore en vie et qui crevait de soif alors je lui est offert un peu de mon eau pour lui offrir de mes soins, ensuite on a longuement cherché une sorti que l'on trouve dans les latrines pour morts. Une fois à l'aire libre nous avons marché jusqu'à apercevoir un campement, nous nous sommes changer puis nous avions repris route. Après plusieurs jours de marche nous avions atteint la mère et dessus une barque qui nous attendait, nous nous sommes empressés de monter dessus pour rejoindre la terre ferme, fertile, avec d'autres personnes dessus. Mais la nuit tombait et tout le monde sait que « La nuit est sombre et pleine de terreure. »
Après avoir lue la lettre HAMILCAR BARCA décida d'examiner de plus près cette lettre pour obtenir de plus petit des indices qui pourrait lui servir car cette lettre pourrait démontrer avec facilité que le barbare est coupable du crime de JULIUS JUNOS CAESAR mais ce n'est pas encore perdu il reste le corps en putréfaction et l'interrogatoire.

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