Chapitre 6

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Paris...Capitale de la France, Ville de l'Amour, Siège mondial de la gastronomie...

24 décembre, c'est la veille de noël et un jeune homme venait d'atterir à l'aéroport Roissy Charle de Gaulle. Un jeune Japonais, grand il avait les cheveux indigo avec des yeux de la même couleur. Très bien habillée, de façon très sophistiqué Tsukiyama Nakiri venais d'atterrir à Paris la ville lumière. Sa grosse valise rouge a la main il attendait son chauffeur. Il scruttait le parking lorsqu'il vit une femme sortant d'une limousine. Une jeune femme de taille moyenne à la taille fine et au forme génereuse, elle avait de long cheveux châtain qui descend jusqu'au reins, avac de magnifique yeux vert cacher par des lunettes de soleil de marque et sa peau était claire. Elle portait des escarpins qui mettaient ses jambes en valeur, elle avait un jean slim taille haute et un chemisier blanc qui faisait ressortir sa poitrine génereuse. Emmanuelle Bourgeois responsable adjointe de l'Antique et meilleure amie de Tsukiyama fit de grand signe au Japonais :

- Tsukiyama toujours aussi élégant . Flatta la jeune femme.

Le jeune garçon s'approcha de la jeune femme et la salua en lui embrassant la main, il la regarda avec un grand sourire, il se dirgea vers le coffre de la voiture de luxe. Le chauffeur qui était sortie de la voiture salua le Nakiri en faisant une révérence. Il prit la valise de Tsukiyama pour la deposer dans le coffre. Les deux précieux s'installèrent et le chauffeur repris sa place :

- A l'Antique s'il vous plaît !

- Bien Madame ! et le chauffeur  démarra le véhicule, assis à l'arrière une coupe de champagne à la main Tsukiyama et son ami le siroter tout en discutant .

- Alors Tsukiyama ! demanda la jeune femme. Pourquoi viens-tu te perdre à Paris tu ne devrais pas être au Japon pour les réunions de famille tu n'as donc pas confiance en moi pour venir voir l'état de ton précieux restaurant ?

- Ma chère Manu bien sûr que si j'ai confiance en toi mais je devais m'assurer de quelque chose comme tu le dis ma réunion de famille à bientôt lieu et je voudrais bien prendre contact avec un proche de mon cher petit frère !

- Tu es le diable Tsukiyama sache-le c'est pour ça que j'adore autant travailler avec toi. La jeune femme apporta son verre à sa bouche pour boire la délicieuse boisson. Puis-je t'aider en quelque chose ?

- Avec plaisir, est-ce que tu pourrais me trouver un français du nom de Paul Wayans ?

- Pourquoi t'intéresse tu à ce jeune homme ?

- Comme je dis souvent l'amour ça fait mal on ne l'oublie pas surtout le premier et quand il refait surface il peut te briser ! Le jeune homme afficha un rictus machiavelique avant de continuer. Cette réunion de famille m'excite au plus haut point !

La jeune femme ne rétorqua pas et observa la route parisienne son verre à la main. Le reste du trajet se passa en silence, le gourmet endormi a cause du jet lag. Elle sorti son téléphone et commenca à faire des recherches sur ce Paul Wayans. Elle faisait defiler son fil d'actualité avec ses doigts parfaitement manicurer. Après avoir trouver elle ouvrit de grand elle tapa le numéro de la chef cuisinière sur son teléphone, l'apppareil bipa trois fois avant quand la personne à l'autre bout du fil réponde :

- Emmanuelle ?

- Bonjour, Makenzie es ce que tu pourrais nous rejoindre à l'Antique s'il te plaît ! Je sais que c'est Noël mais le patron est parmis nous il va avoir un invité très important...je suis désolée de te faire travailler un soir de fête...

La jeune femme repondit simplement et gentiment :

- Ne vous inquiétez pas, je suis déjà à l'Antique, je voulais vous preveni mais j'ai pas eu l'occasion. Je me permets d'utiliser la cuisine du restaurant pour faire à manger aux personnes les plus démunies j'espère que cela ne vous dérange pas vous pouvez le retirer de ma paye !

La jeune bourgeois un moment d'absence elle prit ensuite une grande inspiration passer sa main dans ses cheveux avant de répondre avec douceur :

- Mackenzie c'est Noël tout le monde a le droit à un bon repas , je ne t'en veux pas et je ne retirerais rien de ta paye tu es la meilleure cuisinière de Paris après Tsukiyama bien sûr mais la prochaine fois essaie de forcer pour venir communiquer avec moi je suis tout le temps dans les papiers ou quand je suis pas dans les papiers je suis au téléphone ou en rendez-vous n'hésite pas à entrer dans mon bureau pour me faire des demandes comme ça !

- Merci Mademoiselle Bourgeois !

Elle raccrocha , elle lança un regard à son chef qui venait d'ouvrir les yeux il a regardé avec bienveillance et il a entendu la conversation il la félicita dans sourire. On pouvait dire ce qu'on voulait de Tsukiyama quand il s'agissait de nourrir autrui le plus démunis il était le premier à courir en cuisine pour leur faire des mets des plus raffinées. Il aimait les gens seul son frère lui donner un sentiment d'énervement complet .
Après une bonne heure de route Tsukiyama et Emmanuel arrivèrent enfin à l'Antique un bâtiment en bois à la devanture traditionnelle japonaise quand on est entré on pouvait voir des mur décoré de blanc et de rouge des tables rondes parfaitement alignées des couverts scintillant des verres étincelant une propreté immaculée dans ce lieu de Paradis qu'était l'Antique . Le jeune homme et son ami sortir de la limousine et se dirigèrent vers la porte tandis que le chauffeur déchargeait les valises ils furent  accueilli par Mackenzie Wayans une jeune femme américaine expatrié en France depuis quelques temps de maintenant grande blonde aux yeux gris magnifique, elle portakt la tenue officielle du cuisinier un tablier blanc une toque blanche les cheveux attachés elle salua son patron les joues légèrement rouge impressionné par la prestance du jeune homme ;

- Bonsoir monsieur je suis ravie de vous revoir avez-vous fait bon voyage ?

- Oui, très bien merci Makenzie ! repondis Tsukiyama. Hâte de voir l'étendu de ta cuisine. Après les festivité j'aurais un service à te demander !

- Tout ce qu'il vous plaira monsieur Nakiri !

Et c'est le sourire au lèvre que Tsukiyama se dirigea vers son bureau pour se retrouver seul avec lui même comme il aimait le dire. Le bureau du gourmet était grand, sombre, lugubre et les couleurs dominante étaient le marron des meubles en bois de chêne et le rouge des tapis, des rideaux en soie et le velours de son siège du bureau. Il enclencha son tourne disque et passa en boucle la Danse Macabre une composition du violoniste anglais Sebastian Michaelis. Et c'est sur ce rythme endiablé qu'il fut prit d'une crise de folie et il se mit à rire à gorge déployé . Une fois à moitié calmer il sortie un couteau et le lança sur un jeu de fléchette avec pour cible la photo de Maxence.

- Maxance Nakiri, tu te crois supérieur ? Tu t'es attirée les faveurs de notre oncle et bien crois moi, la vengeance et un plat qui se mange froid, tu as osé critiquer ma cuisine devant lui...Et bien je vais te faire comprendre qui je suis réellement ! Tsukiyama Shû Nakiri alias " Le Gourmet" ! puis après son mini monologue il le termina avec ses mots les mains croisées et le regard glacial. Et le plus jouissif dans cette histoire c'est que je n'aurai même pas à me salir les mains !

A suivre...

Food Wars : The TwinsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant