Des stars de frères

New-York

Un beau matin, alors que mon père adoptif était sencé être parti au travail. En sortant de notre maison de New-York, quelque chose avait changé. Tout se trouvait à sa place, mais il y avait quelque chose qui n'allait pas. Essayant d'oublier mon présentimment, je parti prendre le bus qui m'amènerait au lycée. En sortant des cours je me sentait un peu plus seraine, mais je n'aurait pas dû.

Mon père était là avec de nombreuses stars autour de lui. Je ne comprenait pas ce qu'il se passait, et en plus tout le monde admirait les magnifiques jeunes hommes qui se trouvait devant le portail. Quand soudain mon père s'avança et me pris dans ses bras. Il m'a chuchoté tout doucement," je te présente tes frères Mika. Ce sont tous mes fils de l'aîné au plus jeune. Et ils ont tous juré de veiller sur toi à ma place."
-À ta place? Je ne comprends pas!

En évitant délibérément ma question il continua" Tu dois grandir et fermer la blessure qui est toujours dans ton coeur. Si tu reste avec moi, tu ne pourras pas l'oublier. Car c'est de ma faute si tu es seule aujourd'hui. C'est moi qui ait mal fait mon travail et ait causé la mort de tes parents."
J'essayais de lui dire en sanglots:
- Ce n'est pas vrai, ce n'est pas ta faute, tu ne pouvais rien y faire et en plus après cet accident tu as veiller sur moi comme si j'était ta propre fille. J'ai déjà été abandonnée une fois et je ne veux pas que ça se reproduise. Tu me l'avais juré ce jour là.Tu m'avais promis de rester avec moi toute une vie et finalement tu m'abandonne parce que tu crois qu'à cause de toi je ne pourrais oublier la mort de mes parents? En fait tu es comme tout les autres, tu n'était qu'un vautours parmi tant d'autres qui voulait simplement savoir ce qu'allait devenir la famille Mimoku n'est-ce pas?

Avant même qu'il ait eut le temps de répondre, je me suis sortie de son étreinte et je me suis enfuie. La vérité est que je ne voulais pas savoir ce qu''il allait répondre. Alors j'ai continué à courir toujours plus loin sans m'arrêté. J'avais peur qu'il me ratrape ou qu'il envoie quelqu'un me chercher.

Mon père adoptif est en fait un manager de grande star et un puissant homme d'affaire. Ses fils sont devenu particulièrement connu grâce à lui. On dit que les fils Asahani sont des vrais prodiges. Alors je me doutais bien que ces garçons avec une renommée interplanétaire ne viendraient pas sans escorte, et je ne m'était pas trompée.

Je suis passée devant la maison et il y avait plusieurs dizaine d'agents et de garde du corps qui surveillait les entrées de la maison et toutes les fenêtres. Pour être franche, même si j'habite en cette maison, je ne me sentait plus chez moi. Cela m'a rappelé des souvenirs douloureux.

Quand j'était petite, des journalistes et des paparazzi n'arretaient pas de me suivre partout alors que je n'était qu'une enfant qui avait perdu ces parents. C'est donc pour me protéger d'eux que j'avais toujours au moins quatre gardes du corps qui me suivaient partout. Mais un jour, j'ai dis STOP. Que me fasse harcellée tant pis, que je sois une proie facile, pas grave et surtout que je sois la première Mimoku sans garde personnelle je m'enfichait.

J'était plus heureuse sans ces hommes habillés en noir. Alors quand j'ai regardé cette maison, qui était la mienne autrefois, j'ai pour la première fois depuis que j'aie été adoptée par les Asahani ressenti le sentiment de me retrouver de nouveau emprisonnée dans une maison dorée.

Mais cette fois, j'avais le choix. Le choix de rester dans un lieu qui m'oppresse plus qu'il ne m'appaise ou alors, le choix de partir découvrir le monde et l'univers que mes parents ont construit.
J'avais pris ma décision et pourtant je n'arrivait pas à lâcher la maison du regard. Elle qui m'a vue grandir, elle qui m'a vue sourir et elle qui m'a vue pleurer. Même si je voulais en savoir plus sur mes parents, mon corps refusait de s'en aller. Tout ce qu'il voulait, c'était rentrer dans cette maison qui est la sienne.

Alors je me suis avancée dans l'allée de ma demeure et j'ai commencé à appréhender la réaction de mon père. Lui qui m'a toujours protégée. Plus j'avançais, plus je me demandais si les hommes en noir n'allaient pas m'arrêter et me demander de partir. Mais au final, ce fut tout le contraire, en arrivant devant la porte de la maison, ils me laissèrent passer et me saluèrent.

C'était le moment, j'avais ma main posée sur la poignée de la porte et il fallait que je l'ouvre, il fallait que j'ouvre cette porte. Quand soudain, la porte s'ouvrit sans que je ne presse sur la poignée. Alors je me suis appuyée contre l'autre façade pour me cacher. Et en même temps je fis signe au hommes en noir de ne dire à personne que j'était ici.

Et soudainement quelqu'un sortit de la maison alors qu'il faisait déjà nuit.
-Père, il faut que nous allions la chercher. Il fait déjà nuit noir et se promener seule dans New-York à cette heure pour une demoiselle est plus que dangereux. S'il lui arrivait quelque chose je suis sûre que vous vous en voudriez toute votre vie.

-Tu as beau être encore jeune tu sais déjà beaucoup de chose. Mais elle est partie et ne reviendra sûrement pas, il n'y a plus rien qui la retient ici.

-Tu te trompe papa, il y a encore une chose qui me retient ici. Cette chose est le genre de personne qu'on ne peut pas oublier même si on le désir du plus profond de notre coeur. Plus personne n'est lié à mon passé appart toi. Tu es la seule personne qui a vraiment connu mon père et ma mère. Tu es la seule personne qui puisse encore me parler de leur vraie nature. Alors ne dus pas que plus rien ne me retient chez toi. C'est pour ça que je ne voulais pas que tu partes. Mes parents ont été assassinés mais ce n'est pas de ta faute au contraire. Il y a quelque jours, j'ai trouvé une lettre dans les affaires de ma mère elle t'est adressée, mais je pense que tu ne l'a jamais lue. Elle disait :

Le jour viendra où Mika se rebellera et ne m'écoutera plus. Alors je t'écris cette lettre pour te demander un service, quand je ne serait plus là pour écouter Mika ou que Mika ne pourra plus m'écouter je t'en supplie protège la pour moi et en notre nom. Celui des Mimoku!!!
- Alors papa, dis moi veux-tu toujours partir?

- Tu sais très bien que j'ai juré fidélité à ta famille jusqu'à ma mort. Mais c'est justement dans ce but que je dois te laisser entre les mains de mes garçons. Ils l'ont peut-être retrouvé et je ne peux pas t'emmener avec moi ce serait trop dangereux pour toi. Tu comprends n'est-ce pas?

-Père ne serait-il pas temps de faire les présentation?

- Si sûrement alors rentrons.

Tout les jeunes hommes assis sur le canapé et dans la cuisine regarderont la porte s'ouvrir en espérant voir entrer leur magnifique petite soeur. Et apparemment ils n'ont pas été déçu. Et peut de temps après avoir eut un grand silence, Papa prit la parole.

"Je te présente mes fils Mika, en tout premier, l'aîné Kaname, ensuite le second Zéro, le troisième Takuma, les triplés Isuki, Natsume et Kiyoshi, le septième Takao, le huitième Akashi, le neuvième Kise, le dixième Luxus, le onzième Tsubaki, le douzième Lucas, le treizième Aomine et le quatorzième Mickael. Aomine et Kise sont jumeaux et tu as le même âge que Luxus".

Après que mon père ait fini de parler, Mackael s'avança vers moi et me dit:
- Tu sais grande soeur, Père nous a beaucoup parler de toi. Et il m'a aussi dit qu'il avait choisi mon prénom pour te faire honneur, il m'a dit qu'il voulait que je devienne aussi beau que toi tu es belle. Et il pensait qu'en me donnant un prénom qui ressemble au tien je deviendrait plus beau.

Et pendant qu'il parlait, Kaname s'était rapproché de moi et me prit la main. "Tu es vraiment magnifique Mika".

Apparemment aucun d'entre eux ne connaissait mon histoire et cela m'arrangeait bien. Je ne voulais pas qu'ils sachent que j'étais la survivante du massacre des Mimoku.

Notre maison étant bien assez grande, ils sont tous resté à New-York quelque jours.