Ma sublime créature

Chapitre 15 : L'appel

Lui

J'avais trouver ça maison, j'avais reconnu ces parents, c'est sombres monstres qui était heureux eux, n'avait-il pas honte d'être des monstres à ce point. Je reconnaissais l'odeur de cette petite que j'aimais tant. Même si au jour d'aujourd'hui elle n'était plus la petite fille que je connaissais.

Je m'étais glisser par la fenêtre de sa chambre.
Des loups.
Des loups en posters partout dans cette minuscule pièce.
Qui tenait un lit, une commode, un miroir, son ballon vert.
Sur sa commode des dessins orné, des dessins d'une ombre poser à côté d'elle.
Alors son esprit voulait s'en souvenir.

Pourquoi ?
Pourquoi m'avait-elle oublié?

Je ne comprenais pas, pourquoi elle avait décidait de m'oublier en peu de temps.

Je sentais la réponse. Une odeur que je reconnaîtrait entre mille, celle des anges.
Avait-elle prier pour m'oublier ?
Avait-elle pensait qu'elle serait mieux ainsi...

Je fouillais un peu partout pour voir, dans quelle condition, il avait décidés de la faire vivre.

En fouillant, cacher derrière la commode, je découvris un carnet, un carnet vert.
Il était quasiment impossible à attraper, car la pièce étant trop petite la commode ne pouvais clairement pas bouger, mais avec un petit coup de pouce de mes pouvoir il atterrit au dessus de la commode.
Je le pris, a la première page je compris qu'il s'agissait d'un journal intime.

Je ne savais pas si j'avais le droit de le lire. Et pourtant j'avais envie de savoir ce qu'elle vivait au quotidien, soit avec c'est géniteurs, soit avec c'est soit disant amis.

Elle parler de tout, de ce que les enfants lui faisait à l'école, qu'elle souffrais de cette manière de vivre.
A 6 ans elle voulait en finir. Elle parlait de suicide, des idées noirs la hantait.

Comment une petite fille de 6 ans pouvait penser au suicide ?

Elle parlait dès punitions que c'est parent lui infligés, je serrais les poings, je savais que je n'avais pas le droit de les tuer. Et pourtant l'envie me ronger, dans une brûlure encore plus brutal, ma main se transforma, mais je me stoppais. Si je le faisais, on allais m'enchainé à nouveau. Et si c'était le cas je ne pourrais pas la reconquérir.

Non ! Je ne pouvais pas.

Mais je ne pouvais pas laisser de tels monstres s'en sortir !
Alors que ma colère reprenait de plus belle, je vis mon nom.
Elle parlait de moi, que j'étais son seul ami, que je l'aider à oublier cette envie de mourir.
Que grâce à moi elle allait mieux, qu'elle attendait chaque jour de me revoir. Que j'étais le meilleur sur terre, et au delà, que grâce à moi le loup était son animal préférer. Que j'étais son héros.
Une feuille était pliée.
Un devoir de français ou elle avait eu une bonne note, celle qui s'intitulait, « Qu'elle est le but d'un héros? En avait vous un ? »
Je le pris.

« je pense que le héros et différent pour chaque personne, tout le monde cherche a le caractérise comme un bel homme, comme un salue, comme une personne étant forcément gentil et bienveillante. Mais finalement le héros change d'une personne à l'autre. Pour les alcooliques leur héros sont la bouteille, pour les victimes leur héros sont la police, et la justice qui aident à emprisonner chaque criminel, pour les petites filles qui croient encore au contes de fées, leur héros sont les princes, pour d'autre ce sont des personnes quelconques, pour d'autre l'amour et leur salue.
Mais pour moi ce n'est pas le cas, moi mon héros, ne ressemble pas à tout ça.
Il m'a aidé à avoir confiance en quelqu'un, il m'a aidé à ouvrir les yeux sur ceux qui me voulait du mal, il m'a aider a chassé mes idées noirs, il m'a aidé à apprendre tellement de choses, mais il ne fait pas partie du côté des gentils.
Et malgré ça, c'est le meilleur héros de tous, il m'a protéger.
Il a sécher mes larmes, ont a rit ensemble, il me faisait sourit et a fait simplement de moi une personne meilleure.
Mon héros s'appelle Fenrir et malgré tout ce que dise les autres à sont sujet, qui parle dans la cours de l'école, que je parle seule et que je suis quelqu'un de pas normal, je peux vous dire une seule choses, la vie de Fenrir à plus de sens pour moi que celle de tout ceux qui m'entourent. »

Je pleurais une nouvel fois, j'étais ému.
C'était comme une declaration.

Je continuais à feuilleter son carnet, il y avait tellement de phrase à mon sujet, mon prénom apparaissait à chaque page.

« Il est si gentil »
« Il est si beau »
« Je ne sais pas s'il ressent comment mon cœur bat si fort à chaque fois »
« Je suis bête de pensé qu'il puisse s'intéresser à moi une seule seconde, j'ai que 9 ans, il s'en fiche »
« Pourquoi est ce que j'ai envie de retourner au parc maintenant »
Toute c'est phrase me faisait l'effet d'un électrochoc.
Comme si plus je lisais plus les battements de mon cœur, s'intensifiait.

« Il m'a dit qu'il voulait que je l'épouse, je suis si contente ! Pourquoi est ce qu'il m'a pas fait un bisou.. »

J'eus un sourire, si tu savais comme j'en avais envie également, si à ce moment t'as mère n'étais pas venue. J'aurais collé mes lèvres au tienne pour que jamais elle ne s'en séparent.
Je souriais j'étais heureux, mais après les événements me revinrent en mémoire, il rester trois page.
Je décidais de regarder ce que pouvais être c'est page.

« Il n'était pas là.. »
« Toujours pas »
« C'était une blague c'est ça ? Enfaite il n'était pas sérieux »
« Il n'est même pas là pour savoir que j'ai un traumatisme crânien, il aurait pu à nouveau me réconforter.. »
« Pourquoi... »

Sur cette dernière page, je vis écrit
« Aujourd'hui c'était le jour de nos 5 ans de rencontre, et il n'était toujours pas là, pourtant à chaque fois j'espère qu'il soit là à m'attendre, j'espère tellement qu'il ne lui ai rien arriver, et j'espère aussi qu'il ne c'est pas moquait de moi. Je crois que je n'ai jamais autant désirer quelques choses, mais plus je prie pour qu'il revienne et plus la réalité me ramène à la raison... pourquoi.. »

Je compris à cet instant, elle prier..
elle a du prier pour m'oublier, et si elle essayait de se souvenir il lui arriverais malheur, pourquoi avait-elle fait ça ?
Même si je ne revenais pas elle ne devait pas !
Mes yeux retournèrent sur le cahier.

« Je ne t'oublierais jamais Fenrir, je t'aime et tu es le seul qui occupera mon cœur, je t'attendrais. »

Pourquoi j'avais étais aussi stupide, elle continuer d'aller au parc pour me revoir, et je n'étais plus là pour elle.
Elle c'était sentir abandonnée.. et j'en étais le responsable.

Je ne voulais pas dire à Spike que j'avais trouver sa maison, que je savais d'où elle venait, non je ne voulais plus qu'il la renvoies, je ne voulais plus qu'elle me quitte, je ne lui dirais rien.

Et pourtant c'est lui qui entra dans mes pensées à ce moment.

« Fenrir ? Fenrir tu m'entends?
- Oui.
- Je sais que tu devais être punis, mais.. écoute j'ai un truc à te dire..
- Quoi ?
- C'est l'humaine.
- Heather ?! Qu'est ce qu'elle a?
- Elle est dans le coma Fenrir. »

Non ! Impossible.
Je la retrouvais, je me rappeler, et ont me la reprenais..
Je sentis mon cœur se contracter.
Pourquoi!? Pourquoi ?!

« Je reviens Spike.
- D'accord. »

Mon cœur battait si vite, tellement vite, que si j'étais vivant j'en serais mort.