Chapitre 13 : Rêve de princesse.

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Elle

Cette nuit je rêvais, depuis deux semaine que j'étais ici, ce fut le premier rêve, même si cela ressemblaient plus à un souvenir, soit d'une ancienne vie, soit de ma jeunesse, dont a cause du traumatisme crânien que j'avais eu, n'avait que très peu de souvenir. Et pourtant cette nuit la, je revis cette petite fille que j'étais plus jeune, je remercie mes parents d'avoir garder une photo de moi quand j'étais plus jeune au moins je savais que c'était bien moi que je voyais.

Je me revoyais dans ce fameux parc où ma mère avait l'habitude de m'emmener, mais je n'étais pas seule, en y réfléchissant bien, je n'étais jamais seule.

Je ne voyais pas cette personne mais j'entendais ça voix, pour moi il était un héros je me sentais en sécurité auprès de lui.

Je l'entendais me parler de sa vie, enfin plutôt de sa non vie. Il n'était plus de se monde. Je me plaisait même à croire que j'avais la faculté de voir les morts.

Mais je sentais qu'avec lui tout était différent. Je ne m'intéressais pas au garçon et encore moins au grande personne. Mais lui. C'était comme ci, ma tête ne pensais qu'à lui, et mes yeux ne voyais que lui.

Je me souvenais de c'est oreille. Des oreilles de loup que je caressais à longueur de temps pour l'apaiser, il tremblait souvent car il pensait qu'il était un monstre et qu'il n'avait pas le droit d'être encore ici.
Je le rassurer tout le temps. Et tout le temps ces tremblement s'arrêtait et il se calmait.

Je me plaisait à juste l'écouter parler de tout comme de rien.
De ces changement d'humeur, de ces fréquentations de cet autre homme qui voulait qu'il rejoigne sa troupe.

Du fait qu'il était seul parce qu'il trouvait cela mieux pour lui. Et comme toujours je lui répéter qu'il ne pouvait pas rester seul. Que ce n'étais pas sain pour lui et que personne ne devait être seul. Qu'il avait une chance de revivre. Et de réparer s'il le voulait tout autour de lui. De son caractère jusqu'à ces sentiment. Ont restaient comme ça pendant deux heures, jusqu'à ce que ma mère, me rappelait à elle pour rentrer.

Ont venait au parc non seulement après l'école, et parce qu'elle achetait toujours quelques choses à un homme, en grandissant je compris que c'était de la drogue. Et par la même occasion pourquoi mes parents me frapper quand je disait n'importe qu'elle phrase.

Grâce a cet homme je me sentais mieux. J'oubliais ce que je vivais au quotidien avec mes géniteurs et je pense que c'est ça qui me rassurait.

Ca faisait longtemps que l'on se connaissaient.
Et un jour il me dit.

"Je peux te poser une question ?
- Oui ?
- Tu as un petit ami?
- Non, bien sûr que non je suis encore petite pour ça.
- Quand tu sera plus grande..."

Il avait le regard tremblant comme s'il avait peur de ma réponse.
Pourtant quand il me fixa dans les yeux son courage revint.

"Épouse moi.
- Quoi ?
- Quand tu sera plus grande... acceptes de te marier avec moi..."

Je me plongeais dans mes pensée. Je me sentais comme une princesse à cette  question. Je me sentais importante, alors lui aussi ce sentait bien avec moi.

Une bouffée de chaleur me prit, et mon cœur se mit à battre tellement fort que je cru pendant un instant qu'il l'entendait.

Je me mis à lui caressais les cheveux.

"J'accepte"

Il me regardait avec des yeux brillant, comme si je venais de donner un sens à ça vie. Comme si je venait en un mot de le faire revivre. Comme si grâce à moi il était sauvé.

Ont se regardait dans les yeux. Un certains désir naissait en nous.
J'avais envie qu'il m'embrasse pour sceller notre promesse. Il ne le fit pas et je pense que c'était du à mon jeune âge. Pourtant plus il me regardait plus j'avais l'impression, que il allait le faire.

Jusqu'à ce qu'une ombre noir surgisse. A cet instant je ne me rappelle de rien.

Et pourtant les jours suivant malgré mon mal de tête qui grandissait je revenais dans ce parc espérant de tout cœur revoir mon futur mari.

Les jours passaient.

J'appris que j'avais un traumatisme crânien.
Je ne sais pourquoi.
Ma mère parler d'une chute. Que j'étais montée dans l'arbre contre son avis et que j'avais chutais, je ne me rappelais pourtant pas de ça.

Les mois aussi... et il ne revenait toujours pas.

Je commençais à me faire à l'idée qu'il ne reviendrait pas. Qu'il c'était jouer de mon jeune âge.

Un soir,
Un soir de nuit glacial, je me mis à genoux au bord du lit. Et réciter une prière.
Je pus lire sur mes lèvres.

"Je vous en prie faite qu'il ne lui soit rien arriver... mais faite aussi que je l'oublie.."

Je me recouchais et vit un filet de lumière blanche s'abattre de pleins fouet sur mon visage.

Ma sublime créatureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant