À l'aube de l'automne,
Emprisonnés de ce sentiment monotone,
Nous espérions des jours plus gais,
Ceux de nos balades d'été.
Jusqu'au coucher du soleil,
Nous contemplons le Ciel,
Ses étoiles, ses galaxies, ses merveilles,
Si petites mais à la fois si belles.
Dans cette immensité,
Perdu et désorienté, l'Homme s'y plait,
Renouant les liens de son passé ,
Si pesant et douloureux à porter.
Par les merveilles de ces soirs d'été,
Il retrouve ce sentiment d'automne,
Dont il cherche pourtant à s'éloigner.
