12 septembre 2019, quelques secondes après l'apocalypse
Tous n'était que poussière, après des chaleurs extrême, l'air avait retrouvé son froid habituelle. Sur le sol il n'y avait que débris d'immeubles même si certains étaient encore debout. Malgré tout ça certains personnes se relevaient bien amoché, le sol était couvert de corps la plupart morts. Pour échapper à cette vision d'horreur, je releva les yeux mais le ciel n'était pas plus rassurant il était enveloppé d'un nuage noir inconnu plongeant la ville dans une nuit artificielle mais très clair, assez pour voir. Tout d'un coup je me mais à crier de douleur : c'était comme si on me brûlait de l'intérieur, ça venait de mes poumons mais je n'étais pas la seule à souffrir les gens encore en vie se mettait à crier. L'air était pourri.
Et puis ça c'est arrêter pour de bon, tous le monde c'est mis à se lever disant que les secoure arrivaient et qu'il ne fallait pas s'inquiéter. Je dirais qu'il s'essayer surtout de s'en persuader et puis quelqu'un a dit tout au se qu'on pensait tout bas : "Vous croyez vraiment qu'on va nous aider ?! Si l'air est dangereux personne ne voudra s'en approcher, il vont nous laisser crever.'' Il avait raison tout était perdu mais certains voulait nous motiver : ''ne perdons pas espoir, on devrait s'organiser : un groupe va s'occuper de réunir des provisions, un autre groupe sera chargé de retrouver des gens et le dernier groupe devra nous trouver de quoi nous abriter. Cela vous va ?!''
Il y eu des cris et des encouragements mais la plus part se contentaient de hocher la tête. La personne qui venait de parler était un homme d'une vingtaine d'années pas très musclé mais plutôt grand en taille, il s'appelait Alain.Au bout de quelques minutes les groupes était fait : j'étais dans celui qui devait trouver de la nourriture avec 3 enfants à gérer, j'ai entendu des adultes dire qu'il avait mis les enfants dans le groupe des provisions. Apparemment c'était pour les occuper et pour qu'il ne voient pas les horreurs mais pour moi ils en avait assez vu. Avec chaque groupe d'enfants, il y avait un ados ou un adulte pour les surveiller ( j'ai 14 ans ), donc je suis parti avec mon groupe vers les restes d'une supérette a moitié debout je devais gérer : Hugo 8ans, Emma 5ans, Lili 7ans. Je crois que Lili et Emma sont soeurs.
12 septembre 2019, 3 heures après l'apocalypse
Ça fait plusieurs heures qu'on est ici à chercher entre les décombres et on a rempli seulement la moitié de notre sacs, de plus les petits ne me rendent pas la tâche facile : Hugo n'aime pas travailler, il préfère courir dans tous les sens et prétendre être le chef ; Emma n'arrête pas de me suivre, en soit ça ne me dérange pas elle est petite mais elle me parle tout le temps de sa mère et me demande s'ils vont la retrouver ; Lili, eh bien elle est calme et sage en faite je ne suis même pas sur d'avoir déjà entendu sa voix. Comme vous l'aurez compris je n'ai pas l'instinct maternel. J'attends juste avec impatience qu'on nous demande de rentrer : les adultes ont trouvé une machine de chantier qui produit un bruit strident et ils compte s'en servir pour nous rappeler.
Eh dire que la journée vient de juste de commencer.
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Sans destin
General FictionDans un monde apocalyptique, ou tout a changé du jour au lendemain, ou terreur et souffrance sont les mots clés. Dans un monde sans destin, peut-on, ou plutôt, veut-on réellement survivre