Be strong (STRONG #1)

chapitre 18

" je sais que tu me veux je le sans je le vois " dis juste entre mes lévres

elle dis vrai je mort d'envie jr la prendre contre moi et l'embrasse je veux sentir sa peau contre la mienne je la veux c'est evident mais jamais je la toucherais dans cette état

" dis-moi que j'ai tort et je te donne la bouteille " dit--elle avec une voix douce , je fais un pas arrière

" tu sais ce quoi ton probleme do'brien tu as des couille mais t'es un lâche " dit-elle sans fort , puis elle laisse tombe la bouteille par terre

" oups " dit-elle et ris

puis elle avance vers moi et coomence a me donne des coup sur le tors , je ne l'arrête pas

" pourquoi tu as fais ça " dit-elle en pleurant

" fais quoi " dis-je en font de moi je sais de quoi elle parle .....

" pourquoi tu ma laisse seule ' demande-t-elle en larmes

" répond pourquoi " crit-elle plus fort cette fois et continu a me donne des coup je laisse faire

" abby " dis-je enfin

" tu sais ce que j'ai ressenti quand je me suis retrouve seule 'dans un lit vide personne à côte de moi ' crit-elle aprés moi

" je pouvais pas rester " dis-je

" pourquoi " dit-elle en me regardant dans les yeux

" pas aprés ce que j'ai fais " répond-je

" est-ce que tu as fais " me demande-t-elle

" je ne mérite pas quelqu'un comme toi " dis-je puis je met sa main sur sa joue puis ajout-je " j'aurais pas du rester "

" pourqoui tu dis ça ?? c'est moi qui tes demande de rester , je les fais parce que je voulais que tu rester , je m'en fiche que tu sois bon ou mauvais que tu le mérite ou pas , tout ce que je voulais c'est que tu soit la " dis-elle puis elle fermé les yeux

" je voulais juste que tu soit la " répete-t-elle encore et encore

je la prend par les épaule et la tire vers moi tout contre moi puis je la serre fort contre moi , je viens de comprendre ce que j'ai fais j'aurais du rester prés d'elle , mais qaund je me suis révéille et j'ai abby j'ai eu peur , je pouvais même âs le regarde tellement je me sent mal d'avoir fais ça en n'est ton saoul , j'avais honte de moi alors j'ai décide de partir pour évite ce qu"il se passe aprés mais maintenant je regrette d'avoir fais ça ...je regrette , aprés quelque minutes abby se calme elle me lâche

puis elle avance vers les escaliers et s'assoit elle me ses deux mains sur son visage

" pourquoi je suis tombe sur un garçon comme toi " dit-elle

" je sais pas " je retouve enfin les mot

" il a fallu que je tombe sur un con comme toi " dit-elle puis elle se remet a pleurais , je m'approche d'elle et m'assois à côte d'elle sans rien dire

" je veux rentre chez moi " dit-elle

" je te raccompagne " dis-je , elle ouche la tête

" non , je parle de mon vrai chez moi " dit-elle , elle veux dire quoi par son vrai chez-elle ??

" c'est comment ton vrai chez toi " dis-je , mais si je crois que c'est pas le bon moment

" c'est génale " me répond-t-elle , elle pose sa tête sur mon épaule je crois que c'est a cause de l'aclool qu'elle se comporte comme ça , je crois même qu'elle sais pas ce qu'elle fais ....

" OUi " dis-je

" Mouais " dit-elle

" parle-moi un peu de chez toi " dis-je

" la bas c'est simple les gens se complique pas la vie il se prend pas la tête il se contente de vivre , c'est pas comme ici vous étes tellement compliqué que parfois j'arrive plus ç vous suivre " dit-elle ou bout du souffle

" ça a l'air ennuyant chez toi " dis-je

" c'est vrai mais en mois je sais à quoi m'attendre " dit-elle

" pas comme ici " dis-je

" toi le prémis un jour tu es méchant avec moi que j'ai l"impression que tu me déteste et de l'autre tu es si gentil avec moi que j'ai l'impression que je compte pour toi , que alors c'est pas le cas " dit-elle

" mais tu compte pour moi abby " dis-je

" non c'est pas vrai , si je compte pour toi tu arrêteras de jouer avec moi " dit-elle

" je ne jouer pas avec toi " dis-je

" alors tu fais quoi" me demande-t-elle

" je sais pas abby " dis-je

je ne sais pas ce que je fais avec elle , mais un chose set sure je ne peu pas continue comme ça à lui faire du mal , elle ne mérite pas ça

" qu'est-ce que en vais faire ??" me demande-t-elle toujours en larmes

" je sais pas abby " répond-je , j'ai l"impression que c'est tout ce que je sais dire

" je ne peux plus continue commer ça " dit-elle avec un voix basse puis aucun de nous parle

je veux pas qu'elle m'échappe des mains je veux pas la perdre mais je ne sais pas ce que je dois faire , je ne suis pas prêt pour une relations ....

quand je me tourner vers elle pour la regarde elle étais entrain de dormir sur mon épaule ,je décide de la porte jusqu'à ma chambre qaund je la pose sur le lit elle ouvre les yeux

" J'abandonne " dit-elle

" qu'est-ce que tu veux dire par là " dis-je

" le but du jeu était de faire le plus de mal l'autre...J'abandonne tu as gagné " dit-elle sans fort sans me regarde

" abby " dis-je , ses mots mon fais du mal c'est bien connu le mal vient de nulle part, il peut frapper n'importe qui, pour ça nous sommes tous égaux, aussi fragiles les uns que les autres : un jour nous sommes heureux, le lendemain notre vie vole en éclats. On avait pourtant vu les autres tomber autour de soi mais on se croyait épargné, protégé, jusqu'au jour où c'est notre tour: le sol soudain s'effondre. C'est alors qu'on comprend : on est aussi vulnérable, aussi éphémère que les autres. Notre vie n'a pas davantage de valeur.

" je ne t'attendrai pas , tu m'as prouvé que tu ne me mérites pas et c'est une bonne rasion pour passe à autre chose " dit-elle une larmes coule

" je te déteste " dit-elle et tourer de l'autre côte du lit

" je me déteste aussi " dis-je et passe mes mains sur mon visage puis je me leve du lit j'aller partir mais une main me retiens

je me sans mal donc je décide dormir je la rejoint dans le lit puis m'allonge à côte d'elle , je m"approche encore plus de elle , abby se laisse faire sans rien dire nous somme prace que coules , je sais pas quoi faire de mes mains , aprés un second abby prend ma main et l'enveloppe autour de sa taille je pose ma tête sur son épaule ,je sens son odeur , Et alors il s'est passé quelques choses, je me suis laissé aller, dans un total oubli de moi même envahi par la nuit le silence et la plénitude. J'avais trouvé la liberté.